Dans une information estampillée « exclusive », le New York Post croit savoir qu’un rapprochement entre Napster et Google serait à l’étude. Selon le journal qui tire ses sources du milieu de l’industrie musicale, « l’alliance étendue » pourrait même aller jusqu’à « l’acquisition pure » de la plateforme de téléchargement légale. Cette union permettrait ainsi au moteur de profiter d’une solution clef en main plutôt que d’avoir à envisager un modèle à développer. L’offre s’intercalerait avec le Google Video Store, dédié au monde de la vidéo et offrirait une nouvelle fenêtre de diversification pour le moteur.
Contactée par le Post, Google a cependant contesté vouloir ouvrir un service maison et n’a pas souhaité commenter l’information ou pseudo info du rapprochement possible avec Napster : « Nous ne pouvons fournir aucun détail à propos de rumeur ou de spéculation. », a insisté encore la société de Mountain View.
Alors que Forbes.com croit lui aussi en l’arrivée d’un concurrent à iTunes, sorte de Google Tunes Music Store, le moteur est à nouveau intervenu pour tuer cette rumeur, chez nos voisins anglais de TimesOnline.Com. Certes, la société envisage de se concentrer sur la voie des DRM. Certes, encore, elle possède le domaine googlemusic.com depuis 2003 et elle prévoit d’améliorer ses AdWords, les pubs maison, lors des recherches liées au monde musical, mais rien de plus : elle conteste plus fermement ces pseudos infos : « Non, nous n’envisageons pas actuellement de développer une plateforme de vente en ligne de musique, ou de concurrencer une solution de ventes en ligne ou hors-ligne existante. » Et d'ajouter « nous n'avons rien à annoncer à propos de Napster. »
Seule certitude dans cette partie de rumeurs et de contestations, la situation boursière de Napster, qui connaît une envolée miraculeuse. L’action est passée de 3,2 dollars, niveau où elle stagnait depuis bien longtemps, à 4,5 dollars à l’ouverture de la Bourse de New York, avec un volume considérable d’actions échangées sur la place. Cet énorme effet levier occasionné par l’effet Google aura au moins engendré quelques juteuses plus-values…

Contactée par le Post, Google a cependant contesté vouloir ouvrir un service maison et n’a pas souhaité commenter l’information ou pseudo info du rapprochement possible avec Napster : « Nous ne pouvons fournir aucun détail à propos de rumeur ou de spéculation. », a insisté encore la société de Mountain View.
Alors que Forbes.com croit lui aussi en l’arrivée d’un concurrent à iTunes, sorte de Google Tunes Music Store, le moteur est à nouveau intervenu pour tuer cette rumeur, chez nos voisins anglais de TimesOnline.Com. Certes, la société envisage de se concentrer sur la voie des DRM. Certes, encore, elle possède le domaine googlemusic.com depuis 2003 et elle prévoit d’améliorer ses AdWords, les pubs maison, lors des recherches liées au monde musical, mais rien de plus : elle conteste plus fermement ces pseudos infos : « Non, nous n’envisageons pas actuellement de développer une plateforme de vente en ligne de musique, ou de concurrencer une solution de ventes en ligne ou hors-ligne existante. » Et d'ajouter « nous n'avons rien à annoncer à propos de Napster. »
Seule certitude dans cette partie de rumeurs et de contestations, la situation boursière de Napster, qui connaît une envolée miraculeuse. L’action est passée de 3,2 dollars, niveau où elle stagnait depuis bien longtemps, à 4,5 dollars à l’ouverture de la Bourse de New York, avec un volume considérable d’actions échangées sur la place. Cet énorme effet levier occasionné par l’effet Google aura au moins engendré quelques juteuses plus-values…
