Suite à ses résultats, Alphabet devient l'entreprise la plus valorisée du monde

Suite à ses résultats, Alphabet devient l’entreprise la plus valorisée du monde

Objectif Lune

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Kevin Hottot

Publié dans

Économie

02/02/2016 4 minutes
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Suite à ses résultats, Alphabet devient l'entreprise la plus valorisée du monde

Alphabet vient de présenter ses résultats annuels. Pour la première fois, l'entreprise y distingue les performances de Google de celle de ses autres filiales, mais elle vient surtout de dépasser Apple sur le plan de la valorisation boursière.

Historiquement, le quatrième trimestre est toujours très intéressant pour Google, et donc pour Alphabet, la holding qui chapeaute le géant de la recherche et toutes ses filiales depuis maintenant le début de l'année. Pour la première fois, ce n'est pas Google qui présente directement ses résultats aujourd'hui, mais Alphabet, qui présente ceux de l'ensemble de sa galaxie. 

Alphabet roule sur l'or

Sur le quatrième trimestre, où les revenus publicitaires sont toujours plus élevés que lors du reste de l'année, Alphabet a réalisé un chiffre d'affaires de 21,329 milliards de dollars, en hausse de 18 % sur un an, voire de 24 % sur cette période, à taux de change constant. Cette hausse des revenus s'accompagne évidemment d'une progression notable des bénéfices nets de l'entreprise, qui sont passés en un an de 4,68 milliards de dollars à 4,92 milliards de dollars.

Sur l'ensemble de 2015, Alphabet a également fait très fort, avec un chiffre d'affaires de 74,99 milliards de dollars, à comparer aux 66 milliards enregistrés sur l'ensemble de 2014. Son bénéfice net est quant à lui passé de 14,13 milliards de dollars à 16,348 milliards de dollars. Ses réserves de liquidités atteignent désormais 73 milliards de dollars, de quoi permettre au géant de Mountain View de s'essayer à quelques « Moonshots », comme il se plait à appeler ses initiatives qui sortent de ses activités habituelles.

Essayer d'innover, cela coûte très cher

Justement, Alphabet détaille pour la première fois les résultats de ses « other bets », ce qui selon Ruth Porat, la directrice financière de Google et Alphabet, comprend notamment Calico, Google Fiber, Google X, Loon, Nest et les efforts concernant les voitures autonomes.

Sur les 12 mois de 2015, ces initiatives ont permis de dégager 448 millions de dollars de chiffre d'affaires, contre 327 millions de dollars en 2014, et causé des pertes opérationnelles à hauteur de 3,57 milliards de dollars, contre 1,94 milliards de dollars un an plus tôt. Au total, Alphabet a donc investi 6 milliards de dollars en trois ans dans ces projets censés « optimiser le potentiel de création de valeur à long terme d'Alphabet », mais qui à court terme semblent tout de même très coûteux. Heureusement, Alphabet et Google peuvent se le permettre.

Pour rassurer ses investisseurs, Alphabet précise tout de même que par nature ces projets sont tous plus ou moins à des phases très peu avancées de leur développement et qu'ils ont donc besoin de beaucoup d'investissements pour être soutenus. L'entreprise ne compte toutefois pas forcément tout faire toute seule, et cherchera à nouer des partenariats afin d'augmenter les revenus de ces « Moonshots », ou éventuellement de financer leurs travaux.

Ruth Porat précise tout de même que « les plus gros paris restent quoi qu'il en soit pris au sein même de Google », citant les efforts du géant de la recherche dans les domaines de la réalité virtuelle (qui ne se limitent pas au Google Cardboard) ou du « machine learning ». 

Alphabet > *

En bourse, les investisseurs n'ont pas été refroidis par les dépenses colossales d'Alphabet sur ses projets annexes, notant surtout que les revenus et bénéfices opérationnels de Google augmentaient plus vite que les investissements dans les « Moonshots ». 

Leur enthousiasme s'est manifesté par une hausse de 5,2 % du cours de l'action d'Alphabet après la clôture de la dernière séance, ce qui porte la valorisation de l'entreprise à 544 milliards de dollars. Si ce chiffre semble à première vue anodin, il s'agit en réalité d'un petit évènement. Apple ayant vu sa valeur se réduire de 20 % ces trois derniers mois, sa valorisation atteint aujourd'hui 539 milliards de dollars.

