Quand le surf au boulot devient cause réelle et sérieuse de licenciement

Quand le surf au boulot devient cause réelle et sérieuse de licenciement

La bayonnaise est bontée un peu trop vite

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Xavier Berne

Publié dans

Droit

17/09/2013 4 minutes
81

Quand le surf au boulot devient cause réelle et sérieuse de licenciement

La cour d'appel de Pau a validé en juin dernier le licenciement d'une salariée ayant effectué un nombre important de connexions vers des sites non professionnels durant son temps de travail. Mais si l'ex-employeur assurait qu'il s'agissait d'une faute grave, les magistrats ont quant à eux retenu la qualification de licenciement à cause réelle et sérieuse. Explications. 

Ordinateur taper clavier Morguefile

 

Depuis 2001, Catherine X. travaillait en tant que chargée de recrutement pour une entreprise bayonnaise. Sauf qu’en novembre 2009, son CDI est rompu par son employeur. La salariée est licenciée pour faute grave. Qu’est-ce que lui reproche son patron ? Beaucoup de choses : différentes erreurs et négligences, mais aussi son utilisation de l’outil informatique mis à sa disposition dans le cadre de son travail.

 

La lettre de licenciement de Catherine X. fait effectivement référence à l’utilisation « parfaitement excessive et totalement inappropriée » de sa connexion Internet, au travers de laquelle la salariée est accusée d’avoir consulté de manière récurrente sa messagerie Hotmail personnelle, des sites de rencontres ou des réseaux sociaux tels que Facebook. Si l’employeur précise que la liste qu’il déroule n’est « en aucune manière limitative », il n’oublie pas de souligner que son employée s’est également connectée au site Charlott’Lingerie, à partir duquel l’intéressée travaillait en plus de son emploi en tant qu’hôtesse de vente.

Cause réelle et sérieuse de licenciement 

L’affaire aurait pu en rester là, mais la salariée a décidé de contester son licenciement devant la justice. La cour d’appel de Pau a justement rendu un arrêt dans cette affaire le 13 juin dernier, que nous reproduisons ci-dessous.

 

 

 

À partir des « relevés d’écran de l’ordinateur utilisé par Madame Catherine X. dans le cadre de ses fonctions » - lesquels étaient produits par l’employeur - mais aussi des déclarations de l’intéressée, les magistrats ont retenu que les connexions au site Charlott’Lingerie étaient « quotidiennes, fréquentes et durant les heures de travail ». Pour les juges, pas de doute : « il ne peut être contesté que Madame Catherine X. se livrait sur ce site à des opérations commerciales rémunératrices ».

 

Ce n’est pas tout. Les juges ont également estimé que la salariée avait effectué des visites « très fréquentes, durant les heures de travail, sur des sites communautaires tels que "Facebook" ». La cour d’appel en rajoute une couche : « Les connexions quasi-quotidiennes, à plusieurs reprises dans la journée entre le 12 et le 27 octobre, durant les heures de travail, sur un site sur lequel Madame Catherine X. se livrait à une activité commerciale ainsi que sur des sites communautaires démontrent que cette dernière durant ces périodes ne pouvait se livrer à son travail au sein de l’Agence ».

 

Conclusion : aux yeux des magistrats, l’ensemble de ces manquements « suffisent à constituer une cause réelle et sérieuse de licenciement ». Il ne s’agissait cependant pas d’une faute grave, en ce que le maintien de l’employée dans l’entreprise restait possible pendant la durée du préavis. L’employeur n’a donc pas obtenu gain de cause sur ce point, et a donc été au final condamné à indemniser son ancienne salariée (préavis, licenciement, rappel de salaire).

La faute et sa sanction appropriée

De fait, cette décision complète la jurisprudence de ces dernières années s’agissant des litiges portant sur la consultation de sites Internet par le salarié, sur son lieu de travail et à des fins non professionnelles. On se souvient par exemple que la cour d’appel de Toulouse, dans une décision rendue en juillet 2007 puis confirmée par la Cour de cassation en mars 2009, avait validé le licenciement pour faute grave d’un employé ayant surfé sur la Toile pendant 41 heures sur son lieu de travail.

 

S’agissant de Facebook en particulier, la cour d’appel de Lyon a estimé en novembre 2011 que « l’utilisation à des fins ludiques de l'ordinateur professionnel pendant le temps de travail à quatre reprises au mois d'avril 2009 et à deux reprises au mois de mai 2009 » était fautive dès lors qu’elle constituait une violation des prescriptions du contrat de travail. Cependant, le licenciement est une sanction disproportionnée vis-à-vis de cette faute commise (voir notre article).

Écrit par Xavier Berne

Tiens, en parlant de ça :

Sommaire de l'article

Introduction

Cause réelle et sérieuse de licenciement 

La faute et sa sanction appropriée

Le brief de ce matin n'est pas encore là

Partez acheter vos croissants
Et faites chauffer votre bouilloire,
Le brief arrive dans un instant,
Tout frais du matin, gardez espoir.

Commentaires (81)




Quand le surf au boulot devient cause réelle et sérieuse de licenciement



Mais que ne ferait pas un INpactien pour avoir des nouvelles fraîches <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />


Bon ben je ne vais pas lire la news et me remettre mettre à bosser un peu <img data-src=" />


Commenter pci ça peut avoir les mêmes conséquences ?


