#14h42 : roues contre roues, la guerre des taxis contre les VTC

#14h42 : roues contre roues, la guerre des taxis contre les VTC

La réponse, en 42 minutes

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David Legrand

Publié dans

Internet

19/02/2014 2 minutes
33

#14h42 : roues contre roues, la guerre des taxis contre les VTC

Cela fait maintenant plusieurs mois que taxis et VTC s'opposent dans le cadre d'un marché en pleine mutation. Alors qu'une médiation a été initiée avec le gouvernement, nous avons décidé de faire le point sur la situation à l'occasion d'une nouvelle édition de 14h42, notre émission conjointe avec Arrêt sur images.

Le numérique ne fait pas des dégâts que dans le monde de la culture ou de la presse. Il touche aussi à des problématiques bien plus quotidiennes comme nos modes de transports. Si cela avait commencé avec le covoiturage (voir notre dossier), la montée en puissance des Véhicules de Tourisme avec Chauffeur, les fameux VTC, ne plaît pas à tout le monde.

 

Les taxis sont bien évidemment en première ligne et se battent depuis des mois pour limiter les possibilités de ce statut. Après un premier combat gagné via la mise en place d'un délai de 15 minutes avant de prendre une course, suspendu par le Conseil d'État, de nouvelles grèves ont mené à un gel des immatriculations et le lancement d'une médiation. Mais est-ce que les taxis n'ont pas, comme d'autres avant eux, saisi trop tard qu'il fallait embrasser la révolution du numérique laissant ainsi la place à cette concurrence ? Est-ce que la question du niveau de service et de la gestion des tarifs est assez prise en compte ? Dans cette nouvelle édition de 14h42, nous allons tenter de comprendre comme le numérique a révolutionné ce mode de transport et comment taxis et VTC vont pouvoir s'entendre afin de trouver une solution à long terme qui bénéficiera à tous, clients compris.

 

Pour nous éclairer aujourd'hui nous avons invité Richard Darbéra, chercheur au CNRS et auteur d'une étude sur le sujet, Didier Hogrel, président de la fédération nationale du taxi et Yanis Kiansky président et co-fondateur d'Allocab, à l'occasion de cette émission conjointe avec Arrêt sur images et présentée par Jean-Marc Manach. Comme toujours, elle est réservée à nos abonnés pendant une semaine, elle sera ensuite accessible à tous via notre compte YouTube auquel vous pouvez vous abonner.

 

 

 

Bonne émission !

 

Écrit par David Legrand

Tiens, en parlant de ça :

Sommaire de l'article

Introduction

Le brief de ce matin n'est pas encore là

Partez acheter vos croissants
Et faites chauffer votre bouilloire,
Le brief arrive dans un instant,
Tout frais du matin, gardez espoir.

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Commentaires (33)


Richard Darbéra à mis le doigt sur le problème, les taxis ne veulent pas s’adapter aux usages de notre époque.

Certains arguments de Didier Hogrel dessert sa propre cause, tel la notation via un service de réclamation que le plaignant ne peut ni consulter , ni partager.



Il faudrait une cohabitation plus active, voire hybride, tel un taxi qui peut se faire héler tout en profitant des nouvelles technologies et des avancées offertes par les VTC.


J’ai pas fini la vidéo mais pour l’instant la seule chose qu’on ressent c’est le positionnement en Calimero des taxis et l’accusation des VTC…

Alors que le fondateur d’Allocab mise davantage sur les services que propose les VTC en montrant les points forts.








lossendae a écrit :



Richard Darbéra à mis le doigt sur le problème, les taxis ne veulent pas s’adapter aux usages de notre époque.

Certains arguments de Didier Hogrel dessert sa propre cause, tel la notation via un service de réclamation que le plaignant ne peut ni consulter , ni partager.



Il faudrait une cohabitation plus active, voire hybride, tel un taxi qui peut se faire héler tout en profitant des nouvelles technologies et des avancées offertes par les VTC.





C’est pire encore : les Taxis ont prouvé depuis longtemps qu’ils sont allergiques à toute forme de concurrence, et refusent de s’adapter aux besoins de leur propre clientèle.

