[MàJ] VideoLan (VLC) défend son droit de lire devant la Hadopi

[MàJ] VideoLan (VLC) défend son droit de lire devant la Hadopi

Richard, si tu nous lis...

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Marc Rees

Publié dans

Droit

11/09/2012 3 minutes
181

[MàJ] VideoLan (VLC) défend son droit de lire devant la Hadopi

Nous avons obtenu les premiers échos de la réunion organisée hier matin rue du Texel. L'objet était de faire le point sur cette saisine, ce qui n'a pas apporté grand-chose à l'éditeur de VLC. Plusieurs faits sont cependant à souligner.

 

La Hadopi avait en main un mémoire de l’AACS Licensing Administrator, l’organisme derrière la DRM du Blu-Ray. Le document n'a toutefois pas été transmis à VideoLan avant cette réunion. L'éditeur de VLC était donc en incapacité de préparer sa réponse.

 

Rappelons que voilà un an, Videolan a contacté la Hadopi pour dénouer une situation ubuesque où consommateurs et développeurs sont pris en otage. Comme exposé dans sa saisine, l’éditeur de VLC voudrait que son lecteur tout terrain et libre puisse lire le Blu-Ray sur toutes les plateformes, dont celles open source. En face, Sony interdit ce droit afin d’empêcher la copie de son support. La firme utilise un sandwich de DRM, ces fameux verrous numériques : l’AACS (Advanced Access Content System) et la machine virtuelle BD+.

 

Les textes du code de la propriété intellectuelle soufflent le chaud et le froid, indiquant d’un côté que « les mesures techniques ne doivent pas avoir pour effet d'empêcher la mise en œuvre effective de l'interopérabilité, dans le respect du droit d'auteur », et de l’autre que le code source et de la documentation technique restent secretes si l’auteur d’un DRM « apporte la preuve que [cette publication] aurait pour effet de porter gravement atteinte à la sécurité et à l'efficacité de ladite mesure. »

 

Pour permettre à VLC de lire le Blu-ray, l'idée d'un plug-in propriétaire a été évoquée lors de la réunion du 5 septembre. Mais ce contournement viendrait en opposition avec la licence du logiciel libre. De même l’AACS LA a poussé l’idée selon laquelle on ne serait pas dans le cadre d’un logiciel, et donc que l’exception de décompilation (art.122-6 IV CPI) serai fermée. Une analyse non partagée par Videloan : si la question se pose pour les clés AACS, elle considère qu’on est bien dans ce cas pour l’implémentation AACS.

 

 « VLC est open source et ne sert pas à contourner les DRM : il doit servir à lire des BluRay sur toutes les plate-formes open-source ! » tambourine Videolan sur son compte Twitter. L’association félicite dans le même temps cette réunion où leurs « questions et interrogations ont été comprises ».

 

Et maintenant ? La Hadopi a promis d'organiser de nouvelles auditions, ce qui va repousser d'autant l'issue attendue. Le 11 septembre prochain, le collège se réunira sans qu'aucun agenda précis n'ait été défini au-delà.

Écrit par Marc Rees

Tiens, en parlant de ça :

Sommaire de l'article

Introduction

Commentaires (181)


Mouais… Comme y’a pas un seul gugus compétent dans cette institution, ça va se finir en “Anéfé, il faut faire quelque chose, on va donc créer une commission pour réfléchir à ça, RDV dans 2 ans…”


En définitive, c’est un problème entre VLC (ou l’open source en général) et l’AACS. Mais ça, on s’y attendais.



Concrètement, que peux la HADOPI dans cette situation ?

Peut-on espérer la présence de représentants de Sony à la prochaine réunion ? :)



<img data-src=" /> VideoLAN pour vos efforts !!


VidéoLan -a-t-il prévu d’escalder le problème si la réponse ne les satisfait pas ?


[mode Francky] Rejeté[/mode Francky]



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La Hadopi avait en main un mémoire de l’AACS Licensing Administrator, l’organisme derrière la DRM du Blu-Ray. Le document n’a toutefois pas été transmis à VideoLan avant cette réunion





On perd pas les bonne habitudes :

“Mme Hadopi il faut répondre ça, sinon c’est des millions d’emplois supprimés”


Bon courage à l’équipe de VLC, faut être motivés… <img data-src=" />


Bah, il fallait s’y attendre. La réponse, c’est pas pour demain. <img data-src=" />

@VideoLan : Laissez tomber, vous voulez bien… <img data-src=" />




En face, Sony interdit ce droit afin d’empêcher la copie de son support.



Ce n’est pas comme si on trouvait déjà plein de copie pirate explicite “BRRIP” ou “BDRIP”. (pour Hadopi et consœur, rip comme ripper = copier, non comme mort = Requiescat in pace) <img data-src=" />





L’association félicite dans le même temps cette réunion où leurs « questions et interrogations ont été comprises ».



Ca me fait penser à cette news mais surtout à ces commentaires et


Il y a deux points noirs dans cette affaire:





  • La HADOPI n’a pas de calendrier a respecter car personne ne peut lui imposer. Donc les consultations, réunions, séances, etc… C’est quand elle veut, où elle veut, bref elle fait ce qui lui chante.



  • Les éventuels ombres du pied de la main de délibération de réunion ne sont pas forcément public; en clair elle peut rétorquer “on a décidé que non”, sans plus de précisions et on peut rien dire ou demander…





    La HADOPI est donc une boite noire sur laquelle on ne peut rien faire ou demander (exiger ? même pas en rêve !), tout a été prévu dans ses status pour qu’elle soit à l’abri de toute tentative de discussion.



