
Et Deezer poursuit son bonhomme de chemin avec la signature d’un accord très important avec la major Sony BMG. Cet accord avec la maison de disque va permettre l’apport de 165 000 nouveaux titres au catalogue déjà épais de Deezer, et la venue d’artistes qui n’étaient pas (ou peu) présents comme Justin Timberlake, Alicia Keys, Benabar, Christina Aguilera ou encore Julien Doré.
Le co-fondateur de Deezer, Jonathan Benassaya (avec Daniel Marhely), se réjouit de l’évènement, car « cet accord avec l’une des plus grandes majors sera le premier d'une longue série. Il rentre parfaitement dans notre stratégie d’enrichissement de notre offre. Avec près d’un million de membres inscrits aujourd’hui, alors que nous en avions 300.000 il y a un mois, nous avons toutes les raisons d’être optimiste pour l’avenir de Deezer. C’est une réponse concrète au problème du piratage. »
Une réponse concrète et qui fait des heureux. Financé par la publicité, Deezer est totalement gratuit dans son utilisation et certains ne peuvent déjà plus s’en passer. Évidemment, la présence d’une connexion Internet est obligatoire.
Actuellement, même Sony France semble heureuse de cet accord, si l’on en croit son PDG Christophe Lameignère : « Sony BMG est très heureux de cet accord. C’est un premier pas vers une nouvelle forme d’usage de la musique, avec un cadre respectueux des droits dans le nouvel environnement numérique. Nous félicitons Deezer de l’avoir franchi et encourageons les amoureux de la musique et des artistes à ne pas pirater leurs œuvres. »
Mais que demande le peuple ?