Microsoft est revenu encore une fois sur le sujet décidément assez mal compris de l’édition Starter de Windows 7. Il faut dire que cette édition déchaîne un peu les passions tant son rôle est mal connu. Beaucoup aimeraient la voir disparaître pour simplifier davantage la gamme, mais l’éditeur avait indiqué que la Starter était née d’une demande particulière des constructeurs.
Windows XP, solution à court terme, problème à long terme
Seulement voilà, mise en place dans un but particulier, elle enlise aujourd’hui le développement des netbooks. Et l’on peut dire que c’est entièrement la faute même de Microsoft. Pourquoi ? Parce que les constructeurs comptent se servir de l’édition Starter pour leurs netbooks alors qu’elle n’est pas conçue du tout pour ces machines grand public.
La situation a été créée par Microsoft quand le marché des netbooks a explosé. L’éditeur n’avait pas le choix : face à un Vista qui était bien trop lourd pour ces configurations, l’éditeur a du ressortir Windows XP de ses placards. Mais pour être certain que Linux ne dévorerait pas ce marché qui semblait être taillé pour lui, Microsoft n’a pas hésité à commercialiser son ancien système d’exploitation à un tarif inférieur à 15 dollars par licence. Ce qui pose aujourd’hui un évident problème, que le PDG Steve Ballmer a récemment reconnu.
Windows 7 : l'édition Familiale Premium recommandée pour les netbooks
Car la licence de Windows 7 édition Starter est plus chère que celle de Windows XP. Or, Microsoft a toujours indiqué que l’édition Familiale Premium était recommandée pour les netbooks, la Starter n’étant conçue que pour les machines bas de gamme. Mais, bien évidemment, la Familiale Premium est également plus chère que la Starter, et les constructeurs souhaitent abaisser les coûts des machines autant que possible.
D’où un problème épineux pour Microsoft : si de nombreux netbooks sont finalement commercialisés avec l’édition Starter, il pourrait en résultat une mauvaise image pour Windows 7 et donc pour l’éditeur lui-même. Bien que la limite du nombre d’applications actives ne soit plus d’actualité, la Starter est limitée en fonction. Aero n’est par exemple pas disponible, et l’on ne peut même pas changer de fond d’écran, un choix étrange et pas franchement judicieux de la part du géant.
Actuellement, l’édition Starter contient des limitations strictes pour les machines ayant la possibilité de souscrire à une licence :
Finalement, Microsoft ferait certainement mieux de faire disparaître une édition dont la firme est obligée d’accompagner la commercialisation d’une série de contraintes afin de maîtriser son expansion.
Windows XP, solution à court terme, problème à long terme
Seulement voilà, mise en place dans un but particulier, elle enlise aujourd’hui le développement des netbooks. Et l’on peut dire que c’est entièrement la faute même de Microsoft. Pourquoi ? Parce que les constructeurs comptent se servir de l’édition Starter pour leurs netbooks alors qu’elle n’est pas conçue du tout pour ces machines grand public.
La situation a été créée par Microsoft quand le marché des netbooks a explosé. L’éditeur n’avait pas le choix : face à un Vista qui était bien trop lourd pour ces configurations, l’éditeur a du ressortir Windows XP de ses placards. Mais pour être certain que Linux ne dévorerait pas ce marché qui semblait être taillé pour lui, Microsoft n’a pas hésité à commercialiser son ancien système d’exploitation à un tarif inférieur à 15 dollars par licence. Ce qui pose aujourd’hui un évident problème, que le PDG Steve Ballmer a récemment reconnu.
Windows 7 : l'édition Familiale Premium recommandée pour les netbooks
Car la licence de Windows 7 édition Starter est plus chère que celle de Windows XP. Or, Microsoft a toujours indiqué que l’édition Familiale Premium était recommandée pour les netbooks, la Starter n’étant conçue que pour les machines bas de gamme. Mais, bien évidemment, la Familiale Premium est également plus chère que la Starter, et les constructeurs souhaitent abaisser les coûts des machines autant que possible.
D’où un problème épineux pour Microsoft : si de nombreux netbooks sont finalement commercialisés avec l’édition Starter, il pourrait en résultat une mauvaise image pour Windows 7 et donc pour l’éditeur lui-même. Bien que la limite du nombre d’applications actives ne soit plus d’actualité, la Starter est limitée en fonction. Aero n’est par exemple pas disponible, et l’on ne peut même pas changer de fond d’écran, un choix étrange et pas franchement judicieux de la part du géant.
Actuellement, l’édition Starter contient des limitations strictes pour les machines ayant la possibilité de souscrire à une licence :
- Le processeur ne doit pas dépasser 2 GHz et doit n’avoir qu’un seul cœur
- La mémoire vive ne peut pas dépasser 1 Go
- La taille de l’écran ne doit pas dépasser 10,2 pouces, contrairement aux versions Windows XP et Vista qui autorisaient une dalle jusqu’à 12,1 pouces
- Le disque dur ne doit pas dépasser 250 Go sur un modèle classique ou 64 Go pour un SSD
Finalement, Microsoft ferait certainement mieux de faire disparaître une édition dont la firme est obligée d’accompagner la commercialisation d’une série de contraintes afin de maîtriser son expansion.