François Hollande a précisé hier les contours de la « grande école du numérique » qu’il avait promise un peu à la surprise générale en février dernier. Cinquante structures proposant des formations diplômantes devraient ainsi être labellisées d’ici la fin de l’année, principalement à destination des jeunes sortis du système scolaire, puisque celles-ci seront accessibles sans condition d'âge ou de diplôme.
L’exécutif n’avait pas lésiné sur les moyens pour réussir son opération séduction auprès des geeks, puisque c’est devant un parterre de jeunes développeurs, conviés pour un hackathon organisé à l’Élysée, que le chef de l’État s’est exprimé hier. « La France veut être un pays numérique » leur a lancé le président, n’hésitant pas à citer les exemples de réussites françaises en la matière – l’instar d’eBay, Deezer ou Blablacar. François Hollande en est ainsi vite arrivé au rôle de l’école, la formation au numérique étant souvent vue comme un point noir en France.
« Tout doit normalement passer par l'école. Mais il y a ceux qui sont sortis de l'école déjà depuis des années. Il y en a qui n'auront pas forcément dans l'école ce qu'ils attendent et qui néanmoins se sont convaincus que leur avenir pouvait passer par le numérique. Et puis il y a (...) les besoins de l'économie numérique, qui ne trouve pas nécessairement une offre correspondante du côté des systèmes actuels de formation » a déclaré le chef de l’État, quelques minutes après avoir reçu les conclusions de la mission de préfiguration sur la « grande école du numérique ».
Une « grande école du numérique » rassemblant des formations spécialisées
« Grande école du numérique » ? Contrairement à ce que l’on pourrait croire à premier abord, ne s’agira pas d’un établissement unique – à l’image par exemple de l’école 42 de Xavier Niel. Les pouvoirs publics veulent simplement rassembler différentes écoles ou associations proposant, un peu partout sur le territoire, des formations dédiées au numérique. « D'ici la fin de l'année, 50 structures seront labellisées. Nous avons l'objectif qu'il y ait déjà 2 500 élèves qui puissent commencer d'être formés » ambitionne François Hollande. Un appel à labellisation a ainsi été lancé jusqu’au 19 octobre. D’autres devraient suivre, puisque l’exécutif envisage de décerner 200 labels « sous trois ans », pour 10 000 jeunes formés au total.
Selon le président, cette « grande école » aura pour particularité d’être « ouverte à tous », dans la mesure où il n’y aura ni de condition d’âge, ni de condition de diplôme pour y accéder. « La seule motivation doit être le critère [de sélection] » a-t-il précisé en ce sens. Les formations qui seront labellisées se voudront souples et innovantes, le chef de l’État ayant évoqué des pédagogies « différenciées », afin « que ce ne soit pas le même programme qui puisse être dispensé ». Les équipes pédagogiques viendront d’ailleurs d’horizons différents : enseignants de l’Éducation nationale, universitaires, formateurs, entrepreneurs, etc.
Des formations courtes et diplômantes
Les formations éligibles pourront durer entre 3 et 24 mois, et viseront par exemple à accéder à des postes de développeur, d'intégrateur logiciel, de codeur, de graphiste web, de community manager, etc. Elles donneront pour cela lieu à la délivrance d’un diplôme. « Pour que ce soit crédible, il faut que les formations puissent être reconnues par une labellisation, sur la base d'un cahier des charges ; par les entreprises, qui doivent savoir si les uns et les autres sont passés par la grande école du numérique ; et enfin il faut que les formations soient inscrites (...) au répertoire national des certifications professionnelles » a ainsi indiqué François Hollande.