Alphabet est donc devenue aujourd'hui l'entreprise la plus chère du monde, détrônant un autre géant de la Silicon Valley au passage. Les deux sociétés se tenant dans un mouchoir de poche, il sera intéressant de voir si cette situation est vouée à durer, ou si les deux firmes échangeront leur place dans les jours et semaines à venir. Microsoft, avec sa valorisation de 435 milliards de dollars, pourrait également venir jouer les trouble-fête à l'occasion.

Écrit par Kevin Hottot

Tiens, en parlant de ça :

Sommaire de l'article

Introduction

Alphabet roule sur l'or

Essayer d'innover, cela coûte très cher

Alphabet > *

Commentaires (46)


“Suite à”…



C’est horripilant. Halte à l’appauvrissement du vocabulaire !


Sinon y a un bouton “signaler” qui est fait exactement pour signaler ce genre de chose… enfin je dis ça, je ne dis rien hein… <img data-src=" />


Pour l’objectif lune, je propose le Moonshine, très sympa à boire <img data-src=" />

Spécialité du Kentucky<img data-src=" />



Au passage, c’est super bon ^^


Objet indispensable pour terminer Redneck Rampage <img data-src=" />


…mais j’le dis quand même : les brunchs sans quinoa, quinoa








NonMais a écrit :



Sinon y a un bouton “signaler” qui est fait exactement pour signaler ce genre de chose… enfin je dis ça, je ne dis rien hein… <img data-src=" />





Je pense que ce pauvre bouton souffre d’un problème évident d’ergonomie (l’utilisateur s’attend logiquement à le trouver en fin d’article et non sur un bandeau affublé d’une icone très ‘material design’), ce sera probablement corrigé dans la V7 de NXI <img data-src=" />





544 milliards de dollars. Si ce chiffre semble à première vue anodin



Oh bah oui, c’est presque autant que mon livret A <img data-src=" />


Je suis assez d’accord la dessus, un bouton en fin d’article (sans forcément supprimer celui qui existe) serait pas mal niveau ergonomie.&nbsp;


J’ai toujours cherché ce bouton sous l’article…&nbsp;<img data-src=" />








NonMais a écrit :



Sinon y a un bouton “signaler” qui est fait exactement pour signaler ce genre de chose… enfin je dis ça, je ne dis rien hein… <img data-src=" />





C’est juste qu’il veut se faire mousser en public&nbsp;<img data-src=" />



La valorisation de Google s’explique principalement car les investisseurs pensent que les Moonshots sont un modèle qui génèrera du cash à moyen terme. D’autres ont essayé et s’y sont cassé les dents. Je trouve cela dément!!!


La bourse et les investisseurs ça voit à court terme, il voit que les bons résultats de Google ne sont pas plombés par les dépenses des Moonshots (c’est écrit dans la news btw).


&nbsp;448 millions de CA, 3,57 milliards de dollars de pertes, le fisc américain doit aimer.


Chacun son tour : Microsoft, Apple et Google ont été la plus grosse capitalisation boursière à des moment de mutation de la société grâce à l’informatique.



Microsoft : décollage du Personnal Computer dans tous les foyers

Apple : mobile first

Google : personnal data everywhere



“Les deux sociétés se tenant dans un mouchoir de poche” … Un mouchoir de poche de 5 milliards quand meme !&nbsp;<img data-src=" />


bah ça fait 1% de leur valorisation =&gt; un mouchoir de poche.


Le métier de commentateur économique est vraiment simple : il n’exige de connaitre que 4 cas de figure réductibles à 2 possibilité de commentaires.



Les résultats sont soit bons soit mauvais et le cours de bourse est soit en hausse soit en baisse, ce qui laisse in fine des probabilités que les résultats sont soit conformes soit déçoivent les attentes à 50%-50% en moyenne, auxquels cas on adapte le discours par les phrases de convenance pré-établies.



Et voila ! Vous avez une explication ex post facto ad hoc rationnelle pour tous les cas de figure et fait passer avantageusement le commentateur économique pour un prodige de la prédiction. Ce monde est magique.


D’autres s’y sont cassés les dents … comme ? <img data-src=" />



Tout ne donnera pas d’argent (par exemple jes différentes solutions pour donner de la data entre les ballons et les planeurs, j’ai un gros doute de la viabilité à long terme) … mais ces projets ont différents avantages :




  • présenter Google comme une boite innovante et attractive et pas juste comme un “vendeur de pub” pour attirer les jeunes talents

  • est source de nombreux brevets qui peuvent être à eux seuls rentable à long terme

  • permet à Google de rencontrer des boites et administration pour lier des partenariats, et quand on a le pied dans la porte …



    Wait & see, mais quand on a tant de cash comme Google pourquoi ne pas tenter le coup.








