Dans une conférence de presse ayant eu lieu jeudi, le ministre chinois de l'industrie et des technologies de l'information, Li Yizhong, a annoncé que la Chine "respectait la liberté de choix des utilisateurs et que le logiciel [de filtrage] ne serait pas obligatoire", faisant ainsi marche arrière par rapport à ce qui avait été annoncé au mois de mai. La Chine avait en effet informé tous les constructeurs d'ordinateurs, locaux et étrangers, que l'installation d'un logiciel de filtrage serait obligatoire sur toutes les machines vendues sur le territoire chinois.
En revanche, le ministre a également déclaré que l'installation de ce logiciel resterait obligatoire sur les machines à destination des lieux publics, comme les écoles ou les cybercafés.
Le logiciel de filtrage, appelé "Green Dam-Youth Escort", avait pour but de filtrer les contenus pornographiques ou potentiellement dangereux, tels que les programmes malveillants afin de protéger les utilisateurs, et notamment les mineurs.
Rappelons que ce projet de filtrage avait subi de vives critiques de la part des constructeurs, mais aussi des utilisateurs, premiers concerné par cette mesure, ainsi que par des associations de défense des libertés, ce qui avait entraîné à l'époque un report de la mise en place de cette nouvelle "muraille".
En revanche, le ministre a également déclaré que l'installation de ce logiciel resterait obligatoire sur les machines à destination des lieux publics, comme les écoles ou les cybercafés.
Le logiciel de filtrage, appelé "Green Dam-Youth Escort", avait pour but de filtrer les contenus pornographiques ou potentiellement dangereux, tels que les programmes malveillants afin de protéger les utilisateurs, et notamment les mineurs.
Rappelons que ce projet de filtrage avait subi de vives critiques de la part des constructeurs, mais aussi des utilisateurs, premiers concerné par cette mesure, ainsi que par des associations de défense des libertés, ce qui avait entraîné à l'époque un report de la mise en place de cette nouvelle "muraille".