Voilà qui devrait plaire à ceux ne qui supportent plus l’utilisation du mot « digital » (qui, en français, renvoie au doigt) pour parler de numérique. La fameuse Commission générale de terminologie et de néologie recommande de préférer l’expression « enfant du numérique » en lieu et place de « digital native ».
Au travers d’un avis paru hier au Journal officiel, la Commission générale de terminologie et de néologie a publié une liste de nouvelles équivalences de termes étrangers utilisés dans le monde de l'éducation et de l'enseignement supérieur. Aux côtés des mots « edumetrics » ou « equating », figurait le désormais très répandu « digital native ».
Pour désigner ce genre de personnes qui, explique la commission, ont « toujours vécu dans un environnement numérique », il est désormais officiellement recommandé de parler « d’enfants du numérique ». Ces derniers sont présumés être « famili[ers] des outils et des usages des nouvelles techniques d'information et de communication », dans la mesure où ils ont grandi avec Internet, les téléphones portables, etc. Il s’agit donc grosso-modo des individus nés à partir du milieu des années 80.
L’emploi de cette expression va surtout devenir « obligatoire pour les services de l'État et les établissements placés sous sa tutelle », comme le rappelait il y a un peu plus d’un an le secrétaire d’État en charge de la Réforme de l’État. Interrogé par un député, il soulignait dans le même temps que le coût de cette fameuse commission de néologie était nul pour le budget de l'État. « Les experts qui composent cette instance exercent leurs fonctions à titre gratuit, ainsi que sa présidente (...). Il n'y a pas de fonctionnaires ni de moyens financiers spécifiques mis à la disposition de la commission. »
Commentaires (115)
#1
Pour une fois c’est pas dégeu x)
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#3
Enfant du numérique, c’est aussi ridicule que digital native…
Vous êtes née après Hiroshima, alors vous êtes des nuclear native… ça pète plus franchement…
#4
Je préfère le terme “natif numérique” utilisé au Québec: http://www.gdt.oqlf.gouv.qc.ca/ficheOqlf.aspx?Id_Fiche=8358516
Les Francais devraient plus souvent s´inspirer de l´Office Québécois de la Langue Francaise, leurs adaptations des anglicismes sont souvent très justes.
#5
Je dirai même que ça pète deux fois plus
#6
Question :
Ca représenterait combien d’économie si on dissolvait la commission en question ??
Encore des parasites budgétivores qui ne servent à rien !
#7
Après les bébés-éprouvettes, voici les enfants du numérique, sacré reproducteur celui-là.
Et pour ceux qui arrivent au numérique sur le tard ? Ca donne quoi ? Ancêtres du numérique ? Ah ben non, ça pourrait avoir un autre sens " />
#8
Vous avez connu INpact virtuel ? Alors vous êtes des INV native ou des enfants virtuellement INpactés.
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#11
Encore un terme à la noix qui laisse entendre que l’informatique est née il y a 20 ans.
C’est comme les “NTIC” … ça fait des décennies qu’elles sont “nouvelles”
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ils vont en faire une émission ?
#13
Je ne savais même pas qu’on disait digital native, moi…
Le plus surprenant c’est pas le mot en lui même, c’est cette propension à tout catégoriser sur des critères qui n’ont pas de sens.
#14
Ça va, rien d’aberrant dans cette traduction.
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#16
Pour une fois c’est complètement con ( idem pour le terme en anglais)
On est pas non plus obligé de désigner tout et n’importe quoi par un seul terme qui, de plus, prête souvent à confusion). Y a des phrases pour étayer nos propos.
Tant qu’à faire pourquoi on a pas inventer une expression pour les gens qui prennent le RER tous les matins, les gens qui aiment s’habiller en rouge etc..
Edit : grilled !!Je viens de voir que Drepanocytose a bien resumé ce que je voulais dire." />
#17
Il y a vraiment des gens qui utilisent “digital native” en “français” ? Je trouve qu’il n’y a pas mieux pour perdre en crédibilité. En attendant, native, ça me fait penser aux indiens d’amérique, et digital, à mon doigt au numérique. Natif numérique ne me parle pas trop non plus, encore que ça au moins, c’est du français.
Mais fin des jérémiades, restons positifs : je propose Obélix numérique " />
#18
Justement. Il est préconisé de ne plus dire NTIC mais TIC.