Nyco87 a écrit :



Chacun son tour : Microsoft, Apple et Google ont été la plus grosse capitalisation boursière à des moment de mutation de la société grâce à l’informatique.



Microsoft : décollage du Personnal Computer dans tous les foyers

Apple : mobile first

Google : personnal data everywhere





J’aime beaucoup ce résumé

“Chacun son tour : Microsoft, Apple et Google ont été la plus grosse capitalisation boursière à des moment de mutation de la société grâce à l’informatique.&nbsp;“et Demain ça sera peut-être un Facebook ou autre Alibaba etc. etc.



Rien ne t’empêche d’expliquer comment ça marche ou ta manière de voir les choses et donc nous instruire au passage, moi je ne dis jamais non quand je peux apprendre.








atomusk a écrit :



D’autres s’y sont cassés les dents … comme ? <img data-src=" />



&nbsp;

J’ai en tête IBM ou HP. Les recherches des laboratoires n’étaient pas en ligne avec les besoins du marché quand il a fallu changer de cap.

Je comprends les objectifs que se fixent les dirigeants / fondateurs de Google pour l’IP / partenariats.



Je dis simplement que c’est très risqué pour un investisseur de prendre pied chez Google. Demain, un concurrent va proposer un modèle publicitaire moins cher et aussi performant, les indicateurs illustreront une survalorisation de la société et le cours baissera. On a le cas en France avec les FAI. Depuis l’arrivée de Free, la valorisation ne se fait pas sur la vitesse de communication mais sur les services apportés au client.









tmtisfree a écrit :



Le métier de commentateur économique est vraiment simple : il n’exige de connaitre que 4 cas de figure réductibles à 2 possibilité de commentaires.



Les résultats sont soit bons soit mauvais et le cours de bourse est soit en hausse soit en baisse, ce qui laisse in fine des probabilités que les résultats sont soit conformes soit déçoivent les attentes à 50%-50% en moyenne, auxquels cas on adapte le discours par les phrases de convenance pré-établies.



Et voila ! Vous avez une explication ex post facto ad hoc rationnelle pour tous les cas de figure et fait passer avantageusement le commentateur économique pour un prodige de la prédiction. Ce monde est magique.







C’est la presse hein, il faut que ce soit… simple et digeste.



Je ne sais toujours pas où il est, et je suis abonné depuis deux ans ?! C’est effectivement pas mal en termes d’UX :p



EDIT : Ah, d’accord, ce truc en haut qui s’affiche au scroll. Yurk.


Vu que ce qui rapporte énormément à Google c’est la publicité sur ses services (Recherche, Youtube, …) je vois pas trop quel serait l’impact si quelqu’un sortait avec un “modèle publicitaire moins cher et aussi performant”.



Hormis si tu sous-entend que Youtube et Google vont passer dessus <img data-src=" />



Par contre un effondrement de la pub en ligne, en effet ça pourrait faire mal à Google …



D’où le fait que Google a d’autant plus raison d’investir dans des domaines “autres” pour prendre les devants et diversifier son jeu.


Beaucoup d’activité naissante, ne sont pas rentable directement.








tmtisfree a écrit :



Le métier de commentateur économique est vraiment simple : il n’exige de connaitre que 4 cas de figure réductibles à 2 possibilité de commentaires.



Les résultats sont soit bons soit mauvais et le cours de bourse est soit en hausse soit en baisse, ce qui laisse in fine des probabilités que les résultats sont soit conformes soit déçoivent les attentes à 50%-50% en moyenne, auxquels cas on adapte le discours par les phrases de convenance pré-établies.



Et voila ! Vous avez une explication ex post facto ad hoc rationnelle pour tous les cas de figure et fait passer avantageusement le commentateur économique pour un prodige de la prédiction. Ce monde est magique.





Chez Associated Press les articles financiers présentant les bilans de certaines entreprises cotées sont rédigés par des bots.









Slash a écrit :



Je pense que ce pauvre bouton souffre d’un problème évident d’ergonomie (l’utilisateur s’attend logiquement à le trouver en fin d’article et non sur un bandeau affublé d’une icone très ‘material design’), ce sera probablement corrigé dans la V7 de NXI <img data-src=" />





Je plussoie et espère cette évolution.

Pas moyen de trouver ce foutu bouton à chaque fois que je le cherche.









Pictou a écrit :



Rien ne t’empêche d’expliquer comment ça marche ou ta manière de voir les choses et donc nous instruire au passage, moi je ne dis jamais non quand je peux apprendre.