    C’est beau…<img data-src=" />




Le 11 septembre prochain, le collège se réunira sans qu’aucun agenda précis n’ait été défini au-delà.





Ils ont bien choisi la date… Bien en adéquation avec ce ratage calamiteux qu’est Hadopi !



Le Cône vaincra !


Le 06/09/2012 à 07h 44

Des auditions de pure forme dans la mesure où l’autorité est d’une mauvaise volonté évidente : en témoigne la non transmission du mémoire de l’AACS licensing administrator.



Ma petite expérience de ce type de situation me dit que cette péripetie est loin d’être anodine. Plutôt, elle paraît révélatrice du fait que le résultat est plié d’avance dans l’esprit arbitral. Bon courage aux gens de VLC et mes félicitations anticipées pour le cas où ils arriveraient à obtenir quoi que ce soit de significatif dans de telles conditions.


Le 06/09/2012 à 07h 45







Commentaire_supprime a écrit :



Le Cône vaincra !







CS, c’est pas une news sur la légalisation du cannabis <img data-src=" /> <img data-src=" />









krustyleclown a écrit :



CS, c’est pas une news sur la légalisation du cannabis <img data-src=" /> <img data-src=" />







J’ai pensé à la même chose <img data-src=" />



Le 06/09/2012 à 07h 53







neeloots a écrit :



J’ai pensé à la même chose <img data-src=" />







N’allez pas croire des choses <img data-src=" />



Et puis, VLC dans des lecteurs de salon, ce serait de très bonnes rentrées financières pour VLC, non ? <img data-src=" />








krustyleclown a écrit :



N’allez pas croire des choses <img data-src=" />





deux clowns (pas dans le même registre, certes) pensant la même chose, non on n’imaginera rien <img data-src=" />



Et pendant ce temps, je regarde mes Blu-Rays avec MPC-HC et AnyDVD. <img data-src=" />


Hum, vlc? un truc open source fait par 4 mec dans un placard à balai… et en France! contre qui? Sony, multinational lobby de la culture…. Qui sera le plus simple a envoyer paitre ailleurs?








alkashee a écrit :



La HADOPI est donc une boite noire sur laquelle on ne peut rien faire ou demander (exiger ? même pas en rêve !), tout a été prévu dans ses status pour qu’elle soit à l’abri de toute tentative de discussion.



C’est beau…<img data-src=" />







Il y a quand même un point positif :

L’existence d’Hadopi permet à VideoLan d’avoir un interlocuteur officiel pour aborder le problème. Autrement il y aurait toujours eu un vide juridique.



Florent_ATo a écrit :



Concrètement, que peux la HADOPI dans cette situation ?

Peut-on espérer la présence de représentants de Sony à la prochaine réunion ? :)





On peut espérer, mais pourquoi pas ?









TBirdTheYuri a écrit :



Mouais… Comme y’a pas un seul gugus compétent dans cette institution, ça va se finir en “Anéfé, il faut faire quelque chose, on va donc créer une commission pour réfléchir à ça, RDV dans 2 ans…”







C’est faux. La réunion était de très bon niveau technique et légal.







Florent_ATo a écrit :



En définitive, c’est un problème entre VLC (ou l’open source en général) et l’AACS. Mais ça, on s’y attendais.





La question est beaucoup plus complexe: quel est le niveau de distribution qu’on puisse se permettre ? (libaacs sans les clés, par exemple)







Florent_ATo a écrit :



Concrètement, que peux la HADOPI dans cette situation ?





Éclaircir la loi, et paraître ridicule…







petit_louis a écrit :



VidéoLan -a-t-il prévu d’escalder le problème si la réponse ne les satisfait pas ?





Oui







raoudoudou a écrit :



Bon courage à l’équipe de VLC, faut être motivés… <img data-src=" />





Indeed.







LeTroll a écrit :



Bah, il fallait s’y attendre. La réponse, c’est pas pour demain. <img data-src=" />

@VideoLan : Laissez tomber, vous voulez bien… <img data-src=" />





Pourquoi laisser tomber?







pmanglade a écrit :



Des auditions de pure forme dans la mesure où l’autorité est d’une mauvaise volonté évidente : en témoigne la non transmission du mémoire de l’AACS licensing administrator.



Ma petite expérience de ce type de situation me dit que cette péripetie est loin d’être anodine. Plutôt, elle paraît révélatrice du fait que le résultat est plié d’avance dans l’esprit arbitral. Bon courage aux gens de VLC et mes félicitations anticipées pour le cas où ils arriveraient à obtenir quoi que ce soit de significatif dans de telles conditions.





Analyse partagée.

Si on a rien, ils sont des méchants aux yeux du public.

Tout ce qu’on obtient est positif pour nous.







2show7 a écrit :



Et puis, VLC dans des lecteurs de salon, ce serait de très bonnes rentrées financières pour VLC, non ? <img data-src=" />





Pas intéressés.







TofVW a écrit :



Et pendant ce temps, je regarde mes Blu-Rays avec MPC-HC et AnyDVD. <img data-src=" />





Ou AnyDVD et VLC.









Florent_ATo a écrit :



Peut-on espérer la présence de représentants de Sony à la prochaine réunion ? :)





Il étaient présent dans le dossier de réponse pré-rempli fourni à la Hadopi.



Il n’est pas possible de passer l’interface VLC qui sert aux plugins en license LGPL ou BSD ? Genre les personnes qui développeraient des greffons ne seraient pas obligés d’être Open Source (comme avec le Kernel Linux).