Comme mes collègues au dessus, dois-je commencer à m’inquiéter ? <img data-src=" />


pourtant la consultation du FB d’un candidat pour un RH ou un chargé de recrutement, il me semblait avoir lu que ça devenait la norme.



Il y a un moyen de dire qu’elle était sur candy crush et pas en train de checker un gars de manière légitime ?



Charlott’lingerie, c’est plus difficile à défendre par contre <img data-src=" />



edit :



La bayonnaise est bontée un peu trop vite



<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />








Darnel a écrit :



Commenter pci ça peut avoir les mêmes conséquences ?





Ah ah tu viens de te faire flasher par la patrouille en postant un commentaire!!! Oh…wait !! <img data-src=" />



La madame a quand même méchamment cumulé… Encore l’utilisation “ludique” comme ils disent punie d’un licenciement serait un poil exagéré (à moins que ça finisse par nuire à la boîte…). Mais exercer une activité professionnelle différente sur son lieu de travail, ça devient un peu plus abusif là. (l’employeur ne la paie pas pour bosser pour une autre boîte…)


Difficile de tirer une conclusion claire sur le simple fait de surfer sur des sites à priori sans rapport avec son activité professionnelle.



En effet, le fait qu’elle ait passé une partie de son temps de travail à exercer une autre activité, fût-ce ou non à travers internet, suffisait largement à justifier la cause réelle et sérieuse de licenciement (puisque de toute évidence, il n’y avait pas eu d’accord préalable avec ce patron pour cumuler). Je trouve même qu’elle s’en tire bien…



Je ne suis donc pas sûr que l’on puisse tirer de cet arrêt la règle telle que “le surf à des fins non-professionnelles est constitutif de cause réelle et sérieuse”.

D’autant plus que c’est àma extrêmement dépendant des faits.



On constate bien que la jurisprudence n’est pas encore fixée, au vu du rappel de l’arrêt de Toulouse. Arrêt dans lequel certes le licenciement pour faute avait certes été retenu, mais probablement en tenant compte du fait que 1) le salarié, chef de dépôt, avait effacé entièrement son historique, 2) à priori l’utilisation de l’internet ne faisait pas partie des tâches courantes nécessaires au bon accomplissement de sa fonction.

Le verdict eut-il été identique pour une secrétaire ? Un juriste ? Un chargé de veille ? Un communiquant ? J’en doute fort…



Partant, je ne suis pas sûr que l’on puisse établir une règle générale et objective (=non liée à chaque situation personnelle), pour déterminer si tel ou tel usage est constitutif de cause réelle et sérieuse voire de faute.









Darnel a écrit :



Commenter pci ça peut avoir les mêmes conséquences ?





D’instinct, je dirais que ça dépend en bonne partie de ta fréquence de “tir”. Certains ici seraient bien emmerdés si leur chef venait fouiner vu les dizaines de posts par jour qu’ils fournissent… <img data-src=" />



Sans compter qu’elle a merdé dans son taff (fiches de contrat de travail en retard etc…)

Si tu surfes sur FB mais que tu fais (quand même) ton taff, y’a quand même peu de chance de se faire virer… à part si on a un boss (ou le service info/gestapo) fliquant à mort… <img data-src=" />


Même le mode incognito ne sert à rien…



PCInpact fait quelque chose !!!








Citan666 a écrit :



D’instinct, je dirais que ça dépend en bonne partie de ta fréquence de “tir”. Certains ici seraient bien emmerdés si leur chef venait fouiner vu les dizaines de posts par jour qu’ils fournissent… <img data-src=" />





c’est moi qui ai la main sur les log du firewall par lequel passent toutes les communication mouahahahahaha <img data-src=" />



Ah ouais !! Quand même c’est gonflé de bosser pour “charlott lingerie” tout de même sur ses heures de travail. Je comprend le licenciement.



Bon maintenant, je vais faire semblant de bosser <img data-src=" />

(Vu la charge de travail que j’ai, j’ai pas grand chose a faire …)


Combien de lecteurs de PCI se sont mis à flipper à la lecture du titre de cette news ? <img data-src=" />








maxxyme a écrit :



Sans compter qu’elle a merdé dans son taff (fiches de contrat de travail en retard etc…)

Si tu surfes sur FB mais que tu fais (quand même) ton taff, y’a quand même peu de chance de se faire virer… à part si on a un boss (ou le service info/gestapo) fliquant à mort… <img data-src=" />





Moi je pense qu’il ne faut pas s’arrêter à Facebook, parce que c’est devenu banal “bon c’est que facebook, ils ne diront rien hihihi”.



Moi je suis pour la sanction de tout surf au bureau en dehors du cadre du travail (comme la pause de midi) et il faut l’appliquer à tout, même pour des sites comme PCI avec son mode incognito. Puis commencé par des sanctions comme retenue sur le salaire avant de passer par la case licenciement.

Et j’ajouterai aussi qu’il faut des systèmes surveillances au boulot, parce que vous êtes au boulot et pas à la maison les pieds dans les chaussons.