Le hic est que je ne peux pas : les relations entre tel ou tel évènement qui dépendent chacun de millions de causes possibles et non connues (qui elles-mêmes dépendent de causes possibles et non connues, qui etc) ne sont pas facilement et ni même possiblement « établissables ». Tu pourras toujours tenter d’établir des corrélations statistiques mais elles ne fourniront aucun pouvoir prédictif parce que le socle de causalité est epsilonesque ou inexistant. Les rares relations trouvées montrent surtout les biais de comportement (effet meute, surtout avec les réseaux sociaux et l’infos temps réel), mais sont loin d’établir un lien causal. L’évolution historiques des modèles de formation de prix illustre la problématique : on est passé de modèles purement mécanistiques aux modèles actuels basés sur les agents et leur comportement, mais le mur est resté le même : l’agrégation statistique ne permet pas de déterminer de lien causal (l’information diluée est perdue). Une solution possible (bottom-up) serait d’obtenir les informations a priori d’un large échantillon d’agents et de procéder à une renormalisation afin d’extraire les informations pertinentes. Mais modéliser cela est difficile.



Le problème se résume à ceci : les marchés influencent-ils les décisions et commentaires ou les décisions et les commentaires influencent-elles les marchés ? Intuitivement les 2 réponses semblent valides. Et donc désintriquer les liens causaux est un challenge.



Oui mais là tu parles à un niveau de détail tellement élevé qu’il dépendrait de chaque cas étudié.



Dans tous les problèmes complexes il y a toujours des paramètres qui influent sur le résultat au premier ordre, c’est de ceux là qu’on parle généralement et qu’on pense en premier. Les millions de paramètres n’ont de sens que si tu as besoin de ce niveau de détail. Ici on dit ça monte ou ça descend, on ne dit pas, “c’est monté de 5.2% parce que… ” On dit, “c’est monté parce que …, et il se trouve que c’est monté de 5.2%”.



&nbsp;Les modèles qui sont utilisés actuellement (dans leurs algorithme par exemple), ont besoin de ce niveau de précision car c’est une véritable course entre les différents traders et l’information la plus exacte permet de prendre la bonne décision et donc de gagner plus d’argent. Ici, on a pas besoin d’un tel niveau de précision, car on ne s’intéresse pas au pourquoi c’est monté de X%, mais on s’intéresse au fait que c’est monté, et ça suffit.



Bref, on ne traite pas du même problème je pense.



Quand à ton résumé du problème (au moins sur la manière de le poser) on fait la supposition que l’effet ne va que dans un sens (vers la gauche pour le premier cas, vers la droite pour le second).








Pictou a écrit :



Oui mais là tu parles à un niveau de détail tellement élevé qu’il dépendrait de chaque cas étudié.



Dans tous les problèmes complexes il y a toujours des paramètres qui influent sur le résultat au premier ordre, c’est de ceux là qu’on parle généralement et qu’on pense en premier. Les millions de paramètres n’ont de sens que si tu as besoin de ce niveau de détail. Ici on dit ça monte ou ça descend, on ne dit pas, “c’est monté de 5.2% parce que… ” On dit, “c’est monté parce que …, et il se trouve que c’est monté de 5.2%”.



 Les modèles qui sont utilisés actuellement (dans leurs algorithme par exemple), ont besoin de ce niveau de précision car c’est une véritable course entre les différents traders et l’information la plus exacte permet de prendre la bonne décision et donc de gagner plus d’argent. Ici, on a pas besoin d’un tel niveau de précision, car on ne s’intéresse pas au pourquoi c’est monté de X%, mais on s’intéresse au fait que c’est monté, et ça suffit.



Bref, on ne traite pas du même problème je pense.



Quand à ton résumé du problème (au moins sur la manière de le poser) on fait la supposition que l’effet ne va que dans un sens (vers la gauche pour le premier cas, vers la droite pour le second).





Je ne parle que de relier 2 informations et de l’absence de justification sur ce lien autre que « le sentiment » ou les « attentes » toujours donnés a posteriori quelque soit le sens de la fluctuation. Cette information a zéro valeur explicative et n’est que de la justification ex post facto. Tu n’as jamais vu écrit qu’un commentateur s’est trompé, parce qu’il y en existe forcément toujours assez pour couvrir l’espace des probabilités.