M. Hogrel n’a fait que confirmer tout ça, hélas.



Donc tout le monde est d’accord pour passer en status d’auto entreprenneur au travail avec un patron qui loue l’outils de travail et peut virer du jour au lendemin l’autoentreprenneur qu’il emploie sans payer rien sachant que c’est à l’autoentreprenneur de cotiser de son coté pour sa securité sociale et son chomage.



Quand uber se présente avec 16 salariés et une 100aine de chauffeurs, il n’est plus question de concurrence ou de qualité de service mais bien de détournement du droit social. Après si c’est la vision du droit social que l’on assume, autant le dire haut et fort.








bourgpat a écrit :



Donc tout le monde est d’accord pour passer en status d’auto entreprenneur au travail avec un patron qui loue l’outils de travail et peut virer du jour au lendemin l’autoentreprenneur qu’il emploie sans payer rien sachant que c’est à l’autoentreprenneur de cotiser de son coté pour sa securité sociale et son chomage.



Quand uber se présente avec 16 salariés et une 100aine de chauffeurs, il n’est plus question de concurrence ou de qualité de service mais bien de détournement du droit social. Après si c’est la vision du droit social que l’on assume, autant le dire haut et fort.





C’est pas ce que font les sociétés de taxis? (Vraie question, dans ton premier paragraphe j’avais l’impression que tu parlais d’elles).



Après qu’Uber abuse du droit social ne me semble n’avoir aucun rapport avec le problème qui oppose les VTC aux taxis.



On pourrait très bien imaginer un VTC qui emploie directement tous ses chauffeurs et le problème avec les taxis serait le même.









bourgpat a écrit :



Donc tout le monde est d’accord pour passer en status d’auto entreprenneur au travail avec un patron qui loue l’outils de travail et peut virer du jour au lendemin l’autoentreprenneur qu’il emploie sans payer rien sachant que c’est à l’autoentreprenneur de cotiser de son coté pour sa securité sociale et son chomage.







Oui, vingt fois oui, cent fois oui.



Il y a peu de risque à être auto entrepreneur, et la prise de risque est particulièrement bienvenue.



Et ça ne se limite pas qu’au taxi, le statut d’autoentrepreneur est une des meilleurs idée de l’ancien gouvernement.



Payé des impots et de la TVA sur un chiffre d’affaire nul, vive la France…





Quand uber se présente avec 16 salariés et une 100aine de chauffeurs, il n’est plus question de concurrence ou de qualité de service mais bien de détournement du droit social. Après si c’est la vision du droit social que l’on assume, autant le dire haut et fort.





Tu as écouter le représentant des taxis ? Ce qu’il raconte ?



Tu préfères retourner en arrière juste parce que ça a toujours fonctionner comme ça ?



Quel alternative serait viable, surtout dans notre système a la fiscalité oppressante tueuse d’innovation ?










Khalev a écrit :



C’est pas ce que font les sociétés de taxis? (Vraie question, dans ton premier paragraphe j’avais l’impression que tu parlais d’elles).



Après qu’Uber abuse du droit social ne me semble n’avoir aucun rapport avec le problème qui oppose les VTC aux taxis.



On pourrait très bien imaginer un VTC qui emploie directement tous ses chauffeurs et le problème avec les taxis serait le même.







Non les taxis sont artisants et non autoentreprenneurs. La protection sociale est la même mais les charges sont différentes.



Si uber passe certains seuil, il sont obligé d’avoir des delegues du personnels et l’ensembles des contraintes adnistratives qui en decoulent.



Après on peut décider d’aligner le droit du travail sur le status des autoentreprenneur en suprimant le salariat completement et les fonctionnaires qui serait juste des autoentreprenneurs au service de l’etat.









bourgpat a écrit :



Non les taxis sont artisants et non autoentreprenneurs. La protection sociale est la même mais les charges sont différentes.







Au dela du seuil des 32000€, il deviens inintéressant de rester autoentrepreneur.

En dessous, il est impensable d’ouvrir son entreprise.



Que fait on ?





Si uber passe certains seuil, il sont obligé d’avoir des delegues du personnels et l’ensembles des contraintes adnistratives qui en decoulent.





Ce qui vous déplait c’est qu’Uber aie moins de contrainte administrative ?