Je rerajouterai qu’il faut sanctionner des sites qui encourage le surf sur les lieux de travail.









Darnel a écrit :



Commenter pci ça peut avoir les mêmes conséquences ?





Pas si tu travails pour PCI. <img data-src=" />









Danytime a écrit :



Moi je pense qu’il ne faut pas s’arrêter à Facebook, parce que c’est devenu banal “bon c’est que facebook, ils ne diront rien hihihi”.



Moi je suis pour la sanction de tout surf au bureau en dehors du cadre du travail (comme la pause de midi) et il faut l’appliquer à tout, même pour des sites comme PCI avec son mode incognito. Puis commencé par des sanctions comme retenue sur le salaire avant de passer par la case licenciement.

Et j’ajouterai aussi qu’il faut des systèmes surveillances au boulot, parce que vous êtes au boulot et pas à la maison les pieds dans les chaussons.

Je rerajouterai qu’il faut sanctionner des sites qui encourage le surf sur les lieux de travail.





Je suis pas sûr de comprendre ta proposition…

Tu voudrais interdire aux gens de surfer sur n’importe quel site pendant les heures de boulot, MAIS AUSSI pendant les heures de pause ? <img data-src=" /><img data-src=" />





  1. Sur le premier point, amuse-toi bien. Autant pour certains postes il est assez aisé de définir les limites du surf “utile au travail”, autant pour d’autres c’est juste ingérable.

  2. Sur le deuxième point, hormis évidemment le cas de surf à destination de contenus illégaux, je ne vois pas en quoi le patron aurait une quelconque légitimité à contrôler ce que tu fais de ton temps de pause.<img data-src=" />























    (à mon avis, tu es juste un troll bien maîtrisé, auquel cas bravo à toi. Je réponds quand même dans le doute… <img data-src=" />)



elle a pas un smartphone? c’est pourtant si simple de surfer au boulot sans se faire prendre ^^


Je pense pouvoir dire sérieusement que sans mon internet ludique au boulot, mon rendement serait divisé par deux.








Gleipnir a écrit :



Combien de lecteurs de PCI se sont mis à flipper à la lecture du titre de cette news ? <img data-src=" />





Au vu des post, pas mal de monde, dont moi <img data-src=" />









Citan666 a écrit :



Je suis pas sûr de comprendre ta proposition…

Tu voudrais interdire aux gens de surfer sur n’importe quel site pendant les heures de boulot, MAIS AUSSI pendant les heures de pause ? <img data-src=" /><img data-src=" />



Aussi pendant les heures de pauses (sauf la pause déjeuner bien entendu), parce qu’avec internet beaucoup s’inventent des heures de pause : pause clope, pause internet, pause mail, pause ftp, pause word (incognito) <img data-src=" />



Parfois je trouve les gens vraiment idiot. S’ils sont tellement dépendant/en manque d’internet, ils n’ont qu’à s’acheter un smartphone/phablet… et surfer dessus au lieu de prendre des risques avec leur boulot. Ils n’auraient plus qu’à être discret quand ils le consultent.

Heureusement pour moi, étant à mon compte et seul, aucun risque de me faire licencier pour avoir consulter pcinpact trop souvent :p


Encore le reflet du malaise français au travail : le présentéisme et l’assiduité absolue attendue par chaque salarié !

Comme si l’on pouvait être toujours à 100% pendant 8 heures ! Les pays du Nord sont beaucoup plus intelligent sur la gestion du temps de travail …



Et quand bien même, qu’est ce qu’une consultation raisonnable ou abusive d’internet sur son lieu de travail finalement ?


Surfer sur PCI peut être considéré comme de la veille technologique quand on bosse dans l’info. <img data-src=" />








le duc rouge a écrit :



Encore le reflet du malaise français au travail : le présentéisme et l’assiduité absolue attendue par chaque salarié !

Comme si l’on pouvait être toujours à 100% pendant 8 heures ! Les pays du Nord sont beaucoup plus intelligent sur la gestion du temps de travail …



Et quand bien même, qu’est ce qu’une consultation raisonnable ou abusive d’internet sur son lieu de travail finalement ?





AMHA, ce qui est raisonnable, c’est de laisser faire tanp que ca n’affecte pas le travail.



Si quelqu’un passe 1h par jour sur Facebook et est plus productif que quelqu’un qui ne fait aucun surf perso, ou est le problème ?





Quand le surf au boulot devient cause réelle et sérieuse de licenciement





Ces dans ces moments que je me dis…





  1. Heureusement que je dispose de 4 connexions à internet au boulot (2 prod, 2 backup ADSL)

  2. Heureusement que j’en administre 24 <img data-src=" />








le duc rouge a écrit :



Encore le reflet du malaise français au travail



Mais non, c’est partout pareil. Au japon les sociétés ont des “salles de l’ennui” dans le but de licencier les travailleurs.










Danytime a écrit :



Aussi pendant les heures de pauses (sauf la pause déjeuner bien entendu), parce qu’avec internet beaucoup s’inventent des heures de pause : pause clope, pause internet, pause mail, pause ftp, pause word (incognito) <img data-src=" />







et le fait que les pauses web augmente la productivité ? (je parle d’une utilisation “normale”)



C’est pour cela que je pratique le BYOD tethering 3G depuis quelques semaines <img data-src=" />








caesar a écrit :



et le fait que les pauses web augmente la productivité ? (je parle d’une utilisation “normale”)



Oui je sais cette façon commercial de dire “continuer à surfer sur notre site”.