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#21
Vivement la montre connectée Apple, entrez dans l’ère digitale digitale.
#22
“digital native”….Hum…bah c’est la première fois que je lis ce terme. Qui utilise ça en fait ? " />
#23
#24
Faut reconnaître que généralement, celui qui utilise ce terme, d’une certaine manière, avoue son ignorance du domaine.
Sans rapport, quelqu’un peut-il me dire pourquoi le style barré disparaît dans les citations ?
#25
Digital oui , je l’entends souvent chez les marketeux de mon entreprise.
Par contre “Digital native” heu !! jamais entendu parlé , surtout quand on voit la définition qui en est donné. Ça a l’air quand même un peu ridicule.
#26
tu n’as pas lu l’article
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#28
Ah le terme “digital” en France.
Tout est digital. Un lecteur cd ? C’est digital. Une agence de comm sur le web ? C’est une agence digitale.
Même vu un thermomètre à afficheur numérique digital…..
Ils méritent tous un bon toucher rectal, ça c’est digital !
#29
Silver Surfer : “Personne âgée utilisant Internet couramment.”
https://fr.wiktionary.org/wiki/silver_surfer
#30
Pas mal celle là aussi…
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#32
La traduction me semble bien faite, c’est juste l’expression de départ qui est débile ;)
#33
Mais là ils traduisent en “numérique” justement " />
#34
Ils ont osé O_O ?
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#36
C’est comme les consoles qui restent 4 ans “next gen” " />
#37
Mais mais mais…et lui alors ? " />
#38
Merci ! Plus qu’à réviser mon BBCode " />
#39
Au moins ça permet de créer de l’emploi ^^
Dans les (grosses) boites t’as parfois une équipe marketing et une équipe marketing digital avec des chargés de marketing digital, des chefs digital, des chefs marketing, des directeurs marketing et digital …. " />
#40
“I Patch a écrit :
I 0, ce sont des bénévoles…
Je vais prolonger sa question ( un peu démago " />)
Y a t-il un bureau disponible, des frais de gestion ?
Sont t-ils dans la fonction publique et font t-ils ça pendant leurs heures de travail ? ”
voir le lien inclus dans l’article Next Inpact : “Les experts qui composent cette instance exercent leurs fonctions à titre gratuit, ainsi que sa présidente. Il en va de même du haut fonctionnaire de terminologie et de néologie, par ailleurs inspecteur général de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche, qui coordonne les actions au sein des ministères. Le secrétariat de la commission est assuré par les services du secrétariat général des ministères. Il n’y a pas de fonctionnaires ni de moyens financiers spécifiques mis à la disposition de la commission. Au cours de l’année 2011, la commission s’est réunie à quatre reprises et a proposé la définition de cinq termes. En 2012, elle a tenu cinq séances et a examiné une quinzaine de termes et expressions qui seront transmis à la commission générale de terminologie et de néologie placée auprès du Premier ministre.”
Donc ce sont principalement des haut-fonctionnaires (en quelque sorte des “cadres supérieurs” de la fonction publique) ou des spécialistes des langues qui ne reçoivent pas de rémunération spécifique pour cette mission au sein de la Commission spécialisée de terminologie et de néologie de l’éducation et de l’enseignement supérieur.
Perso, je ne dirais pas que ce sont des bénévoles, cette commission fonctionne un peu comme une réunion de spécialistes qui font un bilan d’une situation et qui tentent de se mettre d’accord sur un sujet.
#41
Ch’tio du numérique,ché bio ‘el langue Française n’impêche. " />
#42
C’est un terme de sociologie qui a été repris par le marketing et les responsables de marques commerciales. En somme, il faudrait plusieurs dizaines de pages pour définir ce terme, mais le marketing aime les termes nébuleux, amalgamants qui désignent tout et rien à la fois (c’est plus fédérateur vis-à-vis des consommateurs).
#43
Mouais, c’est bien de ne pas faire la faute du digital (pas mal d’des agences decomm’ devraient s’en inspirer), mais se référer à l’enfant, c’est vraiment bizarre… Pour faire un enfant du numérique, il faut mettre sa micro-usb dans le * de sa femme ?
