
Quand on vous dit qu'un jour quelqu'un tentera de déposer un brevet sur les lettres de l'alphabet.
Mais Rospatent, qui fait autorité en la matière en Russie a déclaré que l'idée d'Oleg était particulièrement saugrenue, voire même idiote et a déclaré que les smileys ne peuvent pas être enregistré comme une marque de commerce. Donc personne ne peut revendiquer des droits exclusifs pour leur utilisation.
Oleg, qui est président de l'opérateur téléphonique Superfone envisageait bien de faire payer des dizaines de milliers de dollars pour ces petites représentations de nos émotions. Ce ne serait pas la première fois que les smileys sont au centre d'un tel imbroglio judiciaire en Russie. Siemens avait fait valoir son droit à recourir aux smileys en novembre 2005, alors que Victor Petrov, ancien militaire à la retraite avait saisi le tribunal de Saint Petersbourg, s'étant proclamé inventeur de ces petites choses.