Le locataire de l’Élysée en a bien entendu profité pour souligner que l’objectif de cette « grande école du numérique », c’était l’emploi. « Il faut que nous ayons beaucoup plus de jeunes – et de moins jeunes – qui puissent être formés à ces technologies » a-t-il soutenu. « Nous devons nous dire que tous ceux qui passeront dans ces écoles du numérique, rassemblées dans la grande figure qui nous sera proposée, seront des élèves, des apprenants, qui iront vers l'emploi. L'emploi qu'ils créeront eux-mêmes, l'emploi qui leur sera proposé par toutes sortes d'acteurs économiques... »
Commentaires (108)
#1
LA solution pour apprendre l’informatique sur des tablettes Archos à 99€.
#2
“NUMERIQUE”, écrit façon cristaux liquides… " />
#3
AHHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHHAHAHAHAHAHAHAAHAHAHAH
Dsl mais là ….j’ai ri !
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Formations prestashop? [/LangueDePute]
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Génération TOP 50 !!!! " />
#6
A voir en pratique mais je trouve que ca part d’une bonne volonté. Il reste a voir si les entreprises acceptent d’élargir les profils qu’ils recrutent.
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C’est beau ce lancement, quelques jours après le fiasco confirmé des offres de clouds souverains ;)
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”… et viseront par exemple à accéder à des postes de “ développeur de logiciels de boîtes noires pour les renseignements. Mais, 24 mois semble un peu court pour maitriser toutes les subtilités de ce type d’algorithme.
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Dommage qu’on soit dredi. ça va juste troller je le sens.
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“François Hollande lance sa « grande école du numérique »”
Moi j’suis plutôt d’humeur a lancer des tomates,chacun son truc…
#11
Désolé mais franchement je vois pas pourquoi ça vous fait râler.
Je trouve le concept plutôt sympa surtout que pour une fois on sort carrément du système scolaire pour entrer dans celui du travail.
Des formateurs issus du monde pro, il y aura pas mieux pour répondre à la demande.
#12
Entre Hollande et Orange, les réfugiés deviendront tous informaticiens " />
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#14
l’exécutif envisage de décerner 200 labels « sous trois ans », pour 10 000 jeunes formés au total.
Selon le président, cette « grande école » aura pour particularité d’être « ouverte à tous », dans la mesure où il n’y aura ni de condition d’âge, ni de condition de diplôme pour y accéder.
10.000 jeunes, mais sans condition d’âge. Toujours aussi cohérent dans son discours le mou du slip." />
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On monte des “community college” en France, donc.
Mais pour ne former que des pisseurs de code.
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En gros : Si vous êtes en echec scolaire , l’école du numérique est faite pour vous.
Ca part d’un bon sentiment.
Mais ca risque de tirer le métier par le bas.
Déjà qu’on met tous les informaticiens dans le même panier. Tant qu’à faire, autant de mettre encore plus de gens dans ce métier à ‘dimension variable’.
Bref, “Plus on est des fous, moins y a riz”, comme disait mon collègue.
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10 000 emplois, vu le secteur, ça a plus de gout de plan com qu’autre chose, c’pas avec ça qu’on va rattraper notre retard.
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pas besoin de subtilités pour créer des trous … " /> on leur apprendra à ouvrir un port et à router des paquets dedans et paf ! ça fait des chocapics !
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Ouaip, l’informatique est tellement vaste et concerne tellement de chose dans des domaines différents et précis (informatique embarqué, IA, dev web, dev java, dev , maintenance, réseau) que foutre des abrutis en échec dans ce panier ne leur posera pas de problème vu qu’il n’arrive déjà pas à faire la différence entre un informaticien et un autre.
Enfin, l’idée est peut être bonne, mais je sens le fiasco et la baisse de niveau de la profession.
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idem … je sens arriver aussi des pelletées de jeunes “diplômés du numérique” dans les bureaux de recrutement des SSII, qui accepteront les salaires les plus bas garantis par le syntec …
et avec des formations à 2 ans j’appréhende sur la qualité des futures productions numériques françaises …
avec un peu de chance justement ce critère permettra enfin de se rendre compte que de nos jours on prime l’ancienneté bien plus que l’expérience, et les diplômes bien plus que les compétences et la qualité du travail …
si on pouvait revenir à un système plus méritatoire ça ferait pas de mal …
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Encore des labels, des pactes, des blablas… .