En face, Sony interdit ce droit afin d’empêcher la copie de son support.





Je ne comprend pas : on paye une taxe copie privée chère sur beaucoup d’objets qui sert à quoi en fait si des systèmes empêchent ce droit ? <img data-src=" />



Enfin, ça n’est pas un bon point pour l’offre qu’ils appellent légale.








garvek a écrit :



Il n’est pas possible de passer l’interface VLC qui sert aux plugins en license LGPL ou BSD ? Genre les personnes qui développeraient des greffons ne seraient pas obligés d’être Open Source (comme avec le Kernel Linux).







Ça ne résoudrait pas le problème principal qu’il est impossible d’empêcher l’affichage dans un fichier.









Hatsepsout a écrit :



Je ne comprend pas : on paye une taxe copie privée chère sur beaucoup d’objets qui sert à quoi en fait si des systèmes empêchent ce droit ? <img data-src=" />





Cette taxe n’est pas un droit au contournement des protections contre la copie



Bonne chance à Videolan pour la suite !! <img data-src=" />


Effectivement, elle permet de faire payer l’utilisateur pour mettre au point de plus puissant DRM et système anti-copie <img data-src=" />


Le 06/09/2012 à 08h 28







Hatsepsout a écrit :



Je ne comprend pas : on paye une taxe copie privée chère sur beaucoup d’objets qui sert à quoi en fait si des systèmes empêchent ce droit ? <img data-src=" />







Ils empêchent pas ce droit. Les pirates comme les concepteurs de VLC veulent imposer à tout le monde l’open source… sauf qu’ils ont rien à imposer. S’ils veulent pas respecter le droit d’auteur, VLC ne lit pas les BD AACS, point.










jb a écrit :



Pas intéressés.







Même pas en montrant à la Hadopi que c’est un frein à la création Française, même si cela ne vous intéresse pas.



Mais vu qu’on peut déjà copier des br, la protection n’est-elle pas caduque et du coup l’objection de sony ne tiendrait pas le coup ?








jb a écrit :



Éclaircir la loi, et paraître ridicule…





T’aurais pu laisser un doute en mettant un “ou” <img data-src=" />



Traduction en bon Français : L’hodopi envisagera de donner peut-être un début de réponse … à la saint glinglin ! <img data-src=" />








Commentaire_supprime a écrit :



Ils ont bien choisi la date… Bien en adéquation avec ce ratage calamiteux qu’est Hadopi !



Le Cône vaincra !





C’est un crach <img data-src=" />









Dude76 a écrit :



T’aurais pu laisser un doute en mettant un “ou” <img data-src=" />







Ooops… Pas eu mon café ce matin…







alzorglub a écrit :



Mais vu qu’on peut déjà copier des br, la protection n’est-elle pas caduque et du coup l’objection de sony ne tiendrait pas le coup ?





Évidemment.







2show7 a écrit :



Même pas en montrant à la Hadopi que c’est un frein à la création Française, même si cela ne vous intéresse pas.





Bon point.







herbeapipe a écrit :



Bonne chance à Videolan pour la suite !! <img data-src=" />





Merci.









Commentaire_supprime a écrit :



Le Cône vaincra !





Merci pour ton soutien! <img data-src=" />









jb a écrit :



Ça ne résoudrait pas le problème principal qu’il est impossible d’empêcher l’affichage dans un fichier.







Ah d’accord, je vois mieux le souci, merci de la précision. Je suppose que c’est lié au fait que dans les players commerciaux, il est utilisé une fonction de Vista qui permet un genre d’overlay non récupérable par les autres programmes, et ca serait une fonction trop différente de l’architecture de VLC ?



on ne peut que souhaiter le meilleur pour VLC <img data-src=" />








garvek a écrit :



Ah d’accord, je vois mieux le souci, merci de la précision. Je suppose que c’est lié au fait que dans les players commerciaux, il est utilisé une fonction de Vista qui permet un genre d’overlay non récupérable par les autres programmes, et ca serait une fonction trop différente de l’architecture de VLC ?







Même en supposant utiliser cela sous Vista, comment tu fais sur les autres plate-formes? Et sous XP?

Enfin, être certifié HDCP est interdit pour l’Open Source.



Et imagine le même truc en sortie du module BluRay?











FrenchPig a écrit :



Cette taxe n’est pas un droit au contournement des protections contre la copie





Justement, on paie une redevance parce qu’il est possible de copié/convertir un fichier sur des supports. Or si il est interdit de copié sur un autre support à pourquoi payer cette redevance?









tazvld a écrit :



Justement, on paie une redevance parce qu’il est possible de copié/convertir un fichier sur des supports. Or si il est interdit de copié sur un autre support à pourquoi payer cette redevance?





Je vais pas rentrer dans le détail car je ne suis pas juriste, mais rien ne t’interdit de copier du contenu non-protégé pour ton usage privé. Par contre le fait que les éditeurs et diffuseurs t’en empêche par diverses mesures de protection, c’est une autre histoire et tu n’as pas le droit de contourner ces mesures…









tazvld a écrit :



Justement, on paie une redevance parce qu’il est possible de copié/convertir un fichier sur des supports. Or si il est interdit de copié sur un autre support à pourquoi payer cette redevance?







maitre Eolas à propos de mulholland drive









FrenchPig a écrit :



Je vais pas rentrer dans le détail car je ne suis pas juriste, mais rien ne t’interdit de copier du contenu non-protégé pour ton usage privé. Par contre le fait que les éditeurs et diffuseurs t’en empêche par diverses mesures de protection, c’est une autre histoire et tu n’as pas le droit de contourner ces mesures…





Ce n’est pas tout à fait exact : tu le peux que dans le cadre d’interopératibilité (par exemple lire un DVD sous Linux).









