« Qui a financé cette étude ? » nous demandions-nous ce matin. NPA Conseil nous a répondu : « Personne. Il s’agit d’une contribution libre et volontaire du cabinet au débat public, comme nous publions récemment des études ou indicateurs relatifs au développement de la catch up ou de la vidéo en ligne, de l’offre de TVHD, de la consommation de fiction à la télévision, de la fragmentation des audiences dans l’univers numérique, de l’ouverture du marché des paris en ligne… » La précision est donc rapportée.
Dans cette étude, NPA Conseil proposait l’idée de taxer les moteurs pour aider au financement de la production audiovisuelle. Quelques jours plus tard, la SACD émettait hier 10 pistes pour l’après Hadopi. Parmi elles, celle d’« un fonds de soutien à la création des recettes publicitaires générées sur Internet ». Pascal Rogard, directeur de la SACD précisait dans le même temps : « les fournisseurs d'accès à Internet ont besoin d'une pause fiscale. En revanche les grands oubliés du financement de la création sont les moteurs de recherche qui font l'intermédiaire entre l'internaute et le contenu. Or ce sont les grands gagnants du système. »
Dans cette étude, NPA Conseil proposait l’idée de taxer les moteurs pour aider au financement de la production audiovisuelle. Quelques jours plus tard, la SACD émettait hier 10 pistes pour l’après Hadopi. Parmi elles, celle d’« un fonds de soutien à la création des recettes publicitaires générées sur Internet ». Pascal Rogard, directeur de la SACD précisait dans le même temps : « les fournisseurs d'accès à Internet ont besoin d'une pause fiscale. En revanche les grands oubliés du financement de la création sont les moteurs de recherche qui font l'intermédiaire entre l'internaute et le contenu. Or ce sont les grands gagnants du système. »