Mais ça devrait être un exemple à développer.





Après on peut décider d’aligner le droit du travail sur le status des autoentreprenneur en suprimant le salariat completement et les fonctionnaires qui serait juste des autoentreprenneurs au service de l’etat.





C’est gonflé de partir sur ce chemin connaissant déjà les grande différence de traitement entre un salarié normal et un fonctionnaire.

Vraiment gonflé.









bourgpat a écrit :



Non les taxis sont artisants et non autoentreprenneurs. La protection sociale est la même mais les charges sont différentes.



Si uber passe certains seuil, il sont obligé d’avoir des delegues du personnels et l’ensembles des contraintes adnistratives qui en decoulent.



Après on peut décider d’aligner le droit du travail sur le status des autoentreprenneur en suprimant le salariat completement et les fonctionnaires qui serait juste des autoentreprenneurs au service de l’etat.





Donc si j’ai bien tout compris, si le gouvernement revoit le statut d’auto-entrepreneur et/ou impose aux groupes de VTC d’employer en propre leurs salariés, les chauffeurs de taxi seront contents et il n’y aura plus de problème ?









bourgpat a écrit :



Non les taxis sont artisants et non autoentreprenneurs. La protection sociale est la même mais les charges sont différentes.



Si uber passe certains seuil, il sont obligé d’avoir des delegues du personnels et l’ensembles des contraintes adnistratives qui en decoulent.



Après on peut décider d’aligner le droit du travail sur le status des autoentreprenneur en suprimant le salariat completement et les fonctionnaires qui serait juste des autoentreprenneurs au service de l’etat.





Ah je ne savais pour la différence artisant/auto-entrepreneur. Merci <img data-src=" />



Emission très instructive ! <img data-src=" />

Par contre, est-ce voulu que dans le générique de fin il soit marqué “Une émission de 42 minutes pour répondre à la grande question sur la vie, l’univers” et pas le reste ? <img data-src=" />








bourgpat a écrit :



Non les taxis sont artisants et non autoentreprenneurs. La protection sociale est la même mais les charges sont différentes.



Si uber passe certains seuil, il sont obligé d’avoir des delegues du personnels et l’ensembles des contraintes adnistratives qui en decoulent.



Après on peut décider d’aligner le droit du travail sur le status des autoentreprenneur en suprimant le salariat completement et les fonctionnaires qui serait juste des autoentreprenneurs au service de l’etat.





Les VTC ne sont pas salariés des groupes que je sache.

Uber(ou un autre) ne dépassera donc pas ce seuil avant un moment.









psn00ps a écrit :



Les VTC ne sont pas salariés des groupes que je sache.

Uber(ou un autre) ne dépassera donc pas ce seuil avant un moment.







Oui, mais le fait de faire travailler des autoentreprenneurs est assez limite dans le concept. Certains restaurant qui avaient fait passer leurs salariers au statut d’autoentreprenneur se sont fait rattrapper par l’urssaf pour travail dissimulé car être l’autoentreprenneur travaillant à temps complet pour une seule entreprise est assez compliqué.










DeadEye a écrit :



Emission très instructive ! <img data-src=" />

Par contre, est-ce voulu que dans le générique de fin il soit marqué “Une émission de 42 minutes pour répondre à la grande question sur la vie, l’univers” et pas le reste ? <img data-src=" />







Ah oui, tiens si on enlève “le reste”, la réponse est-elle toujours 42 ?? <img data-src=" />









bourgpat a écrit :



Non les taxis sont artisants et non autoentreprenneurs. La protection sociale est la même mais les charges sont différentes.



Si uber passe certains seuil, il sont obligé d’avoir des delegues du personnels et l’ensembles des contraintes adnistratives qui en decoulent.



Après on peut décider d’aligner le droit du travail sur le status des autoentreprenneur en suprimant le salariat completement et les fonctionnaires qui serait juste des autoentreprenneurs au service de l’etat.





Marx avait bien prédit la fin du salariat et l’isolation des travailleurs. C’est fou qu’en 2014 des trucs pareils finissent par se réaliser.



L’Etat a crée des licences de taxi virtuelles et ne sait pas analyser le marché des taxis. Finalement, en France, nous sommes bien les champions du nombre de normes techniques, mais pas de l’efficacité économique dans l’organisation de ces normes.