Florent_ATo a écrit :



Concrètement, que peux la HADOPI dans cette situation ?







Elle a 3 solutions :




  • soit elle dit : le contournement des protection est autorisé pour des raisons d’interoperabilité comme le dit la loi machin-truc et c’est la débandade -&gt; perdu.

  • soit elle dit : allez vous faire foutre et elle se fera encore plus pourrir -&gt; perdu.

  • soit elle reporte la decison ad vitam en esperant que VLC lache l’affaire ou qu’elle disparaisse avant -&gt; <img data-src=" />









jb a écrit :



Ça ne résoudrait pas le problème principal qu’il est impossible d’empêcher l’affichage dans un fichier.







Bon, je ne veux pas jouer l’avocat du diable, mais j’ai une question simple (et conne <img data-src=" />).



En fait, qu’est ce qui peut empêcher un producteur de support média d’interdire l’usage que de certains matériels pour lire ce même média (attention je parle de matériel en général et non ceux uniquement du producteur car cela serait vu comme un abus pouvant mener à un monopole).



Ma question n’est pas anodine, car sous sa forme légèrement polémique, on peut en déduire la question suivante:



Hormis une volonté politique de l’Hadopi (ou des représentants du droit d’auteur/consortium BR), quelle serait leur intérêt à pousser un producteur de support qui choisi des supports de lecture ad-hoc qui ne sont pas que de son ressort et dirait niet au reste alors même que les derniers accordent des possibilités de lecture à certains constructeur?



Je sais, mais passons les réponses libre, choix, moral, etc. c’est forcément évident, mais d’un point de vue strictement juridique ou économique, je n’y vois aucune base (hormis si à VLC vous avez un dossier spécifique, et si tel est le cas et si ce n’était pas confidentiel, ce serait sympa de le lire <img data-src=" />)









tazvld a écrit :



Justement, on paie une redevance parce qu’il est possible de copié/convertir un fichier sur des supports. Or si il est interdit de copié sur un autre support à pourquoi payer cette redevance?







C’est pas un droit de copier que tu paies mais une taxe pour les copies qui sont faites quand meme.





Richard, si tu nous lis…





C’est qui Richard ?<img data-src=" />








pti_pingu a écrit :



En fait, qu’est ce qui peut empêcher un producteur de support média d’interdire l’usage que de certains matériels pour lire ce même média (attention je parle de matériel en général et non ceux uniquement du producteur car cela serait vu comme un abus pouvant mener à un monopole).







le marché tout simplement.



Si un ayant-droit se met a proposer un support qui n’a pas un minimum d’ouverture, personne ne va acheter.

L’AACS et l’HDCP possedent deja tout un ensemble de “droits” permettant pleins de blocage sur differents niveaux mais ca n’a jamais ete reellement appliqué ni mis en oeuvre car le type qui oserait appuyer sur ce bouton se ferait ejecter par le marché.

Aujourd’hui, les protections des BluRay ne servent plus a rien dans la pratique. Elles ont servit juste a rassurer les ayants-droits quand on leur a demandé de choisir entre BR et HD-DVD.









KP2 a écrit :



C’est pas un droit de copier que tu paies mais une taxe pour les copies qui sont faites quand meme.







Nuance, ce n’est pas une taxe, mais une redevance qui va dans les boîtes de gestion des Ayants Droits









2show7 a écrit :



Nuance, ce n’est pas une taxe, mais une redevance qui va dans les boîtes de gestion des Ayants Droits







oui oui… <img data-src=" />

je crois qu’on en pense a peu pres tous la meme chose <img data-src=" />









KP2 a écrit :



le marché tout simplement.



Si un ayant-droit se met a proposer un support qui n’a pas un minimum d’ouverture, personne ne va acheter.

L’AACS et l’HDCP possedent deja tout un ensemble de “droits” permettant pleins de blocage sur differents niveaux mais ca n’a jamais ete reellement appliqué ni mis en oeuvre car le type qui oserait appuyer sur ce bouton se ferait ejecter par le marché.

Aujourd’hui, les protections des BluRay ne servent plus a rien dans la pratique. Elles ont servit juste a rassurer les ayants-droits quand on leur a demandé de choisir entre BR et HD-DVD.







Oui mais, à ma question et à ta réponse vient se greffer le fait qu’il existe des lecteurs physiques ou logicielles (qui ne sont pas forcément de Sony) qui lisent les BR avec ces DRM. En outre, si l’usage de ces protections ne portent pas préjudice aux ventes de Sony (contrairement à la belle époque des DRM sur MP3 ou WMA), l’argument “le marché tout simplement” n’a même pas de fondement économique.









saf04 a écrit :



maitre Eolas à propos de mulholland drive









KP2 a écrit :



C’est pas un droit de copier que tu paies mais une taxe pour les copies qui sont faites quand meme.





Précision : copie en toute légalité. Les copies illégales ne devraient pas être prises en compte. (suivez mon regard).

Justement, la redevance est faite car les fichiers sont copiés (légalement). Maintenant, avec ces systèmes de DRM, il est impossible de copié légalement. Donc la redevance n’a plus lieu d’être, non?









KP2 a écrit :



C’est pas un droit de copier que tu paies mais une taxe pour les copies qui sont faites quand meme.