Danytime a écrit :



Moi je pense qu’il ne faut pas s’arrêter à Facebook, parce que c’est devenu banal “bon c’est que facebook, ils ne diront rien hihihi”.



Moi je suis pour la sanction de tout surf au bureau en dehors du cadre du travail (comme la pause de midi) et il faut l’appliquer à tout, même pour des sites comme PCI avec son mode incognito. Puis commencé par des sanctions comme retenue sur le salaire avant de passer par la case licenciement.

Et j’ajouterai aussi qu’il faut des systèmes surveillances au boulot, parce que vous êtes au boulot et pas à la maison les pieds dans les chaussons.

Je rerajouterai qu’il faut sanctionner des sites qui encourage le surf sur les lieux de travail.







Heureusement que tu bosses pas hein ? Hypocrisie quand tu nous tiens









WereWindle a écrit :



Charlott’lingerie, c’est plus difficile à défendre par contre <img data-src=" />







pause dentelle <img data-src=" />









caesar a écrit :



Heureusement que tu bosses pas hein ? Hypocrisie quand tu nous tiens





blablabla









Jean_Peuplus a écrit :



Surfer sur PCI peut être considéré comme de la veille technologique quand on bosse dans l’info. <img data-src=" />







Sauf si tu tombes sur mes posts et que ton boss déboule dans ton dos <img data-src=" />









Danytime a écrit :



Moi je pense qu’il ne faut pas s’arrêter à Facebook, parce que c’est devenu banal “bon c’est que facebook, ils ne diront rien hihihi”.



Moi je suis pour la sanction de tout surf au bureau en dehors du cadre du travail (comme la pause de midi) et il faut l’appliquer à tout, même pour des sites comme PCI avec son mode incognito. Puis commencé par des sanctions comme retenue sur le salaire avant de passer par la case licenciement.

Et j’ajouterai aussi qu’il faut des systèmes surveillances au boulot, parce que vous êtes au boulot et pas à la maison les pieds dans les chaussons.

Je rerajouterai qu’il faut sanctionner des sites qui encourage le surf sur les lieux de travail.





Tiens on est déja dredi ? <img data-src=" />



Cette semaine pour moi s’arrêtera jeudi soir : je prend mon vendredi pour 2 raison. La première est la charge de travail est tellement faible que je peut me permettre de faire sauter un jour. La seconde est qu’il faut que j’aille obligatoirement en Savoie avec une voiture pas totalement fiable … alors je préfère prendre mon temps et y aller en journée.









Danytime a écrit :



blablabla







On est a court d’arguments devant sa propre bêtise <img data-src=" />



Allez pov’ Trouduc <img data-src=" />









durthu a écrit :



Même le mode incognito ne sert à rien…



PCInpact fait quelque chose !!!







VPN Inpact <img data-src=" />









caesar a écrit :



On est a court d’arguments devant sa propre bêtise <img data-src=" />



Allez pov’ Trouduc <img data-src=" />





Je ne suis pas à court d’argument, c’est juste que tu n’en a pas avec un combo lancement de troll.

Tu pouvais aussi participer à la discussion, ce n’est pas interdit.



Mon mini du mini quand je bosse, c’est PC INpact. Et si mon boss est pas d’accord bah c’est pareil nanméo.








caesar a écrit :



On est a court d’arguments devant sa propre bêtise <img data-src=" />



Allez pov’ Trouduc <img data-src=" />







Je crois, qu’il s’agissait à la base d’un commentaire ironique en fait… Enfin je crois <img data-src=" /> (Voilà j’ai toujours voulu utiliser celui là c’est fait <img data-src=" /> )



Faut se détendre hein <img data-src=" />



Autant moi je bosse quand j’ai des trucs à faire mais autant en ce moment j’ai quoi, 6 heures pleines sur 8 heures. Bon je peux me perfectionner en programmation mais quand on est flemmard comme moi, on va sur PCINpact ^^.

Heureusement PME, pas d’administrateur réseau tout ça et normalement ils ne se plaignent pas de mon boulot.

Je précise que je suis au Japon et que j’ai un voisin qui s’endort régulièrement sur sa table sans que le patron n’ait rien à redire <img data-src=" /> .








Danytime a écrit :



Je ne suis pas à court d’argument, c’est juste que tu n’en a pas avec un combo lancement de troll.

Tu pouvais aussi participer à la discussion, ce n’est pas interdit.