+1, le numérique en lettrage LCD des années 80, ca veut tout dire… .
#41
Je parle pas que de la partie dev, mais plus généralement hein. La partie “réseau” évolue pas aussi vite que le développement par exemple.
Après la plupart des boites en info ne regarde même plus le diplôme, là où je suis actuellement ils m’ont pas demandé du tout mon cursus mais ce que j’avais fais précédemment et ce que j’avais touché et acquis comme expérience.
L’informatique ne se limite pas seulement au développement hein, quand je vois certains développeurs (qui sont bons dedans) ne connaissant pratiquement rien en hardware, tu te dis que le côté “maintenance” est complémentaire. Donc oui, pour certaines “parties” de l’informatique, un diplôme est inutiles vu l’évolution, mais ça ne concerne pas toutes les facettes de ce mot fourre-tout hein " />
#42
De belles idées et de belles paroles qui ne seront jamais vraiment mises en application. J’espère me tromper.
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J’ai reçu une offre (comme tout le monde ou presque) d’OpenClassRooms ce matin pour 50% de réduction sur toutes leur formation (1 an, 90 euros, accès à tout).
François Hollande avait, il me semble, avant l’été déclaré que les chômeurs pourraient bénéficier gratuitement des cours d’OpenClassRooms.
Où en est cette histoire ?
Je suis disposé à payer un peu, au besoin, mais si possible moins de 50 euros.
On parle beaucoup de numérique, mais je n’ai rien vu venir concernant ces “déclarations”…
#53
On doit pas connaître les mêmes. Quant aux outils, ils ne sont que ce qu’ils sont : des outils. Le principe justement c’est d’apprendre tout ce qui va autour indépendamment des outils. C’est marrant mais tu vois quand on fait des logiciels pour mettre dans un avion, on rencontre pas des masses d’auto-didactes.
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#55
Si j’ai bien pigé, le but est juste de labelliser des écoles / association existantes ? Donc… rien ne change…
Formation de 3 à 24 mois, ok pour 24 mois, mais 3 c’est quoi ? Trouver le bon sens du port USB du premier coup ( maintenant que la péritelle n’existe plus) ?
#56
@lyni : formation a un outil particulier sous condition de déjà connaître le contexte d’usage ? Je ne vois que ça.
#57
Je confirme pour l’avion. Jamais vu aucun autodidacte. Il faut fournir à la certification un document qui contient les CV des personnes qui ont participé au projet, rien que ça… De toute façon, j’ai l’habitude de dire que n’importe quel péquin est capable de faire un logiciel qui tourne. Après se pose la question de la maintenabilité et surtout de la fiabilité (sans parler du temps mis pour arriver au résultat final).
#58
Tu réponds là à 90% des entreprises qui demande un expert sécurité …
#59
Bonne idée sur le papier, en revanche pas d’accord pour appeler ça “Une grande Ecole”.
Une grande école ça se mérite et il y en a déjà de qualités très diverses… je pense qu’ils auraient pu choisir simplement “école du numérique’.
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#61
Ainsi pour avoir l’air de donner de l’importance au numérique, on lui colle des labels. M’enfin, attendons le résultat …
#62
“Labels au bois dormant”
Ma journée est refaite. " />
#63
definition de numérique
Deja le nom n’a aucun sens.
Et les formations existente ne pose aucun problème. Si Les gens n’ont pas suivis les cours et ne peuvent pas prouver ce qu’ils ont appris on peut rien y faire.
De plus il ya plétore de dispositif de formation existent comme les DU (Diplome universitaire) spécifiquement fait pour des gens ayant quitté le système scolaire ou voulant une spécialisation.