La redevance pour copie privée n’est faite que pour les copies “légales”.

Il faut donc que les enquêtes d’usage soit faites :




  1. en précisant cela de façon compréhensible par chacun

  2. en précisant que cette enquête ne porte pas sur tout autre fichier qu’il ne faut donc pas déclarer comme une copie stockée sur le média en question et qu’il ne sera pas tenu compte contre la personne qui y répond d’éventuels fichiers à “légalité douteuse”



    Ce n’est pas le cas actuellement et cela rend très discutable les résultats de ces enquêtes.



    Mais on s’égare du sujet.



    Le seul lien avec le sujet est comme déjà dit que l’existence de nombreuses copies de BR prouve qu’autoriser VLC à lire les BR ne nuirait en rien à l’industrie dite culturelle puisque ces copies sont déjà nombreuses.









fred42 a écrit :



C’est qui Richard ?<img data-src=" />





Richard Stallman peut être ?









KP2 a écrit :



oui oui… <img data-src=" />

je crois qu’on en pense a peu pres tous la meme chose <img data-src=" />







Je ne pourrais pas dire aussi si elle est intégrée dans la taxe (en pourcentage), mais la taxe est généralement pour tout le monde (même pour le pain, mais ne revient pas aux boulangers)<img data-src=" />









tazvld a écrit :



Justement, la redevance est faite car les fichiers sont copiés (légalement). Maintenant, avec ces systèmes de DRM, il est impossible de copié légalement. Donc la redevance n’a plus lieu d’être, non?







C’est vers cette idée que mon commentaire tendait (maladroitement).

Merci pour les réponses les autres.









pti_pingu a écrit :



Oui mais, à ma question et à ta réponse vient se greffer le fait qu’il existe des lecteurs physiques ou logicielles (qui ne sont pas forcément de Sony) qui lisent les BR avec ces DRM. En outre, si l’usage de ces protections ne portent pas préjudice aux ventes de Sony (contrairement à la belle époque des DRM sur MP3 ou WMA), l’argument “le marché tout simplement” n’a même pas de fondement économique.







Ben justement, l’usage de ces protections porte prejudice aux ventes…

C’est bien pour ca que les mecs les mettent (ils ont quand meme payé sacrement cher pour les avoir) mais sont tres loin de les utiliser au maximum de leur potentiel.

C’est comme si ils te donnaient un ordinateur sous windows 7 pro qui possede des ACL hyper pointues mais ils te filent un compte admin (sans te donner le mot de passe hé ! securité securité ! <img data-src=" />) et tous les droits foutus a “controle total”.

En fait, aujourd’hui, ces protections retiennent juste les “editeurs” comme VLC qui veulent pas payer mais souhaitent rester blancs comme neige. C’est juste du racket sur les ayants-droits (avec leur consentement absolu et total - vive les masos), les constructeurs de lecteurs, de TV, les editeurs d’OS, de logiciels, etc



Ce n’est pas au consommateur de trinquer pour protéger hypothétiquement le Blu-Ray… Ceux qui télécharge des isos Blu-Ray ne sont pas embêtés eux.





« les mesures techniques ne doivent pas avoir pour effet d’empêcher la mise en œuvre effective de l’interopérabilité, dans le respect du droit d’auteur »





Ce DRM empêche l’interopérabilité même en respectant le droit d’auteur puisque c’est le consommateur honnête qui ne peut lire son Blu-ray sur un OS GNU/Linux. C’est d’ailleurs pour ça que je n’ai toujours pas acheté de lecteur Blu-Ray pour mon HTPC sous XBMC.



Cette argument me fait penser à celui de certains défenseurs de la vente liée… “Si on arrête de vendre des machines sans Windows pré installé, les gens installeront un Windows crackés”. Ce n’est pas une raison, c’est le problème de petitmou. De même, c’est à Sony de trouver un moyen de protéger les ayants droits sans nuire à l’interopérabilité.



Bref, L’HADOPI ferait mieux de faire respecter l’interopérabilité dans l’intérêt du consommateur.








Hatsepsout a écrit :



C’est vers cette idée que mon commentaire tendait (maladroitement).

Merci pour les réponses les autres.









Je me souviens avoir lu une citation d’un responsable haut placé d’une grande Major US (Universal je crois bien) qui disait que cette taxe franco-francaise etait profondement debile et qu’elle genait le marché.

Bref, un discours completement a l’opposé de celui de Negre & Cie.



C’etait y’a au moins 2 ans (genre peut etre 6 mois apres l’instauration de la RCP)



Faudrait que je retrouve…









pti_pingu a écrit :



En fait, qu’est ce qui peut empêcher un producteur de support média d’interdire l’usage que de certains matériels pour lire ce même média (attention je parle de matériel en général et non ceux uniquement du producteur car cela serait vu comme un abus pouvant mener à un monopole).







La loi. Juste la loi qui garantie l’interopérabilité et autorise le reverse-engineering dans ces cas. Cf 122-6-1 III et IV et cf 331-5 et suivants.









KP2 a écrit :



En fait, aujourd’hui, ces protections retiennent juste les “editeurs” comme VLC qui veulent pas payer mais souhaitent rester blancs comme neige.





Mais on veut bien payer… On veut juste rester open source (on a pas le choix).









KP2 a écrit :



Ben justement, l’usage de ces protections porte prejudice aux ventes…

C’est bien pour ca que les mecs les mettent (ils ont quand meme payé sacrement cher pour les avoir) mais sont tres loin de les utiliser au maximum de leur potentiel.