Lol “combo lancement de troll” ^^ c’est toi le troll poilu …



Tu parles d’interdire le web pdt les heures de travail mais tu te permets toi même d’enfreindre ces propres règles :

Tu en branles pas une a ton taff et ton argumentaire ne s’applique qu’a tes employés : T’as le niveau d’un trouducul de dictateur. Tu ne vaux même pas assez a mes yeux pour aller plus loin dans la “discussion” CQFD <img data-src=" />









deepinpact a écrit :



Je crois, qu’il s’agissait à la base d’un commentaire ironique en fait… Enfin je crois <img data-src=" /> (Voilà j’ai toujours voulu utiliser celui là c’est fait <img data-src=" /> )



Faut se détendre hein <img data-src=" />







Pas vraiment ironique apparemment…









caesar a écrit :



Lol “combo lancement de troll” ^^ c’est toi le troll poilu …



Tu parles d’interdire le web pdt les heures de travail mais tu te permets toi même d’enfreindre ces propres règles





Mais tu n’en sais rien de moi, on a pas les mêmes heures, pas dans le même pays. N’inventez pas la vie des gens. Et le travail au boulot, il ne faut pas avoir peur d’en parler (à moins d’avoir le patron dons le dos dans la minute) parce que la cyberdépendance ça existe.



Çà me gonflerait bien d’être patron aujourd’hui, entre Internet à l’ordi, le portable qui sonne et la pause clope…



Rahhhh ! Ya plus qu’à se pendre.



Pareil pour prof avec les mobiles et smartphones !








caesar a écrit :



Pas vraiment ironique apparemment…







Je sais pas…



Mais ça





Je rerajouterai qu’il faut sanctionner des sites qui encourage le surf sur les lieux de travail.





Soit c’est ironique. Soit c’est un troll… ironique <img data-src=" />









Danytime a écrit :



Moi je pense qu’il ne faut pas s’arrêter à Facebook, parce que c’est devenu banal “bon c’est que facebook, ils ne diront rien hihihi”.



Moi je suis pour la sanction de tout surf au bureau en dehors du cadre du travail (comme la pause de midi) et il faut l’appliquer à tout, même pour des sites comme PCI avec son mode incognito. Puis commencé par des sanctions comme retenue sur le salaire avant de passer par la case licenciement.

Et j’ajouterai aussi qu’il faut des systèmes surveillances au boulot, parce que vous êtes au boulot et pas à la maison les pieds dans les chaussons.

Je rerajouterai qu’il faut sanctionner des sites qui encourage le surf sur les lieux de travail.





Trop gros, passera pas.









deepinpact a écrit :



Soit c’est ironique. Soit c’est un troll… ironique <img data-src=" />



Bah non, il faut en parler puisque c’est une news sur le surf au boulot avec un licenciement derrière. PCINpact propose un mode incognito, mais c’est pas pour autant que je vais dire qu’ils sont fautifs, mais il y a un outil qui participe à la cyberdépendance au taf, voilà tout.









Danytime a écrit :



Bah non, il faut en parler puisque c’est une news sur le surf au boulot avec un licenciement derrière. PCINpact propose un mode incognito, mais c’est pas pour autant que je vais dire qu’ils sont fautifs, mais il y a un outil qui participe à la cyberdépendance au taf, voilà tout.







Ah ouais, en fait c’était pas ironique… <img data-src=" />



Mais je comprends pas, on est que mardi <img data-src=" />



Je sais pas pour les autres lecteurs des commentaires, mais je n’arrive pas à savoir si Danytime trolle volontairement ou s’il est sérieux.



Si c’est du troll, j’exprime ici tout mon respect pour la maîtrise ^^.

Sinon… ben… où sont mes tomates pourries déjà?








Danytime a écrit :



Et j’ajouterai aussi qu’il faut des systèmes surveillances au boulot, parce que vous êtes au boulot et pas à la maison les pieds dans les chaussons.







Pourquoi se faire chier à monter une usine à gaz en surveillance ou de sanction ?



Les fonctions de base des routeurs servent à ça :





Vu que le http n’est pas un mode connecté, je ne vois pas comment on peut quantifier le temps passé sur un site…








pti_pingu a écrit :



C’est pour cela que je pratique le BYOD tethering 3G depuis quelques semaines <img data-src=" />





Oui le smartphone sauve bien le manque de connexion à PCi! <img data-src=" />







Danytime a écrit :



Moi je pense qu’il ne faut pas s’arrêter à Facebook, parce que c’est devenu banal “bon c’est que facebook, ils ne diront rien hihihi”.



Moi je suis pour la sanction de tout surf au bureau en dehors du cadre du travail (comme la pause de midi) et il faut l’appliquer à tout, même pour des sites comme PCI avec son mode incognito. Puis commencé par des sanctions comme retenue sur le salaire avant de passer par la case licenciement.

Et j’ajouterai aussi qu’il faut des systèmes surveillances au boulot, parce que vous êtes au boulot et pas à la maison les pieds dans les chaussons.

Je rerajouterai qu’il faut sanctionner des sites qui encourage le surf sur les lieux de travail.







En tant que geek non fumeur, je vois pas pourquoi les pauses clopes seraient tolérées et pas la pause facebook/PCi.









romjpn a écrit :



Heureusement PME, pas d’administrateur réseau tout ça et normalement ils ne se plaignent pas de mon boulot.

Je précise que je suis au Japon et que j’ai un voisin qui s’endort régulièrement sur sa table sans que le patron n’ait rien à redire <img data-src=" /> .