Il y a aussi les cours par correspondance, la validation des acquis, des formations privées (ou je sais elles ne sont pas reconnus), apprendre soi même(pour du code c’est pas super compliqué).
Et les formations universitaires donnent droits à des aides de pôle emploi
#64
et ca s’appellera 43?
Vu qu’il a pas du comprendre, pour 42 " />
#65
C’est une bonne idée, il y a besoin d’informaticiens sur le marché du travail, autant en former.
Tout repose sur la crédibilité de ces formations et leur sérieux.
La qualité des intervenants et de l’encadrement sera un facteur clef de succès.
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HUM …
Bonne idée, si ça ne venait pas de lui.
Quand on voit la façon dont il traite le numérique et la communication, on ne peut que redouter le pire.
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SI j’ai bien compris, il ne s’agit que d’une labellisation de structures déjà existantes? Donc c’est juste de la com’ pour apporter plus de cohérence et de visibilité à l’offre existante.
Je ne dis pas que c’est inutile, mais ça relativise l’ampleur de l’annonce: il n’est pas question d’ouvrir des écoles.
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mouais, il manque de ressources à Paris, Lyon à la rigueur, mais en régions, on est blindés, avec des gamins qui cassent les prix en vendant (illégalement) des thèmes achetés ou volés pour rien sur le web pour ce qui concerne les sites internet par exemple. Perso, je pensais plutôt me reconvertir dans un truc moins chargé vu que je ne suis pas tenté par la vie à Paris. (merci de ne pas me sortir à la campagne on a des oiseaux autres que des pigeons, je parle de la plupart des villes assez grandes françaises).
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A la campagne on a des animaux autre que des Rats!
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Ben oui j’en mets : Sur le DD ou encore sur la carte mère : dans une EEPROM/NAND.
" />
#77
Heu… c’était juste un exemple.
Le développeur se devrait aussi de connaître les pièces de son PC et pouvoir les réparer/remplacer.
Y’en a qui codent, d’autres qui aiment triturer les fichiers config d’apache ou autre, chacun son domaine. Mais tout le monde devrait avoir la compétence niveau hardware.
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#79
L’informatique n’est pas la science des ordinateurs…
#80
J’aurais été d’accord y’a quelques années mais l’évolution des technos actuellement nous donnerait tord.
Par exemple, de nombreux écosystèmes de développement externalisé commence à murir.
Par exemple :
https://www.visualstudio.com/en-us/products/code-vs.aspx
https://www.visualstudio.com/en-us/products/what-is-visual-studio-online-vs.aspx
Avec ces deux outils, tu peux développer et gérer ton projet sans avoir a déployer un quelconque environnement de développement classique. Un simple navigateur sur tablette ARM fera l’affaire.
Et tu as une éditeur de code complet, une gestion de source et tu peux déployer/débugguer sur des environnements clouds.
Du coup, la nécessité de connaitre son hardware tend a disparaitre pour ne laisser que l’essence même du développement.
Est ce bien ? Pas d’avis de mon côté. Connaitre son hardware est un plus de mon point de vue mais c’est peut être utopiste.
Des gens arrivent a vivre sans savoir comment leur corps fonctionne ….
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Dans ce cas c’est clair que ce n’est pas utile, effectivement.
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Les plus grandes avancées algorithmiques qui permettent d’avoir les ordinateurs qu’on a aujourd’hui ont été majoritairement réalisées avant l’invention de la première calculatrice mécanique !
L’outil est une limite c’est tout… comme les astronomes qui pestent sur les télescopes minables qu’on a aujourd’hui !
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Quand je parle hardware c’est vraiment que le physique donc comment est codé le BIOS à l’intérieur c’est pas la question (si c’est dans ce sens là).
