« C'est possible de vouloir gagner moins d'argent et de ne pas prendre les gens pour des cons. C'est une question de respect pour notre public qui nous suit depuis des années. Ce ne sera pas un spectacle au rabais même s'il n'y aura aucune arrivée en hélicoptère » voilà ce qu’avait précisé en novembre dernier, Nicola Sirkis lors du lancement de son actuelle tournée à prix cassé, qui s’achèvera en 2010. Le chanteur d’Indochine s’était alors également confié sur le cas du téléchargement illégal en souhaitant « que les gens retournent dans les magasins et respectent les vendeurs de disques, car c'est une belle profession ».Ni plus, ni moins.
Sur le site Jaimelesartistes.fr, site de communication du ministère de la Culture destinée à porter la bonne parole pur la loi Création et internet, une pétition avait été postée pour afficher les noms de 10 000 personnalités du monde de la Culture « Pour le projet » de loi en question. Une loi, votée jeudi, qui rappelons-le installe la riposte graduée, le filtrage des sites et/ou des protocoles, la survalorisation des offres légales labélisées dans les moteurs de recherches, la suspension d’accès des titulaires d’abonnement incapables de sécuriser leur accès internet, l’installation de mouchards logiciels payants sur tous les PC de France soit par incitation, soit par injonction. Dans la liste, on pouvait déjà s’étonner de retrouver Marc Cerrone, qui semblait pourtant très opposé au texte (voir cette actualité). Mais on trouve aussi le nom de Nicola Sirkis, leader d’Indo.
Manque de chance pour Albanel, il faudra retirer ce nom puisque le groupe a apporté cette précision sur Indo.fr :
« Contrairement à ce qui est annoncé sur certains sites (j'aimelesartistes) soutenant la loi Hadopi, Nicola Sirkis et Indochine ne soutiennent en rien cette loi et n'ont signé aucune pétition la défendant. La position du groupe et de Nicola a toujours été très claire sur ce sujet. » Une précision qui n’annulera évidemment en rien le vote en catimini du texte la semaine dernière, mais qui devait être faite.
Sur le site Jaimelesartistes.fr, site de communication du ministère de la Culture destinée à porter la bonne parole pur la loi Création et internet, une pétition avait été postée pour afficher les noms de 10 000 personnalités du monde de la Culture « Pour le projet » de loi en question. Une loi, votée jeudi, qui rappelons-le installe la riposte graduée, le filtrage des sites et/ou des protocoles, la survalorisation des offres légales labélisées dans les moteurs de recherches, la suspension d’accès des titulaires d’abonnement incapables de sécuriser leur accès internet, l’installation de mouchards logiciels payants sur tous les PC de France soit par incitation, soit par injonction. Dans la liste, on pouvait déjà s’étonner de retrouver Marc Cerrone, qui semblait pourtant très opposé au texte (voir cette actualité). Mais on trouve aussi le nom de Nicola Sirkis, leader d’Indo.
Manque de chance pour Albanel, il faudra retirer ce nom puisque le groupe a apporté cette précision sur Indo.fr :
« Contrairement à ce qui est annoncé sur certains sites (j'aimelesartistes) soutenant la loi Hadopi, Nicola Sirkis et Indochine ne soutiennent en rien cette loi et n'ont signé aucune pétition la défendant. La position du groupe et de Nicola a toujours été très claire sur ce sujet. » Une précision qui n’annulera évidemment en rien le vote en catimini du texte la semaine dernière, mais qui devait être faite.
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