« Nous avons porté plainte notamment pour insultes et injures à connotations raciales, incitation à la haine raciale et menaces de mort » voilà ce qu’à expliqué à l'AFP, l’avocat du militant UMP, Amine Benalia-Brouch. C’est ce dernier qui se trouvait à côté de Brice Hortefeux quand le ministre déclarait avec tact berlusconien « Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes. »
Si ce message l’avait laissé judiciairement de marbre, ceux des internautes ont été jugés insupportables : « Certains internautes se sont déchaînés, mais nous avons essayé de cibler, dans cette plainte, les messages les plus insupportables » explique l’avocat Me Defos du Rau. En ligne de mire le détournement de cette vidéo où on voyait Amine Benalia-Brouch dédouanant Horteufeux, « avec une kalachnikov pointée sur sa tête et en bruit de fond, on entend des bruits de chargeurs automatiques ». « Le but de cette plainte est de protéger mon client de ces actes insupportables » a affirmé à l’agence, l’avocat. Internet n’est donc pas un meeting politique où tout peut être dit ?
Si ce message l’avait laissé judiciairement de marbre, ceux des internautes ont été jugés insupportables : « Certains internautes se sont déchaînés, mais nous avons essayé de cibler, dans cette plainte, les messages les plus insupportables » explique l’avocat Me Defos du Rau. En ligne de mire le détournement de cette vidéo où on voyait Amine Benalia-Brouch dédouanant Horteufeux, « avec une kalachnikov pointée sur sa tête et en bruit de fond, on entend des bruits de chargeurs automatiques ». « Le but de cette plainte est de protéger mon client de ces actes insupportables » a affirmé à l’agence, l’avocat. Internet n’est donc pas un meeting politique où tout peut être dit ?