Pourquoi les chauffeurs de taxi accusent les autres de faire de la concurrence déloyale et de gagner de l’argent facile?

Au lieu de payer 240k ou 100k pour une license devenez VTC ?

Si c’est si facile et si rentable?

Je retiens que le taxi a gardé le même CA et que le VTC a fait plein de CA ( donc il y avait un manque évident )

Je retiens aussi :

1:Une license se vend parfois 240k et parfois 100k … et l’universitaire ne comprend pas pourquoi .. peut être que le delta passe sous la table et devient hors taxe ? non déclaré ? Les universitaires ne percutent pas rapidement <img data-src=" />

2:Le métier de taxi tel qu’il existe n’a plus lieu d’être ce que les danois semblent comprendre d’ou leur étude sur le sujet .

3: perso je préfère savoir ce que je vais payer ( forfait VTC) plutot que ce que le compteur va me dire alors que le taxi sera passé par ce qui l’arrangeait ( me souviens des tarifs aéroport si je ne parlais pas français dans le taxi <img data-src=" /> )


Le problème n’est pas compliqué, faut pas être devin pour savoir que le problème tiens des licences de taxi, à la base elles sont gratuites et distribuées en nombre limité, et les vieux taxis ont acheté ces dernières à un prix “faible”, et veulent revendre cette dernière au prix fort à la fin de leur activité, ou au minimum au même prix.



Seulement le hic, c’est que l’apparition d’une concurrence envers eux, pourrait faire chuter le prix de ces licences.



Ce que j’en retiens, c’est que les taxis se sont foutus tout seuls dans la merde, en spéculant sur les licences, et en se confortant dans une position de monopole accordée par l’état, qui ne pourra pas durer éternellement.



Mais je ne cautionne pas pour autant les VTC qui sous traitent à tout va et profitent allègrement de gens auto entrepreneurs.



L’un dans l’autre, ces services ne sont de toute façon pas indispensables, pour moi un chauffeur privé, c’est du luxe, qu’ils soient taxis ou VTC, l’un dans l’autre, ils devraient plutôt se faire tout petit, tout ce qu’ils finiront par faire c’est gonfler les gens et faire apparaître au grand jour les abus qui les tueront.








bingo.crepuscule a écrit :



Le problème n’est pas compliqué, faut pas être devin pour savoir que le problème tiens des licences de taxi, à la base elles sont gratuites et distribuées en nombre limité, et les vieux taxis ont acheté ces dernières à un prix “faible”, et veulent revendre cette dernière au prix fort à la fin de leur activité, ou au minimum au même prix.



Seulement le hic, c’est que l’apparition d’une concurrence envers eux, pourrait faire chuter le prix de ces licences.



Ce que j’en retiens, c’est que les taxis se sont foutus tout seuls dans la merde, en spéculant sur les licences, et en se confortant dans une position de monopole accordée par l’état, qui ne pourra pas durer éternellement.



Mais je ne cautionne pas pour autant les VTC qui sous traitent à tout va et profitent allègrement de gens auto entrepreneurs.



L’un dans l’autre, ces services ne sont de toute façon pas indispensables, pour moi un chauffeur privé, c’est du luxe, qu’ils soient taxis ou VTC, l’un dans l’autre, ils devraient plutôt se faire tout petit, tout ce qu’ils finiront par faire c’est gonfler les gens et faire apparaître au grand jour les abus qui les tueront.





<img data-src=" /> Le système anglais est pour une fois pas con : les licences ne sont pas limitées, mais les chauffeurs doivent avoir un diplôme et donc donc son rare.



Au final c’est le chauffeur qui est rare et donc cher, et on gère aussi le service en faisant en sorte d’avoir des personnes formées correctement.









bingo.crepuscule a écrit :



Le problème n’est pas compliqué, faut pas être devin pour savoir que le problème tiens des licences de taxi, à la base elles sont gratuites et distribuées en nombre limité, et les vieux taxis ont acheté ces dernières à un prix “faible”, et veulent revendre cette dernière au prix fort à la fin de leur activité, ou au minimum au même prix.