Il paraît que c’est pris comme un signe de dévouement; genre ton voisin s’échine tellement qu’il n’a plus d’énergie pour tenir debout (en fin de journée, le matin j’aurais des doutes).









maxxyme a écrit :



Sans compter qu’elle a merdé dans son taff (fiches de contrat de travail en retard etc…)

Si tu surfes sur FB mais que tu fais (quand même) ton taff, y’a quand même peu de chance de se faire virer… à part si on a un boss (ou le service info/gestapo) fliquant à mort… <img data-src=" />







Je pense comme toi.



En plus, je me demande comment on peut reprocher à un cadre, qui n’est pas payé à l’heure mais au résultat, de passer du temps sur le Web. En général, quand on est cadre et qu’on ne respecte pas ses objectifs, on se fait remonter les bretelles, et dans ce cas, je peux comprendre que l’aspect “surf” trop important puisse être réellement reproché.









Danytime a écrit :



Moi je suis pour la sanction de tout surf au bureau en dehors du cadre du travail (comme la pause de midi) et il faut l’appliquer à tout, même pour des sites comme PCI avec son mode incognito. Puis commencé par des sanctions comme retenue sur le salaire avant de passer par la case licenciement.

Et j’ajouterai aussi qu’il faut des systèmes surveillances au boulot, parce que vous êtes au boulot et pas à la maison les pieds dans les chaussons.

Je rerajouterai qu’il faut sanctionner des sites qui encourage le surf sur les lieux de travail.







<img data-src=" />



Oui c’est ça, on n’est pas des adultes responsables avec des objectifs professionnels, on est des enfants (ou des robots travailleurs) qu’il faut surveiller comme à l’école.

C’est triste comme mentalité.

En tous cas, quand on est cadre, on est jugé sur l’accomplissement des objectifs fixés, on n’est pas payé à l’heure, on s’organise comme on veut. Si certains veulent passer un peu de temps à “surfer”, ça les regarde. Si ça nuit au travail, c’est le supérieur qui viendra lui demander des explications.



(ou alors c’était en mode provoc et j’ai pas pigé)



Heu le titre est trompeur : c’est surtout qu’elle se connectait à sa 2ème activité rémunérée sur son temps de travail de la 1ère entreprise.



Ce ne sont pas les connexions à facebook ou hotmail qui sont en cause, mais bien les connexions au site charlott lingerie.



Les connexions perso c’est juste la goutte d’eau qui fait déborder le vase.



Elle n’aurait jamais du attaquer au vu de son attitude très peu pro <img data-src=" />


Plus exactement jugement assez juste au final :

-pas de faute grave justifiant un départ immédiat et l’absence de prime etc. cay normal

-connexion à des sites de rencontres depuis le taf <img data-src=" /><img data-src=" /> à un site de e-commerce sur son temps de travail et qui lui rapporte des sous <img data-src=" /><img data-src=" /> -&gt; licenciement pour cause réelle et sérieuse ça me semble normal aussi <img data-src=" />


Si vous faites bien votre boulot et qu’un manager crétin vous reproche d’utiliser le net :



http://www.tdg.ch/high-tech/facebook-ameliore-productivite-salaries/story/129641…



Une infographie publiée par KEAS, un programme américain pour la promotion de la santé et du bien-être au travail, vient tordre le cou aux idées reçues.

« KEAS cite une expérience menée par l’Academy of Management. Un panel d’employés a été divisé en 3. Le premier groupe n’a pas pris de pause. Le deuxième s’est arrêté 10 minutes, mais sans se connecter à internet. Le troisième groupe a eu droit à 10 minutes de pause Facebook.

Au moment de reprendre le travail, les salariés ayant eu accès au réseau social ont été 16% plus productifs que le groupe privé d’internet durant sa pause. Cet écart de productivité monte même à 40%, comparé aux employés qui n’ont pas arrêté de travailler.

«Des pauses courtes et discrètes, comme un surf rapide sur internet, permettent à l’esprit de se reposer, avec pour conséquence une plus forte concentration sur son travail et une meilleure productivité», note Brent Coker, lecteur au Département de Management et Marketing de l’Université de Melbourne, en Australie.

Le lien de l’étude et une infographie.

http://keas.com/blog/case-for-facebook/



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Charly32 a écrit :



Oui le smartphone sauve bien le manque de connexion à PCi! <img data-src=" />







Ah oui, mais dans la catégorie discretos, moi j’ai mon laptop … vais pas me tuer les yeux sur PCi sur un vulgaire 4-5” <img data-src=" />





En tant que geek non fumeur, je vois pas pourquoi les pauses clopes seraient tolérées et pas la pause facebook/PCi.





Moi qui ai eu un penchant pour la clope, je plussois … bien que je faisais les 2 <img data-src=" />









kade a écrit :



Vu que le http n’est pas un mode connecté, je ne vois pas comment on peut quantifier le temps passé sur un site…







si tu vois des requetes a un site tout les minues pendant 2h tu peux en deduire que la personne n’a pas fait grand chose pendant ce temps la

a moins d’etre sur une tache particulierement passive









floop a écrit :



si tu vois des requetes a un site tout les minues pendant 2h tu peux en deduire que la personne n’a pas fait grand chose pendant ce temps la

a moins d’etre sur une tache particulierement passive





Tu peux mettre un reload auto sur un site, et y jeter un oeil, comme par la fenêtre.

Si le data est tracé, c’est un autre problème (genre post/get, ou une url trop parlante).

