Que serait Apple sans les États-Unis ? La question se pose, alors que 60 % de son chiffre d'affaires est réalisé au pays de l'oncle Sam. Le succès d'Apple outre-Atlantique est cependant sans équivoque. Il faut dire que ces derniers mois, la firme de Steve Jobs affole les compteurs, en réalisant des résultats financiers historiques – 2 319 000 de Mac, 22 121 000 d'iPod et 2 315 000 d'iPhone vendus en trois mois – en devenant le troisième vendeur d'ordinateurs aux États-Unis derrière Dell et HP mais devant Toshiba et Gateway (Acer), et en dépassant en avril 2007 la barre symbolique des 100 millions d'iPod écoulés.
Côté iTunes Store, là encore, Apple écrase la concurrence. Avec plus de 4 milliards de morceaux vendus à travers le monde, après plus de cinq années d'exploitation, iTunes n'a pas de soucis à se faire. Son importance est telle que la plateforme d'Apple est devenue l'année dernière le troisième plus gros vendeur de musique, avec 9,8 % du marché total, contre 15,8 % pour Wal-Mart, 13,8 % pour Best Buy, 6,7 % pour Amazon et 6,6 % pour Target.
L'ascension d'iTunes Store est telle que selon NPD Group, la plateforme se situe désormais à la deuxième place des vendeurs de musique tous formats confondus. Le leader du marché reste toujours le géant Wal-Mart. Mais avec 10 % de parts de marché et 50 millions de clients, iTunes Store devance dorénavant les magasins Best Buy.
Apple profite fort logiquement de la baisse des ventes de CD et de la hausse des ventes de musique numérique sur la toile. À ce rythme, iTunes Store pourrait bien devenir numéro 1 aux États-Unis dans les mois qui viennent. Un certain Amazon, dont l'avantage est de vendre la musique sur les deux supports (CD et MP3), pourrait bien lui aussi tirer son épingle du jeu.

L'ascension d'iTunes Store est telle que selon NPD Group, la plateforme se situe désormais à la deuxième place des vendeurs de musique tous formats confondus. Le leader du marché reste toujours le géant Wal-Mart. Mais avec 10 % de parts de marché et 50 millions de clients, iTunes Store devance dorénavant les magasins Best Buy.
Apple profite fort logiquement de la baisse des ventes de CD et de la hausse des ventes de musique numérique sur la toile. À ce rythme, iTunes Store pourrait bien devenir numéro 1 aux États-Unis dans les mois qui viennent. Un certain Amazon, dont l'avantage est de vendre la musique sur les deux supports (CD et MP3), pourrait bien lui aussi tirer son épingle du jeu.