#44
#45
Oui, alors qu’il suffit de parler de génération Y…
" />
#46
C’est pas la taille qui compte, c’est la capacité de stockage " />
#47
moi, ça me fait penser à un enfant biberonné au code binaire, un peu comme “enfants de la télé” (ceux qui ont connu Léon Zitronne, Guy Lux, les débuts de Dorothée, etc). Comme si tous les individus avaient étés perfusés à une technologie ou à un type de media pendant leur enfance. C’est glauque.
#48
Ça fait beaucoup de bits !
#49
#50
Certaines personnes sont nées avant 70, et sont toujours vivante… Au XXe siècle, l’ordinateur n’était pas encore répandu dans les foyers, encore moins les tablettes. Et nombreux sont ceux qui, même aujourd’hui, ne sont pas nés entourés par les nouvelles technologies. Tu sais que certaines personnes n’ont même pas de quoi subsister ? Certains enfants ne touchent pas à un ordinateur avant le collège et sa salle informatique.
#51
Ah tiens ! encore un n-ième changement de pseudo ?
Tu te fais ban toutes les semaines ou tu le fais exprès ? " />
En tout cas t’as l’air de bien aimé tout ce qui s’approche de près ou de loin à de la m" />.
Yzokrad, Yzocrad, krad, kras….." />
#52
Arrêtez de dire que cette expression ne sert à rien / ne veut rien dire.
C’est pas parce qu’elle est parfois utilisée abusivement qu’elle ne correspond pas à une vérité sociologique à la base. Tout dépend du contexte.
#53
#54
https://www.youtube.com/watch?v=a4fDusCNpLM
#55
Malgré les limites évidentes du concept, ça peut quand même avoir du sens dans le cadre d’un contexte sérieux, d’une étude sociologique par exemple, qui en définit bien les contours et la finalité.
Après c’est sûr que c’est un terme voué à disparaitre, et qui est mis à toutes les sauces. " />
#56
#57
#58
Enfant de quoi?
" />
#59
Pour me faire un peu l’avocat du diable :
moi, je suis né avec le PC et avec Microsoft. Et même si j’ai eu quelques intuitions du fonctionnement de ce système d’exploitation, même si les anciens qui pataugeaient plus ou moins en informatique, me désignaient comme un chanceux qui était né dedans et qui maîtrisait la bête (la machine) avec une facilité déconcertante (pour eux), je n’étais en réalité qu’un bidouilleur, un bricoleur de l’informatique (un hackeur dirait-on aujourd’hui). Et j’ai appris l’informatique par des professeurs 20 ans plus âgés que moi (des profs qui étaient plus savants et meilleurs utilisateurs du code Basic ou de Windows que moi).
En réalité, la notion de “digital native” est une notion sociologique un peu plus complexe que 3 petites phrases ne pourront jamais définir.
#60
Perso “digital” c’est bien un des rare anglicisme qui m’exaspère je préfère “numérique”
sinon pour le reste je prefere un mail à un courriel
#61
effectivement.
D’ailleurs, les premières victimes du cyber-harcèlement sont des enfants et des ados (les “digital natives” dont les marketeux aiment flatter les soient-disant compétences numériques/“digital abilities”).
Il faut dire que les plus âgés sont plutôt victimes du hameçonnage et du chantage affectif. Ce qui équilibre un peu les défauts de chaque génération d’internautes.
#62
Eh bien bon courage au terme, parce que hélas “digital” pour signifier “numérique” est déjà fort bien implanté, il va falloir de la persuasion pour le déraciner.
#63
J’attends la traduction de big data (dans 5 ans) avec impatience
#64
#65
moi, j’aime bien l’expression “objets connectés” : ça résume bien l’évolution prochaine d’internet avec les smartphones, les smartgrid (Linky), les smartwatch, les liseuses, les tablettes, les boîtiers de conduite connectée
A la place de “mail”, personnellement, je préfère “courriel”, “message” ou “message électronique”
#66
" />
Et un chef de projet digital manchot c’est quoi ? " />
#67
Big Data = collecte automatisée et traitement de données individuelles par un tiers
(non… expression trop longue " />)
#68
chez les professionnels du marketing et de la com’ ?
effectivement, c’est perdu d’avance…
#69
C’est en effet assez désespérant, surtout que le terme “numérique” existait déjà, donc il n’y avait pas de raisons d’importer un anglicisme qui a en plus une signification différente en français… Dans mon université, ils ont maintenant des cours de “communication digitale”… " />
#70
Tiens, j’ai trouvé un exemple de communication digitale sur NXI (cf. le doigt de la main gauche) : " />
#71
Tu devrais au moins utiliser email, parce que sinon mail ça risque de créer des ambiguïtés quand tu causes avec un anglophone.