Pour moi c’est : détecter une barrette de RAM défectueuse, vérifier si le DD est en bon état (secteurs morts), changer les pièces, différentier les types de ports, savoir quantifier ses besoin en terme de puissance, réparer une alimentation (changer les condos par exemple)… Bien que pour cette dernière faut faire attention à pas prendre de décharge " /> Oui j’en ai déjà pris une et ça fait pas du bien " />
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#89
Perso je suis à Angers , il y a environs 5 offres d’emplois par semaine, que du web! Après c’est peu-être un cas à part j’en ai aucune idée! " /> ( et à la base mon com était juste pour t’embêter sur le fais de ne pas parler des pigeons! " /> )
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19 " />
#93
“Le digital et le numérique” ? Ouai… Les tablettes sont tactiles, certes.
#94
Je tilte maintenant, mais quel est le rapport entre le community manager et la choucroute ? Il ne fait pas de l’informatique celui là mais du relationnel !
#95
Vas y François,continue ta croisade.
déjà élu par une minorité de français,tu dois imposer ta loi de tyran.
#96
Donc il aurait fallu tout arrêter ? Et ne rien faire parce qu’il y a eu un échec quelque part (qui n’a rien à voir avec le sujet d’ailleurs) ?
#97
Le locataire de l’Élysée en a bien entendu profité pour souligner que l’objectif de cette « grande école du numérique », c’était l’emploi.
Ah ok, c’est pas du gardiennage, pour les occuper quand y’a rien à la tv ? Encore de la politique avec des discours marketing foireux, du pompeux “grande école du numérique”, et ajouter une formation pré embauche ça serait pas plus rapide et efficace ? Sans le fric qui va encore partir dans un palais de sultan en marbre qu’ils vont appeler école ?
Et ceux qui sont issus ou en cours de formation dans des universités avec de l’expérience en formations informatiques ? On est en train de leur dire “non toi tu pues” ?
#98
Ah non, si l’État devait s’arrêter à cause de son incompétence… Non, rien oublie ;)
Je voulais juste faire le parallèle en matière de gestion de projets d’envergure autour de l’informatique et des “nouvelles” technologies.
D’ailleurs, j’ai bien l’impression que ces technologies restent “nouvelles” aux yeux de nos dirigeants, alors qu’elles ne sont pas arrivées l’année dernière…
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#100
#101
#102
Déjà écrire numérique avec la font Digital, ça fait gros boulet mais le budget, il va le trouver où ??
Et les bécanes ça sera quoi, des PC avec du i7, 16Go, du SSD et j’en passe ou ça sera des vieux coucous à base de P4, 4Go, du vieux HDD mécanique et j’en passe ??
Et puis, le métier de techos est quand même bien plein, donc dur de promettre qu’il y aura du boulot une fois passé par cette école. " />
#103
#104
#105
des postes de développeur, d’intégrateur logiciel, de codeur, de graphiste web, de community manager, etc
Chercher l’intrus !
M’est avis que notre bon président se met fourvoie un peu. Il est bien naïf s’il croit qu’un label “grand école du numérique” va suffir, il faudra toujours préciser laquelle surtout si le but est de garder un panel hétéroclyte d’école dedans.
Il est passé où le LMD ?? Y’a quelques temps ils ne juraient que par ça nos têtes pensantes.
#106
C’est sûr, dans l’avionique on se contente d’un ou deux tests sur le logiciel, on pourrait même en faire moins que pour assurer le fonctionnement d’un site web, de toute façon les morts ne viennent pas se plaindre. Puis un logiciel d’avion c’est simple comme bonjour, pas besoin d’être bien malin pour le concevoir.
#107
#108
Ton message précédent insinuait complètement que dans l’avionique on dépense plus de temps et d’argent à faire de la paperasse qu’à vérifier le bon fonctionnement des logiciels qu’on déploie, et qu’un type lambda peut le faire sans avoir de capacités particulières. C’est juste pas le cas.
Et ça ne change rien au fait qu’on ne rencontre quasiment jamais d’autodidactes sur de tels systèmes.