C’est comme si ils te donnaient un ordinateur sous windows 7 pro qui possede des ACL hyper pointues mais ils te filent un compte admin (sans te donner le mot de passe hé ! securité securité ! <img data-src=" />) et tous les droits foutus a “controle total”.

En fait, aujourd’hui, ces protections retiennent juste les “editeurs” comme VLC qui veulent pas payer mais souhaitent rester blancs comme neige. C’est juste du racket sur les ayants-droits (avec leur consentement absolu et total - vive les masos), les constructeurs de lecteurs, de TV, les editeurs d’OS, de logiciels, etc







Hum, ce que tu viens de décrire, ce n’est ni plus, ni moins que le Windows Store, l’Apple Store etc etc.



Je t’assure, je ne veux pas troller sur le coup. Ce n’est pas du racket car il n’y a aucune obligation pour VLC de lire les BR sauf celui de contenter une masse d’utilisateur qui est importante (argument Ô combien valable) et celle morale.



Maintenant, là où cela pourrait devenir problématique, c’est s’il y avait une volonté manifeste de Sony (et du consortium BR) de “détruire” VLC. Or, là question n’est pas là et même si c’était le cas, on rentrerait dans une nouvelle phase où la question ne serait plus de discuter interopérabilité avec la Hadopi mais démontrer devant la justice un préjudice où une volonté manifeste de nuire.



Encore une fois, ce n’est pas du trolling, c’est juste une tentative de bien comprendre la stratégie et les leviers invocable par VLC permettant de prouver qu’il est nécessaire d’obtenir les moyens d’interopérabilité.









jb a écrit :



La loi. Juste la loi qui garantie l’interopérabilité et autorise le reverse-engineering dans ces cas. Cf 122-6-1 III et IV et cf 331-5 et suivants.







Ok, mais dans ce cas (et bien que je connais cette possibilité), où se situe le souci. Est-ce que vous craignez une attaque en bonne et due forme de la part du consortium BR?



Car effectivement, Sony l’interdit, mais là loi dit que ce n’est pas possible. La seule chose que je vois pour VLC, c’est le risque de rentrer dans un processus judiciaire long et coûteux ce qui mènerait à sa fin.



De plus, qu’apporte Hadopi, sachant que vous allez les voir mais que leur ressort n’est qu’au niveau de la France. Sachant que VLC est mondialement diffusé, qu’en serait-il si via Hadopi, on vous reconnait un droit de reverse engineering qui s’applique en vertu du droit français, au niveau des autres pays? Un VLC modulaire en fonction de la zone d’usage? Une amorce de discussion par territoire? Etc.



Alors certes, le droits français et surtout la mise en place de certaines administration fait ressortir le côté ubuesque, mais là, vous levez un gros lièvre dans la mesure où l’usage de VLC, ce n’est pas que 5 gus dans un garage à Ménilmontant <img data-src=" />









pti_pingu a écrit :



Ok, mais dans ce cas (et bien que je connais cette possibilité), où se situe le souci. Est-ce que vous craignez une attaque en bonne et due forme de la part du consortium BR?





Indeed. Et la loi est pas claire.

Et ensuite la difficulté consiste en la re-diffusion des informations.







pti_pingu a écrit :



De plus, qu’apporte Hadopi, sachant que vous allez les voir mais que leur ressort n’est qu’au niveau de la France. Sachant que VLC est mondialement diffusé, qu’en serait-il si via Hadopi, on vous reconnait un droit de reverse engineering qui s’applique en vertu du droit français, au niveau des autres pays? Un VLC modulaire en fonction de la zone d’usage? Une amorce de discussion par territoire? Etc.





Et là tu commets l’erreur numéro 1: nous distribuons VLC depuis la France, donc nous ne respectons QUE le droit français. C’est la même raison pour laquelle les serveurs de Google ne respectent que le droit californien :)









jb a écrit :



Indeed. Et la loi est pas claire.





Et là tu commets l’erreur numéro 1: nous distribuons VLC depuis la France, donc nous ne respectons QUE le droit français. C’est la même raison pour laquelle les serveurs de Google ne respectent que le droit californien :)







Effectivement, je ne connaissais pas ce point là. Par contre, je connais un point similaire, l’activité économique est taxée dans le pays dans lequel est basé le siège social (de la maison mère ou la filiale). Pour une fois, que ce principe d’asymétrie peut bénéficier à un acteur des NTIC français, c’est bon ça <img data-src=" />









pti_pingu a écrit :



Hum, ce que tu viens de décrire, ce n’est ni plus, ni moins que le Windows Store, l’Apple Store etc etc.







Oui quand on regarde juste la partie “droits” mais y’a pas specialement de rapport, si ?







pti_pingu a écrit :



Encore une fois, ce n’est pas du trolling, c’est juste une tentative de bien comprendre la stratégie et les leviers invocable par VLC permettant de prouver qu’il est nécessaire d’obtenir les moyens d’interopérabilité.







J’avais du mal a comprendre ou tu voulais en venir mais cette phrase eclaire ma lanterne.

L’interoperabilité, c’est effectivement un choix “moral”. Et ensuite, elle y est inscrite dans la loi francaise car il a ete decidé par nos representants elus que c’etait un choix politique souhaitable pour la Société.

Sauf qu’il faut aussi composer avec des interets divergents, des pressions plus ou moins forte, des pressions plus ou moins acceptees, des problemes de competences juridique, etc et la loi se retrouve avec des incoherences, des flous et des choses inapplicables.