Les systèmes complexes n’ont pas encore de théorie physique mature universelle, et les interactions entre économistes et physiciens sont récentes, les derniers faisant souvent preuves de leur arrogance coutumière en face des premiers qui ont une large histoire et corpus de recherche analytique, explicatif et qualitativement prédictif. Tout cela pour dire que puisqu’on ne sait pas théoriquement, on laisse sous-entendre sans le dire que le lien existe pratiquement alors qu’on n’en sait rien puisqu’on ne peut pas justifier l’existence et encore moins la direction de la flèche (ou des flèches) de causalité.



Youtube, ils l’avaient payé combien, à l’époque ? (Je ne retrouve pas le chiffre.)

Mais ça devait être une poignée de brouzoufs, pour maintenant… <img data-src=" />


+1 : yes:

Sur 2015, j’ai remonté une vingtaine d’erreurs au total. Sur les seuls articles que j’ai lus / je ne lis pas tout.

Donc ce bouton est réellement nécessaire et devrait être mieux mis en évidence. Il pourrait être dupliqué tout à droite de la photo de l’auteur en bas de l’article dans la grande zone vide. Ce serait cohérent pour signaler une erreur à l’auteur.


1.65 Milliard.



Quand même une GROSSE poignée de brouzoufs <img data-src=" />


<img data-src=" />

Ils ont dû l’amortir 100 fois depuis… <img data-src=" />


Je pense que la différence de niveau entre nous deux sur le sujet est tellement grande que je n’arrive pas à saisir la subtilité de tes propos, je vais lire “The economy as a complex adaptive system” et “Complex adaptive systems” que tu as linké.&nbsp;A défaut de pouvoir bien te comprendre ou simplement pouvoir répondre de manière plus pertinente, j’apprendrai des choses, merci pour les liens.








Pictou a écrit :



Je pense que la différence de niveau entre nous deux sur le sujet est tellement grande que je n’arrive pas à saisir la subtilité de tes propos, je vais lire “The economy as a complex adaptive system” et “Complex adaptive systems” que tu as linké. A défaut de pouvoir bien te comprendre ou simplement pouvoir répondre de manière plus pertinente, j’apprendrai des choses, merci pour les liens.







Si ce type de sujet t’intéresse, ce très bon papier de revue replace les limites des théories économiques (classique, keynésienne et autrichienne) dans le cadre des systèmes complexes et permet de mieux cerner et comprendre un grand nombre de chose relatives au système de l’économie moderne (et à ses assauts) avec une conclusion qui s’est malheureusement vérifiée par le split entre d’un côté la quant (analyse financière quantitative) et de l’autre la behavioral finance. Il permet aussi d’illustrer à une autre échelle relative mon point plus haut que la complexité et la compréhension d’un tel système (ou d’un nœud particulier comme la bourse) est inaccessible (pour le moment ?). D’où ma prose plus haut sur la vacuité à commenter sur un lien causal inconnaissable.



Je te remercie, avoir des infos de qualité sur le sujet,&nbsp;ça&nbsp;m’intéresse beaucoup.


Ca n’a pas grand chose à voir mais je suis en train de me demander combien de gens ont pris un abonnement à Youtube Red… Ca fait maintenant trois mois que c’est lancé et je n’entends pas grand chose au sujet des résultats de ce service.


Impressionnant. Ils en sont a combien en trésors de guerre?


Peut être pas 100 vus les charges serveurs mais c’est sur que c’est très rentable maintenant!


juste pour être crtain de parler de la même chose :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alcool_de_contrebande



Ils font une version “commerciale” depuis quelques années.



;)


Yup. La goutte de papy <img data-src=" /> <img data-src=" />.



Dans Redneck Rampage, ça te rendait plus fort (de mémoire) <img data-src=" />


<img data-src=" />

J4ai pas pu en ramener, les bocaux étaient trop gros pour les caler dans la valise, et vu l’état de la valise à l’arrivée, j’ai bien fait :/



J’y ai pas joué à celui la, je suis resté sage avec D3D Atomic ^^


Ses réserves de liquidités atteignent désormais 73 milliards de dollars…



C’est bien mais pas top*.



*en comparaison de mon livret A, de celui d’Apple et de MS..


C’est dispo en dehors des US ? La seule feature du truc qui m’intéressait c’était la lecture en arrière plan.. Limite artificielle stupide qui se déverrouille en un clin d’oeil avec le module Xposed qui vas bien.








tmtisfree a écrit :



blah blah blah… un prodige de la prédiction. Ce monde est magique.







https://youtu.be/JOpBbSjEV6c?t=107

Note de la direction :

Merci de ne pas nourrir les animaux tout vert et tout poilu.