
Voici le classement obtenu :
- Internet Explorer (versions 5.X, 6.X et 7) : 31 failles
- Safari : 32 failles
- Opera : 30 failles
- Firefox : 115 failles
Les chiffres ne font pas la différence entre les différents niveaux de dangerosité des failles. On retrouve donc autant des failles critiques que des modérées. Mais on parle bien de sécurité : chaque faille nécessitant un correctif a fait grimper le compteur. Du coup, les chiffres ne tiennent pas compte non plus des fenêtres d’exposition ouvertes par chaque faille.
Il reste tout de même intéressant de constater que Safari, Opera et Internet Explorer sont dans un mouchoir de poche sur ce plan, tandis que Firefox est loin devant. Les chiffres restent à prendre avec des pincettes car ils ne représentent pas à eux seuls le niveau de sécurité d’un navigateur. Ils ne prennent par exemple pas en compte les différentes technologies intégrées pour protéger l’utilisateur, et chaque société a surtout sa propre politique d'information : dans le cas de Mozilla surtout, rien n'est caché. C’est surtout l'utilisateur lui-même qui fera la différence finalement, de par ses habitudes et les sites qu’il visite.
Le rapport complet (au format PDF) est disponible directement depuis ce lien.