Premier ministre, Jean-Marc Ayrault avait fait signer à tous les membres de son gouvernement une « Charte de déontologie » prévoyant entre autres que chaque ministre devrait œuvrer en faveur de l’Open Data. Cependant, son successeur ne s'est pour l'heure pas placé dans ses pas. Un symbole ?
Le 17 mai 2012, à l’occasion du premier Conseil des ministres présidé par François Hollande, les 37 membres du gouvernement de Jean-Marc Ayrault avaient signé une « Charte de déontologie » non contraignante sur le plan juridique, mais très symbolique au niveau politique. Outre différentes obligations de collégialité et de solidarité, les nouveaux ministres se voyaient notamment imposer un « devoir de transparence ».
Chaque membre du gouvernement était ainsi tenu de mener « une action déterminée pour la mise à disposition gratuite et commode sur internet d’un grand nombre de données publiques ». En clair, il s’agissait là d’une incitation, essentiellement symbolique, en faveur de l’Open Data, dont l’objectif est pour rappel de permettre aux citoyens et aux entreprises d’accéder - voire de réutiliser - des données issues d’une administration (chiffres de l’INSEE, cartes de l’IGN, prix des carburants en fonction des stations d’essence, résultats électoraux, etc.). Cet engagement, même s'il pouvait paraître « mou », avait au moins le mérite d’exister.
Une « Charte de déontologie » qui incitait les ministres à l'Open Data
Mais cette Charte de déontologie résistera-t-elle au changement de locataire, Rue de Varenne ? Depuis que Manuel Valls a été nommé à Matignon et que son gouvernement a été formé, deux Conseils des ministres ont d’ores et déjà eu lieu, les 4 et 9 avril dernier, sans que la signature de ce document ne vienne à l’ordre du jour...
Il y a certes eu une communication sur « la méthode de travail du gouvernement », mais aucune trace de la Charte de déontologie de l’ère Ayrault. La logique aurait pourtant voulu que la signature d’un tel document intervienne dès les premiers pas du nouveau gouvernement. Contactés à ce sujet, les services du Premier ministre n’ont pas souhaité nous en dire davantage.
Quoi qu’il en soit, la majorité des membres actuels du gouvernement a signé la fameuse Charte il y a deux ans, à commencer par l’ex-ministre de l’Intérieur, Manuel Valls. Ce dernier et son équipe seront par ailleurs liés par plusieurs arbitrages de Jean-Marc Ayrault, s’agissant par exemple de la fin des redevances ou de la mise en œuvre de la Charte du G8 pour l’Open Data.
Commentaires (30)
#1
Je déteste Manuel Valls, mais il faut peut être lui laisser le temps de faire des conneries avant de l’exploser.
Je rappelle que ça fait pas longtemps qu’il est premier ministre…
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Je pense que les habitants de la ville d’Evry dont il a été maire, savent de quoi est “capable” valls, cette dernière est sur-endettée grâce à lui…
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Mieux vaut que le gouvernement suive les lignes directrices comme des grands…
La dite charte ne les a pas empeché de se tirer dans les pattes durant les 2 dernières années.
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Je sens qu’on va bien rigoler avec “El Blancos”.
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Il l’a donc signé en tant que Ministre de l’Intérieur. Pour juger de son intérêt pour la chose, il faudrait donc regarder ce que son ministère a fourni comme données ouvertes.
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Quel connard ce mec. Je prefere 100X un sarko qui est un connard et qui s’assume, qu’un petit franquiste prétendument de gauche raciste et intolérant.
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Qu’il aille vivre en Israel qu’il admire tant, un pays très a gauche et très humaniste comme lui.
rien a voir avec la news, je l’aime juste pas
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Ce mec est un vrais dictateur, ce cingler doit avoir la nostalgie de son payer et des ses traditions Franquiste.
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Un homme de gauche qui plaît à la droite, ça veut tout dire : voilà la copie conforme d’un ministre de Sarkozy, l’homme à poigne providentiel, droit dans ses bottes !
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Il est de notoriété publique, et surtout historique, que les « hommes à poigne » ont résolu, quel que soit le pays, les problèmes des gens : insécurité, délinquance, trafics en tout genre, chômage, pauvreté, etc…
La « volonté politique » fait tout !
Vu qu’il y a encore des gens pour y croire : « Sarko, reviens, c’était trop bien » ou « Hollande c’est la Gauche au pouvoir ! », on peut demander à un émule de Hitler, Mao ou Staline, pour balayer la racaille, les salauds de communistes, ou les salauds de riches, fermer les frontières et au passage faire une petite guerre mondiale pour que tout aille mieux.
La guerre, elle, est bien économique, par contre, et mondiale, ça c’est clair, et notre petit confort d’occidental on l’a payé, et on continue de le payer, à coup de chômage de masse, et de précarité, un pan des populations étant sacrifié pour l’aisance d’autres.
Et par peur, les gens votent pour de grandes gueules, des « hommes à poigne », l’Histoire se répète indéfiniment, décidément, il faut dire que les générations se suivent et que l’oubli du passé en arrange plus d’un.
#19
Valls est un calculateur, j’en suis persuadé.
Raciste ? Non je ne crois pas.
C’est un expert en communication.
Cet “oubli” était juste un bon moyen de ralier les racistes du PS à sa cause (car oui il y a des racistes qui votent socialiste), tout comme ses propos déplacés sur le roms.
C’est à ce titre aussi que Sarko et Royal avaient la meme politique d’immigration, proche du credo du FN, dans le but de ralier le vote partisant.
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Nationalisme, religion, même combat, même saloperie.
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Toujours les mêmes « croyances » avec des chefs qui poussent à la guerre et au crime sur la foi patriotique ou religieuse.
Et comme par hasard, les chefs sont épargnés de la pauvreté et du danger.
Tout au plus finissent-ils comme des rats (Ben Laden, Khadafi, Hitler), mais en attendant ils ont bien vécu.
Aux autres de se faire exploser à Verdun, sur une plage de débarquement, ou avec une ceinture de dynamite.
Les populations bêlantes attendent tout du chef, de l’homme providentiel, en son nom propre ou au nom d’un Dieu (Dieu fort discret parce que ne se manifestant jamais, c’est pratique !).
À la petite échelle des chefs d’État des pays démocratiques, ça porte à conséquence sur nos libertés en attendant, encore heureux qu’on ne soit pas américain du nord à devoir payer des sommes faramineuses pour l’Armée, mais on a des « hommes à poigne » façon Sarkozy, Valls, non, ça ne me rassure pas, moi.
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Manuel Valls applique une directive de Goldman Sachs : la réforme des régions.
Manuel Valls qui a été nommé au poste de premier ministre par François Hollande qui promettait combattre la Finance…
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Dataoutai
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Dataoutai
Formidable ! (
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valls ?
burp , mal au ventre moi , ca doit etre la diarrhée quand j’entend parler de ce raciste doublé d’un facho
facho , on le sait tous
raciste , sisi , souviens toi de l’episode d’evry , si c’est pas du racisme je sais pas ce que c’est …