
Mais le problème c'est que cette analyse a été publiée et que le Canadien n'a plus d'autre choix que de trouver cela regrettable. Pour Fred Krueger - authentique, ça ne s'invente pas - les efforts de Big Room pour faire passer Dot ECO pour une société peu sérieuse commencent à devenir insupportables.
Aux côtés d'eux, on compte justement des associations plutôt recommandables, comme Sierra Club et l'Alliance for Climate Protection. En face, Big Room a le soutien de WWF et Green Cross International : pour toutes deux, l'objectif est d'obtenir le contrôle de cette extension de nom de domaine, afin de revendre ensuite les espaces aux entreprises travaillant dans l'écologie ou l'environnement.
Alors, on imagine bien que les deux sociétés se tirent dans les pattes : d'un côté, on reproche à Big Room des frais excessifs pour les sociétés, et l'autre, Dot ECO mettrait en place des procédures d'inscriptions très lourdes.
Aucune des deux firmes n'a souhaité faire de commentaires sur le dernier rapport publié. Selon l'Icann, l'organisme chargé de la réglementation sur les noms de domaine, l'objectif est avant tout d'assouplir les règles pour y accéder. Ainsi, des sites de marques pourraient y fleurir autant que des pages de particuliers.