Et rien ne parle dans cette affaire de la charte établie entre l’employé et l’employeur. Effectivement, un screenshot auto toutes les minutes, c’est imparable. Mais quid de la violation de la vie privée dans ce cas ? Pire (…) violation du secret bancaire, si tu vas sur ta page BNP… Et la santé ? Tu load le PDF de la prise de sang de la veille ? Bref, du flou pour moi.









Zergy a écrit :



Pas si tu travails pour PCI. <img data-src=" />





Bin, si je travaillais pour PCI en parallèle je crois au contraire que ça serait mal parti pour moi <img data-src=" />









kade a écrit :



Tu peux mettre un reload auto sur un site, et y jeter un oeil, comme par la fenêtre.

Si le data est tracé, c’est un autre problème (genre post/get, ou une url trop parlante).

Et rien ne parle dans cette affaire de la charte établie entre l’employé et l’employeur. Effectivement, un screenshot auto toutes les minutes, c’est imparable. Mais quid de la violation de la vie privée dans ce cas ? Pire (…) violation du secret bancaire, si tu vas sur ta page BNP… Et la santé ? Tu load le PDF de la prise de sang de la veille ? Bref, du flou pour moi.







tu peux voir si tu accedes a des ressources differentes et pas toujours les meme a intervalle regulier et franchement qui aurait interet a faire croire que tu surfes au lieu de bosser ?



la moitié des lecteurs de PCI va se faire virer…








pti_pingu a écrit :



Ah oui, mais dans la catégorie discretos, moi j’ai mon laptop … vais pas me tuer les yeux sur PCi sur un vulgaire 4-5” <img data-src=" />







Que tu relie au projo de la salle de réunion! <img data-src=" />











pti_pingu a écrit :



Moi qui ai eu un penchant pour la clope, je plussois … bien que je faisais les 2 <img data-src=" />





L’un n’empêche pas l’autre <img data-src=" />









floop a écrit :



tu peux voir si tu accedes a des ressources differentes et pas toujours les meme a intervalle regulier et franchement qui aurait interet a faire croire que tu surfes au lieu de bosser ?





OK, mais quid de ce dont je parlais ? (secret bancaire, secret médical, etc.) ?

Et je répépète : un auto reload n’est pas interdit. Et surtout pour les accès ajax, les pages se rafraichissent dans les onglets, et il n’est pas interdit d’y jeter un oeil, quelques secondes de temps à autre, et là, rien ne dit qu’on y passe des heures ! Par contre on peut passer des heures sur son tél. ou même au tél. Bref, ça me semble limite…



Autant en lisant au départ, il semblait que ce qui avait été principalement retenu par la cour était les visites excessives du site pour lequel l’employée travaillait à sa compte à côté, autant en arrivant à la fin de l’article il s’avère que la cour prend également en compte les visites sur Facebook et les autres sites communautaires (principalement réseaux sociaux d’après le début de la news).



Pour un employé « normal » ce ne serait pas dur de justifier que ces connexions ne sont pas liées à son travail, mais pour une « chargée de recrutement », en 2013, je vois difficilement comment on peut qualifier ces connexions de non liées au travail à moins d’avoir plus de détails sur les pages spécifiques visitées : en effet, une part non négligeable du travail de recrutement de nos jours se fait justement par les réseaux sociaux ! (à mon grand désespoir, parce que j’exècre ces réseaux au plus au point).



P.S. et il y a bien sûr l’auto-reload et les connexions ajax en tâche de fond mentionnés par kade qui peuvent générer de nombreuses connexions sans que pour autant la personne ne soit pas en train de faire son travail qui n’a rien à voir : il suffit que l’onglet soit ouvert (navigateur ouvert bien sûr). Personnellement je ne monitore pas les sites non professionnels que je consulte pendant mes pauses pour leurs usages de l’auto-reload (quoi que ceux là je tends à les éviter, et j’espère que PCI va revenir sur leur décision de foutre de l’auto-reload) ou des appels ajax en tâche de fond, mais s’il y en a qui sont dans ce cas, comme j’ai des centaines d’onglets ouvert (une minorité étant non professionnels, mais en général quand même ouvert), je pourrais me faire reprocher un usage excessif non professionnel quand bien même il est minime et pendant les pauses (purement hypothétique parce que c’est pas le genre de la maison dans la boîte et mon travail est très apprécié, mais dans une autre boîte ça pourrait arriver).



Les affaires récentes sur ce thème me laissent quand même très dubitatif :/


Je regrette l’absence de réponses juridiques de PCI.

A moins qu’un dossier ne soit en cours.



Ce que j’espère vivement.



On peut attendre ça de ce site.



Merci.<img data-src=" />








Gorkk a écrit :



Autant en lisant au départ







Bon, tu es OK. Il faut que PCI suive sur le sujet. Je vais leur écrire. Il faut des articles sur l’internet au travail, etc.



J’en connais un petit morceau…



Je vais écrire à Marc.



et à Xavier, pardon.


Rahhhh ça fait vraiment ch* ce refresh automatique pour écrire un commentaire…





L’employeur n’a donc pas obtenu gain de cause sur ce point, et a donc été au final condamné à indemniser son ancienne salariée (préavis, licenciement, rappel de salaire).