#72
#73
#74
Si ce sont des cours de langage des signes ça prend tout son sens.
#75
Lol, quand c’est idiot ils se rapprochent du terme, quand c’est cohérent ils prennent un terme complètement différent. " />
#76
Je suis pas fan de la traduction, mais je trouve ça bien d’avoir des équivalents français.
La seule limite, c’est qu’ils n’arrivent pas trop tard, comme courriel par exemple. Après, ce qui m’attriste, ce sont les gens qui utilisent des mots anglais en lieu et place de mots français qui sont utilisés depuis fort longtemps.
Voir les gens parler de devices ou de users, je trouve que ça craint …
#77
A partir du milieu des années 80… Mouais… Je suis de 1982, et je n’ai pas le sentiment d’être de la génération des “enfants du numérique”. Jusqu’à mon arrivée au lycée (1997) j’étais toujours le seul de la classe à posséder un ordinateur à la maison. Les deux premières années du lycée, on était 3 sur 22 à en avoir un, pour les deux années suivantes (à partir de 1999 donc) la proportion a augmenté graduellement, et ce n’est qu’à partir de mon BTS (2001-2003) que tout le monde en avait un. Même chose pour ce qui est de l’accès à Internet.
Pour ce qui est du téléphone portable, jusqu’en 2000 aucun élève de ma classe n’en possédait un. Et quand ils ont commencé à arriver, c’était des téléphones du genre du 3310 de chez Nokia, qui fait téléphone, SMS et trois jeux. Pas franchement ce qu’on entend par “technologie numérique” aujourd’hui dans cette expression “digital native”.
Selon moi, la génération des “enfants du numérique” est celle de ceux nés au cours de ce siècle, pas avant, même si certains privilégiés ont eu dans les doigts un ordinateur bien avant, comme moi par exemple.
#78
#79
Ne dites plus « digital native », mais « enfant du numérique »
visage paume
#80
il y a quelques année, j’avais vu un vendeur vanter les mérites de la Playstation, en disant “L’image est bien meilleure, on est passé du digital au numérique! ” en parlant d’une sortie péritel analogique " />
#81
Est ce que c’est si terrible que des mots étranger remplacent les mots français pourtant établis?
En musique, on a pas attendu les italiens pour avoir des tablatures, et parler de rythme, et pourtant va au conservatoire, ils nous cassent les couilles avec leurs Tempo, allegro , Lento etc… le domaine artistique a été dominé par l’italie pendant la renaissance, les mots Italiens se sont installées dans notre langue..
Alors je veux bien que quand on parle de User, ou de Device, ca soit un peu ridicule, mais le français est une langue vivante, on a pas besoin de “Baby boomer” pour nous expliquer que “ on à pas besoin de mots inventés après 1960, et SURTOUT PAS des mots empruntés aux Américains, on va vous expliquer comment il faut parler …”
#82
#83
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#85
C’est une volonté noble de protéger le français, mais le français n’en a jamais eut besoin.
Dans le monde de la musique, tu ne trouve pas les gens pompeux parce-qu’ils pourraient utiliser un mot équivalent français, pourtant ces mots existaient.
Les hollandais ont dominé la marine marchande, on utilise des mots stupide comme tribord On a des raz de marré, mais on parle de Tsunami, parce que c’est les japonais qui en ont expérimenté le plus.
Les pays arabes ont dominé la science et les mathématiques, et ont envahie une partie de l’europe, ils ont laissé une marque importante dans notre langue
Alors protège le français en l’écrivant bien (et je sais que c’est paradoxale que je dise ça, je suis TRÈS mauvais en orthographe et grammaire " /> ), dans son histoire, personne n’a jamais poussé particulièrement pour la préserver, c’est pas comme ça que le français disparaîtra…
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#91
Ha! merci enfin quelqu’un qui a remarqué mon calembour.