Ce que j’en retiens, c’est que les taxis se sont foutus tout seuls dans la merde, en spéculant sur les licences, et en se confortant dans une position de monopole accordée par l’état, qui ne pourra pas durer éternellement.







Les licences ont été limité au début pour éviter qu’il y ai des abus. Leur nombre devait être augmenté progressivement par la suite ce que les Taxis on refusé … spéculation !





Mais je ne cautionne pas pour autant les VTC qui sous traitent à tout va et profitent allègrement de gens auto entrepreneurs.



Dans les métiers de services de ce genre ou le besoin en nomber d’intervenant et tres variable le salariat est mort et ne revivra que contraint par l’état. Il est mort pour plusieurs raison :




  • Cout du travail trop important

  • Cout de structure qui augmente trop vite en France. Passer de 49 a 51 salarié coute un bras !!!!

  • Arrivé des syndicats moisi quand on augmente le personnel

  • impossiblité d’adapter le personnel au besoin que ce soit en nombre ou en compétence. Bizarrement en auto entreprenneur les mec vont changer plus vite pour survivre alors qu’en salarié ils auraient freiner des 4 fer pour garder leur truc pépere.Si ujourd’hui les Taxis freinent c’est grace au monopole qui fait d’eux au final des salariés avec une rente.











rjloup a écrit :



Les licences ont été limité au début pour éviter qu’il y ai des abus. Leur nombre devait être augmenté progressivement par la suite ce que les Taxis on refusé … spéculation !







Ce qui montre bien l’hypocrisie de la chose, tout ce dont ils ont peur, c’est que les règles du jeu, qui leurs étaient très favorables s’ils s’étaient installés tôt, changent.







rjloup a écrit :



Dans les métiers de services de ce genre ou le besoin en nomber d’intervenant et tres variable le salariat est mort et ne revivra que contraint par l’état. Il est mort pour plusieurs raison :




  • Cout du travail trop important

  • Cout de structure qui augmente trop vite en France. Passer de 49 a 51 salarié coute un bras !!!!

  • Arrivé des syndicats moisi quand on augmente le personnel

  • impossiblité d’adapter le personnel au besoin que ce soit en nombre ou en compétence. Bizarrement en auto entreprenneur les mec vont changer plus vite pour survivre alors qu’en salarié ils auraient freiner des 4 fer pour garder leur truc pépere.Si ujourd’hui les Taxis freinent c’est grace au monopole qui fait d’eux au final des salariés avec une rente.







    Ceci se fait tout de même au désavantage des gens employés, il y a là un abus du status auto entrepreneur, si la moitié des entreprises se mettent à reprendre ce système, on est pas dans la merde, et vive la distorsion de concurrence pour les entreprises qui tournent dans les règles…



    J’ai bien conscience qu’on vit dans un pays à la fiscalité bien trop élevée des deux côtés; et aux démarches administratives très contraignantes, tel qu’indiqué sur ce billet, mais on ne peut pas laisser s’installer ici des pratiques dignes de compagnies aériennes low cost, ou l’état et les employés sont perdants.



Les mots ont un sens. Un artisan n’est pas un salarié vu que tu connais la différence entre ces deux statuts de travail.



Enfin, l’autoentreprenaria ne tiendra pas. Ils devront passer au statut de travailleur indépendant et voir leur charges augmenter.








bourgpat a écrit :



Donc tout le monde est d’accord pour passer en status d’auto entreprenneur au travail avec un patron qui loue l’outils de travail et peut virer du jour au lendemin l’autoentreprenneur qu’il emploie sans payer rien sachant que c’est à l’autoentreprenneur de cotiser de son coté pour sa securité sociale et son chomage.



Quand uber se présente avec 16 salariés et une 100aine de chauffeurs, il n’est plus question de concurrence ou de qualité de service mais bien de détournement du droit social. Après si c’est la vision du droit social que l’on assume, autant le dire haut et fort.





C’est du travail dissimulé pour faire peser les charges uniquement sur les chauffeurs, et c’est condamnable par l’URSSAF.



De plus, cette sympathique entreprise Uber est domiciliée dans le Delaware, lieu très propice pour l’évasion/optimisation fiscale.









