mise à jour : la ristourne est de 150 euros, non de 250 euros nous rectifie ce matin la FNAC.
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La direction de la FNAC vient de nous contacter pour nous informer des suites de l'erreur de prix sur le lot Nikon D90 et son objectif. Ces produits furent proposés en ligne 249,90 euros au lieu de 1249,90 euros (voir notre actualité) Un petit chiffre en moins et voilà une belle affaire pour les clients de l'enseigne !
Un prix rectifié, mais une ristourne accordée
La FNAC nous indique avoir cependant annulé toutes les commandes passées sous couvert d’ une « erreur manifeste » d’étiquetage : « Le produit était annoncé autre part sur notre site en boitier nu à plus de 900 euros et sur d’autres sites au delà de ce prix là. Du coup, nous avons a constaté une erreur manifeste et nous avons proposé à nos clients une offre commerciale de 150 euros sur la vente de ce produit s’il souhaitait toujours l’acheter ». Les tarifs voisins pouvaient-ils viciers ainsi le contrat et générer un doute dans l'esprit des consommateurs ? C'est ce que pense l'enseigne.
Les consommateurs qui ont sauté sur l’occasion voient donc leurs commandes annulées mais tout n'est pas perdu sur le terrain consensuel... la FNAC accepte de bien leur vendre le Nikon et l'objectif au prix fort mais avec une déduction de 150 euros.
Nous ne savons pas combien de clients ont pu acheter le produit, l’offre est tout de même restée 4h en ligne ce week-end.
Depuis sa décision de 1995 la Cour de cassation ne connaît pas cette notion d’erreur manifeste. Elle parle seulement d’un prix dérisoire, c'est-à-dire ridiculement bas, seul apte à faire tomber une vente comportant une erreur d'étiquetage.
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La direction de la FNAC vient de nous contacter pour nous informer des suites de l'erreur de prix sur le lot Nikon D90 et son objectif. Ces produits furent proposés en ligne 249,90 euros au lieu de 1249,90 euros (voir notre actualité) Un petit chiffre en moins et voilà une belle affaire pour les clients de l'enseigne !
Prix rectifié
Un prix rectifié, mais une ristourne accordée
La FNAC nous indique avoir cependant annulé toutes les commandes passées sous couvert d’ une « erreur manifeste » d’étiquetage : « Le produit était annoncé autre part sur notre site en boitier nu à plus de 900 euros et sur d’autres sites au delà de ce prix là. Du coup, nous avons a constaté une erreur manifeste et nous avons proposé à nos clients une offre commerciale de 150 euros sur la vente de ce produit s’il souhaitait toujours l’acheter ». Les tarifs voisins pouvaient-ils viciers ainsi le contrat et générer un doute dans l'esprit des consommateurs ? C'est ce que pense l'enseigne.
Les consommateurs qui ont sauté sur l’occasion voient donc leurs commandes annulées mais tout n'est pas perdu sur le terrain consensuel... la FNAC accepte de bien leur vendre le Nikon et l'objectif au prix fort mais avec une déduction de 150 euros.
Nous ne savons pas combien de clients ont pu acheter le produit, l’offre est tout de même restée 4h en ligne ce week-end.
Depuis sa décision de 1995 la Cour de cassation ne connaît pas cette notion d’erreur manifeste. Elle parle seulement d’un prix dérisoire, c'est-à-dire ridiculement bas, seul apte à faire tomber une vente comportant une erreur d'étiquetage.