J’ai l’impression que maintenant lorsque les employeurs veulent virer quelqu’un, ils le virent toujours « pour faute grave », pour voir si ça passe.

Il n’y a pas de compensation (amende, indemnité supplémentaire, dommages et intérêts, …) pour éviter les qualifications abusives ?


Chez nous, le surf personnel est STRICTEMENT INTERDIT dans le règlement intérieur, et d’ailleurs, régulièrement, le service info fait passer la liste des sites visités, histoire de faire flipper ceux qui se sont connectés … <img data-src=" />



Bon, tout le monde surf sur smartphone, mais (plus ou moins) discrètement.








kade a écrit :



Tu peux mettre un reload auto sur un site, et y jeter un oeil, comme par la fenêtre.

Si le data est tracé, c’est un autre problème (genre post/get, ou une url trop parlante).

Et rien ne parle dans cette affaire de la charte établie entre l’employé et l’employeur. Effectivement, un screenshot auto toutes les minutes, c’est imparable. Mais quid de la violation de la vie privée dans ce cas ? Pire (…) violation du secret bancaire, si tu vas sur ta page BNP… Et la santé ? Tu load le PDF de la prise de sang de la veille ? Bref, du flou pour moi.







Pas besoin de screenshot à tout va, avec des logs du proxy tu peux utiliser un outil de statistiques (genre awstats) qui sera capable d’évaluer et de déterminer le temps passé sur la visite de sites web.

J’ai déjà monté ce genre de chose lorsque j’étais en stage pour mes études. Le but n’était pas fliquer (pas de donnée permettant de nommer l’utilisateur) mais juste de savoir quels sites étaient les plus visités. Bizarrement à l’époque, c’était WebMessenger qui avait la palme avec 50% des requêtes, et juste en dessous Google, puis le reste.

C’était dans une bibliothèque universitaire, je précise.









Jean_Peuplus a écrit :



Surfer sur PCI peut être considéré comme de la veille technologique quand on bosse dans l’info. <img data-src=" />







Pas mieux <img data-src=" />









Mihashi a écrit :



J’ai l’impression que maintenant lorsque les employeurs veulent virer quelqu’un, ils le virent toujours « pour faute grave », pour voir si ça passe.





Simple biais statistique: tu n’entends parler que des cas qui se passent mal, et ceux là sont presque exclusivement des licenciements pour fautes graves. Dans les autres cas, il n’y a pas trop de bagarre…



Si tout les licenciements étaient amiable, les prud’hommes ne seraient pas autant engorger… Avec des délais de passage très long.

Un employeur tentera si il en les moyens (juridique), et si le licenciement est coûteux (beaucoup d’année de boite) a faire passer pour faute grave.

Sa coute pas chère et pour peux que la personne est peur de s’engager dans une procédure longue, parfois coûteuse sans être sur d’avoir gain de cause en plus au vue des arguments souvent justifié. Mais la question est justifié en faute grave ou réelle et sérieuse ?

Au tribunaux de le dire. En tout cas je vais ralentir mais visite par mon poste et passer par mon mobile








SebGF a écrit :



J’ai déjà monté ce genre de chose lorsque j’étais en stage pour mes études. Le but n’était pas fliquer (pas de donnée permettant de nommer l’utilisateur) mais juste de savoir quels sites étaient les plus visités. Bizarrement à l’époque, c’était WebMessenger qui avait la palme avec 50% des requêtes, et juste en dessous Google, puis le reste.







Justement, avec ce genre de statistiques, tu tailles à la serpe les sites de loisirs en tête de liste.



Rien qu’avec Youtube et Facebook, tu gagnes en trafic réseau.









kade a écrit :



OK, mais quid de ce dont je parlais ? (secret bancaire, secret médical, etc.) ?

Et je répépète : un auto reload n’est pas interdit. Et surtout pour les accès ajax, les pages se rafraichissent dans les onglets, et il n’est pas interdit d’y jeter un oeil, quelques secondes de temps à autre, et là, rien ne dit qu’on y passe des heures ! Par contre on peut passer des heures sur son tél. ou même au tél. Bref, ça me semble limite…





On parle d’un usage au travail rappelons le. Ce genre de choses se fait chez soi où si tu as vraiment besoin tu prends ton ordi portable. Et tu peux toujours demander à ce que le système de screenshots soit inactif durant les heures de pause.









Mihashi a écrit :



Rahhhh ça fait vraiment ch* ce refresh automatique pour écrire un commentaire…





J’ai l’impression que maintenant lorsque les employeurs veulent virer quelqu’un, ils le virent toujours « pour faute grave », pour voir si ça passe.

Il n’y a pas de compensation (amende, indemnité supplémentaire, dommages et intérêts, …) pour éviter les qualifications abusives ?





En même temps, de mon point de vue c’est grave. Je ne peux pas trop leur donner tort sur ce coup là.









MorK_ a écrit :



En même temps, de mon point de vue c’est grave. Je ne peux pas trop leur donner tort sur ce coup là.





La « faute grave » c’est pas selon ton point de vue, c’est selon le point de vue de la loi qui dit : « la faute grave est celle qui rend impossible le maintien du salarié dans l’entreprise ».