ActionFighter a écrit :



C’est du travail dissimulé pour faire peser les charges uniquement sur les chauffeurs, et c’est condamnable par l’URSSAF.



De plus, cette sympathique entreprise Uber est domiciliée dans le Delaware, lieu très propice pour l’évasion/optimisation fiscale.





<img data-src=" /> Ils sont à San Franciso, Californie.



Les médias aiment bien opposer les points de vue pour rendre leur sujet plus spectaculaire et détonant. Car, finalement les professions de chauffeur VTC et de taxi cohabitent plus ou moins bien puisque les uns travaillent sur rendez-vous et les autres travaillent à proximité.



Le problème est dans la mise en relation rapide et efficace que permettent les nouveaux moyens de communication et de diffusion de l’information qui rendent moins efficaces les emplacements réservés aux chauffeurs de taxi par l’administration de l’Etat. Facebook, Uber, Google, Microsoft… tout ceci est, en quelque sorte, le même problème pour les européens et les Français : les Nord-américains sont les meilleurs en communication commerciale.








joma74fr a écrit :



Les médias aiment bien opposer les points de vue pour rendre leur sujet plus spectaculaire et détonant. Car, finalement les professions de chauffeur VTC et de taxi cohabitent plus ou moins bien puisque les uns travaillent sur rendez-vous et les autres travaillent à proximité.



un peu trop bien selon les syndicats taxi et le patron de G7…



J’ai vu une idée lumineuse dans les commentaires :



Transformer les fonctionnaires en auto-entrepreneurs!



Comment ce gouvernement qui prône la justice sociale à toutes les sauces n’y a pas encore pensé???



Sinon pour en revenir au sujet, évidemment que les taxis font du corporatisme malhonnête, comme ils l’ont toujours fait quand un gouvernement, quel qu’il soit envisageait d’attribuer des licences supplémentaires…



Bref, pour moi, “Taxi, c’est fini, et dire que c’était la ville de mon premier amour…”



#libérez l’initiative!


Je trouve que Yanis Kiansky (les VTCs) n’a pas été très intéressant.

A part balancer interrompre le mec des taxis pour balancer des piques, il n’a quasiment rien dit.


Je suis réellement dubitatif…



Je me moque du nombre de taxis dans Paris ou en France.

Je me moque du prix de la licence payée par un taxi.

Je me moque qu’un VTC doive attendre 15 ou 42 minutes avant de prendre sa résa.

Je me moque de la loi Pasqua de 1973 ou 1995.

Je me moque du trafic du métro nouillorkais.

Je me moque du numérus clausus des boulangeries (vu qu’il n’existe pas).

Je me moque du chiffre d’affaire des Taxis G7.

Je n’en peux plus d’entendre cette expression “au jour d’aujourd’hui” (entendue au moins 5 fois).

J’ai envie d’entendre des intervenants de PCINpact, sur des sujets qui sont réellement dans leur spectre, soit “Actualités Informatique et High-Tech”. Ou alors, faisons une émission sur les sites d’annonce immobilière, qui concurrences les agences, vu que ça se passe sur le net.



Donc, je n’ai pas aimé cette émission.








Jarodd a écrit :



Je suis réellement dubitatif…



Je me moque du nombre de taxis dans Paris ou en France.

Je me moque du prix de la licence payée par un taxi.

Je me moque qu’un VTC doive attendre 15 ou 42 minutes avant de prendre sa résa.

Je me moque de la loi Pasqua de 1973 ou 1995.

Je me moque du trafic du métro nouillorkais.

Je me moque du numérus clausus des boulangeries (vu qu’il n’existe pas).

Je me moque du chiffre d’affaire des Taxis G7.

Je n’en peux plus d’entendre cette expression “au jour d’aujourd’hui” (entendue au moins 5 fois).

J’ai envie d’entendre des intervenants de PCINpact, sur des sujets qui sont réellement dans leur spectre, soit “Actualités Informatique et High-Tech”. Ou alors, faisons une émission sur les sites d’annonce immobilière, qui concurrences les agences, vu que ça se passe sur le net.



Donc, je n’ai pas aimé cette émission.





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+1

je n’ai pas trop compris non plus



et 42mn c’est le plus souvent trop court.