A chaque fois que je vois “digital” quelque part, je pense tout de suite à quelque chose de très…. tactile.
#92
Ce que tu aimes pas, c’est les mots anglais qui ont rien a foutre dans la langue française, ou les polysémie? parce que ça manque pas en français, ça cause pas l’effondrement de la langue française " />, si digital (dans le sens numérique) rentre dans la langue française, ça fera bizarre, mais on s’en sortira … je suis toujours emmerdé quand je dois parler de portable, entre le “laptop”, et le “mobile” " />
#93
Je me moque bien que des mots étrangers rentrent dans la langue française, on peut tout de même s’étonner qu’autant viennent de l’anglais. Ce qui me gêne, c’est que ayant un niveau d’anglais à peu près correct, je finis par tout mélanger quand des termes comme digital viennent semer le caillon. Ou encore quand des gens utilisent des mots en anglais juste pour se la péter, pas pour être plus clair ou plus précis. Et c’est accessoirement d’un ridicule consommé. Un peu comme ces boutiques au Japon qui prennent des noms français bourrés de fautes, juste parce que c’est à la mode (les noms en français, pas les fautes).
#94
#95
Ah mais je suis d’accord avec toi, c’était juste mon ressenti quand aux autres perles qu’ils ont pu nous sortir ;)
#96
Je m’incline, mais c’est un mot dont la structure et la prononciation sont françaises" /> ! Attention, le premier qui remplace “confusant” par “confiousin’gue” se mange trois baffes.
#97
#98
Du temps des croisades, et des invasions, c’était les mots arabes qui entraient dans le language.
Du temps de la renaissance, les Italiens.
Le français est le résultat de ce mélange.
Si la chine deviens dominante, ne soit pas surpris que des mots chinois entrent dans notre vocabulaire. Ca ne détruira pas le français, ça le changera, on se plaindra que “NOTRE français” était mieux, c’est ce que disait nos parents, et ceux avant eux…
Pour moi les gens ridicules, qui utilisent des mots étranger pour faire “cool” est un problème différent, et qui n’a pas beaucoup de rapport. Certains mots accrochent, d’autres seront ridicules, la langue va évoluer avec ses utilisateurs. C’est pas de bol, c’est ce qui se passe avec une langue vivante
La commission générale de terminologie et de néologie peut bien se plaindre que le français leurs échappe, et qu’ils préféreraient qu’on utilisent d’autre mots, ça change rien, le français évoluera avec ceux qui le parlent
#99
Ils s’en plaignent, mais prennent 3 plombes a sortir une traduction, normal que ce ne soit pas utilisé. Plus le fait que certaines trad sont ridicules (qui a dit bolidage) certaines sont même carrément fausses (mot-diese pour hashtag, mais bordel !!! C’est un croisillon par un dièse !!!)
#100
Moi ce qui m’avais marqué c’est remplacer Wifi par ASFI (accés sans fil a internet), qui n’a aucun rapport avec ce qu’est le Wifi " />
#101
#102
Forgivez-moi les mates, je call ma fuckfriend avec mon device.
#103
Attention de ne pas confondre “call ma fuckfriend avec mon device” et “fuck ma callfriend avec mon gros device” " />
Ah flûte, c’est pas vendredi…
#104
#105
Ouh purée, j’avais jamais entendu, heureusement pour moi. Croire que le Wifi c’est juste pour l’accès a Internet c’est fort quand même, ce qui prouve bien qu’en plus de mettre longtemps a sortit une trad, ils sont a côté de la plaque quand ça concerne l’informatique. Merci quand même, ça m’en fait un en plus de mot-dièse croisillon " />
#106
#107
au moins ca leur apprendrai a s’en prendre plein le cul dès le plus jeune age " />
#108
#109
oui mais c’est trop limité, pourquoi y a que les catho qui subiraient, y a les protestants, les Juifs, les Musulmans. Egalité jusqu’au bout et a subir la meme chose, ca pourra peut etre aider la fraternité.
#110
#111
J’aime pas trop la distinction entre religion, tout le monde dans le même sac en même temps " />
Pour les protestants et Juifs je ne savais pas. Par contre pour le prophète, je le comprends, plus de sensations " /> " />" />
#112
#113