Ce qu’on demande généralement à un traducteur, c’est de traduire, non de militer. Pourtant, l’outil de traduction de Google montre quelques signes de subjectivité rare à l’encontre de la première personnalité française, le président Nicolas Sarkozy.
Qu’on en juge : en lui demandant de traduire du français à l’anglais les expressions qui contiennent le mot « Sarkozy », Google traduit systématiquement le nom en Blair ou Bush ou parfois… Chirac. On obtient alors de curieux résultats suivant les phrases saisies par l’utilisateur. C’est Sarkozy que ne supporte pas Google, non Nicolas. Si l’on traduit "Cecilia Sarkozy", on obtiendra ainsi "Blair Cecilia" (ou d’autres substitutions, selon les humeurs du moment). Des plantages similaires sont constatés dans les traductions du nom propre "Sarkozy" du français vers l'allemand.
Google a récemment revu son moteur, préférant délaisser Systran pour une solution maison. On ne sait si cet anti-sarkozysme primaire est lié à l'émigration logicielle ou s'il ne s'agit que d'un bon coup de communication pour lancer un buzz.
(merci Stéphane!)
Qu’on en juge : en lui demandant de traduire du français à l’anglais les expressions qui contiennent le mot « Sarkozy », Google traduit systématiquement le nom en Blair ou Bush ou parfois… Chirac. On obtient alors de curieux résultats suivant les phrases saisies par l’utilisateur. C’est Sarkozy que ne supporte pas Google, non Nicolas. Si l’on traduit "Cecilia Sarkozy", on obtiendra ainsi "Blair Cecilia" (ou d’autres substitutions, selon les humeurs du moment). Des plantages similaires sont constatés dans les traductions du nom propre "Sarkozy" du français vers l'allemand.
Google a récemment revu son moteur, préférant délaisser Systran pour une solution maison. On ne sait si cet anti-sarkozysme primaire est lié à l'émigration logicielle ou s'il ne s'agit que d'un bon coup de communication pour lancer un buzz.
(merci Stéphane!)