Or, dans le cas des protections d’oeuvres numeriques on a à la fois des incoherences, des flous et des choses inapplicables.

Donc l’initiative de VLC, de mon point de vue, a surtout l’interet d’avoir lancé une question mais pas tellement pour obtenir une reponse tranchée (ca n’arrivera pas) mais surtout pour pointer du doigt cet enorme bordel.

En esperant, peut etre, un jour, si le temps s’y prete et qu’un depute motivé passe par la que les choses changent…







jb a écrit :



Et là tu commets l’erreur numéro 1: nous distribuons VLC depuis la France, donc nous ne respectons QUE le droit français. C’est la même raison pour laquelle les serveurs de Google ne respectent que le droit californien :)







Oui, vous ne respectez QUE le droit francais mais vous n’avez pas necessairement l’autorisation de distribuer votre logiciel en l’etat dans d’autres pays ou la loi est differente.

Que ce soit un logiciel ou un materiel, a partir du moment ou il y a distribution sur un territoire national, il doit respecter le droit local. Neanmoins, vous hebergez probablement votre site de telechargement en France aussi et donc c’est pas vous qui faites la demarche explicite de proposer votre logiciel ailleurs qu’en France mais ce sont les utilisateurs qui font la demarche de l’importer dans leur pays.









KP2 a écrit :



Oui, vous ne respectez QUE le droit francais mais vous n’avez pas necessairement l’autorisation de distribuer votre logiciel en l’etat dans d’autres pays ou la loi est differente.

Que ce soit un logiciel ou un materiel, a partir du moment ou il y a distribution sur un territoire national, il doit respecter le droit local. Neanmoins, vous hebergez probablement votre site de telechargement en France aussi et donc c’est pas vous qui faites la demarche explicite de proposer votre logiciel ailleurs qu’en France mais ce sont les utilisateurs qui font la demarche de l’importer dans leur pays.





Exactement.









KP2 a écrit :



Oui quand on regarde juste la partie “droits” mais y’a pas specialement de rapport, si ?







J’avais du mal a comprendre ou tu voulais en venir mais cette phrase eclaire ma lanterne.

L’interoperabilité, c’est effectivement un choix “moral”. Et ensuite, elle y est inscrite dans la loi francaise car il a ete decidé par nos representants elus que c’etait un choix politique souhaitable pour la Société.

Sauf qu’il faut aussi composer avec des interets divergents, des pressions plus ou moins forte, des pressions plus ou moins acceptees, des problemes de competences juridique, etc et la loi se retrouve avec des incoherences, des flous et des choses inapplicables.

Or, dans le cas des protections d’oeuvres numeriques on a à la fois des incoherences, des flous et des choses inapplicables.

Donc l’initiative de VLC, de mon point de vue, a surtout l’interet d’avoir lancé une question mais pas tellement pour obtenir une reponse tranchée (ca n’arrivera pas) mais surtout pour pointer du doigt cet enorme bordel.

En esperant, peut etre, un jour, si le temps s’y prete et qu’un depute motivé passe par la que les choses changent…







Oui, vous ne respectez QUE le droit francais mais vous n’avez pas necessairement l’autorisation de distribuer votre logiciel en l’etat dans d’autres pays ou la loi est differente.

Que ce soit un logiciel ou un materiel, a partir du moment ou il y a distribution sur un territoire national, il doit respecter le droit local. Neanmoins, vous hebergez probablement votre site de telechargement en France aussi et donc c’est pas vous qui faites la demarche explicite de proposer votre logiciel ailleurs qu’en France mais ce sont les utilisateurs qui font la demarche de l’importer dans leur pays.









Et là, on se retrouve avec les clauses en police 6 dans la fenêtre à propos que personne n’ouvre jamais comme pour Truecrypt ou d’autres:





Vérifiez au préalable l’autorisation d’import et d’usage du logiciel sur votre territoire.





<img data-src=" />









garvek a écrit :



Il n’est pas possible de passer l’interface VLC qui sert aux plugins en license LGPL ou BSD ? Genre les personnes qui développeraient des greffons ne seraient pas obligés d’être Open Source (comme avec le Kernel Linux).





Le problème de ne pas pouvoir faire un lecteur libre peut difficilement être résolu en faisant un lecteur non libre.



Je pense que Videolan sait pertinemment que la HADOPI ne sert à rien dans leur contexte (ou alors c’est de la naïveté profonde <img data-src=" /> ),



Quoiqu’il en soit, la question ne date pas d’hier (4 ans déjà)








tAran a écrit :



Je pense que Videolan sait pertinemment que la HADOPI ne sert à rien dans leur contexte (ou alors c’est de la naïveté profonde <img data-src=" /> ),





HADOPI est l’autorité compétente sur les DRMs.









tazvld a écrit :



Précision : copie en toute légalité. Les copies illégales ne devraient pas être prises en compte. (suivez mon regard).

Justement, la redevance est faite car les fichiers sont copiés (légalement). Maintenant, avec ces systèmes de DRM, il est impossible de copié légalement. Donc la redevance n’a plus lieu d’être, non?







Come je ne saurais pas vraiment l’expliquer, je donne un exemple de son cas d’application :

Un client achète un album sur iTunes. L’album est enregistré dans la librairie locale iTunes sur son PC. Il synchronise ses musiques avec ses différents iDevices : copies privées de l’album.

Autre exemple : j’achète un album sur Amazon en MP3 (on est dans deux cas où les titres sont dépourvus de DRM, je précise). Je le met dans mon dossier “Musiques”, je le copie sur mon baladeur MP3, je le copie sur mon NAS De backup, ça fait deux copies à usage privé.

Même chose si j’achète un film en VOD par exemple et que je le copie un peu partout.



Il est vrai que cette redevance touche plus le dématérialisé que le physique qui est quasi systématiquement pourvu de protections.









jb a écrit :



HADOPI est l’autorité compétente sur les DRMs.





C’est vrai… <img data-src=" />

Bon courage









saf04 a écrit :



maitre Eolas à propos de mulholland drive









hahaha, il arrive meme a citer la “cite de la peur”… trop bon <img data-src=" />









tAran a écrit :



Je pense que Videolan sait pertinemment que la HADOPI ne sert à rien dans leur contexte (ou alors c’est de la naïveté profonde <img data-src=" /> ),











jb a écrit :



HADOPI est l’autorité compétente sur les DRMs.







note pour moi meme:

ne jamais, au grand jamais, commencer un commentaire par “je pense que”.

c’est toujours la qu’on ecrit une enormité.









saf04 a écrit :



note pour moi meme:

ne jamais, au grand jamais, commencer un commentaire par “je pense que”.

c’est toujours la qu’on ecrit une enormité.





je pense que tu as raison, mais j’en sors une par jour donc ça va <img data-src=" />









jb a écrit :



HADOPI est l’autorité compétente sur les DRMs.







Vu que la Hadopi est assez récente et juste pour ma culture personnelle, c’était qui son prédécesseur ?









Florent_ATo a écrit :



En définitive, c’est un problème entre VLC (ou l’open source en général) et l’AACS. Mais ça, on s’y attendais.



Concrètement, que peux la HADOPI dans cette situation ?







Non il y a un 3eme acteur dans ce débat : La loi. Si demain on a le droit du casser du DRM, VLC l’intègre pour la lecture de blu ray et basta.



EDIT : La loi pourrait aussi interdire l’utilisation de DRM en France rêve









Adelio a écrit :



Vu que la Hadopi est assez récente et juste pour ma culture personnelle, c’était qui son prédécesseur ?





Autorité de régulation des mesures techniques - ARMT



Le 06/09/2012 à 13h 13







jb a écrit :



Mais on veut bien payer… On veut juste rester open source (on a pas le choix).







Pas le choix ? C’est pas une volonté “assumée” de votre part ?









pafLaXe a écrit :



Pas le choix ? C’est pas une volonté “assumée” de votre part ?







Bah non. Hint: définit “votre”









jb a écrit :



Mais on veut bien payer… On veut juste rester open source (on a pas le choix).





Tiens d’ailleurs, comment se finance videolan? Admettons que les problèmes techniques et légaux trouvent une solution, vous auriez la capacité financière de payer Sony pour obtenir le droit de lire les BR? Avez-vous une idée de ce que ça représente?









pakotill a écrit :



Tiens d’ailleurs, comment se finance videolan? Admettons que les problèmes techniques et légaux trouvent une solution, vous auriez la capacité financière de payer Sony pour obtenir le droit de lire les BR? Avez-vous une idée de ce que ça représente?





On se finance avec des dons.

Je doute qu’on puisse avoir les centaines de milliers d’euros qu’il faut, mais c’est un autre souci.



Depuis le temps que j’utilise VLC et que je l’installe chez toutes les Mme Michu en mal de codecs, m’en vais faire un don.

Merci pour ce travail exceptionnel <img data-src=" />








jb a écrit :



Pourquoi laisser tomber?





Simple référence à Locaux de la Hadopi : la Culture se mure dans le silence. J’ai pas du tout envie que VLC lache l’affaire <img data-src=" />









pakotill a écrit :



Depuis le temps que j’utilise VLC et que je l’installe chez toutes les Mme Michu en mal de codecs, m’en vais faire un don.

Merci pour ce travail exceptionnel <img data-src=" />







Pas con ça, je vais en faire de même quand je rentre. <img data-src=" /> (y’a pas que PCI Prenium dans la vie ^^)



Sujet complexe…

Cependant, le problème de ce DRM se limite encore une fois au problème de légitimité des brevets.

Le principe de protection par DRM est en lui-même intéressant, mais si sa viabilité ne dépend que d’un brevet, il ne vaut plus rien dans le cas où l’obstacle du brevet n’existe plus.








Florent_ATo a écrit :



Pas con ça, je vais en faire de même quand je rentre. <img data-src=" />





En y repensant, ça fait tout juste 10 ans que j’ai définitivement jarté BSplayer et les codecs packs vérolés pour VLC. J’ai bien tenté d’autres trucs, MPC notamment, mais je n’y suis jamais resté bien longtemps. Ca vaut bien quelques euros.



Et il faut vraiment aimer ce logiciel pour supporter une UI aussi laide depuis 10 ans <img data-src=" />




Le 06/09/2012 à 16h 48







jb a écrit :



Bah non. Hint: définit “votre”







Les membres de Videolan. Qu’en pratique ce soit difficile de changer la licence du code qui a trop de contributeurs, c’est une chose. Mais la position exacte de Videolan, c’est “VLC a vocation à être libre” ou “on a pas encore trouvé le moyen de changer pour plus être emmerdé” ?

C’est une vrai question qui peux changer pas mal de choses, à mon sens.



VLC n’a pas trop à s’en faire, nous l’utilisons tous les jours, cela continuera avec ou sans SONY….



Le problème des DRM n’est pas nouveau, tout comme les publicités et spots incontournables intégrés aux supports.



J’appelle toujours au boycotte instinctif de ces produits inadaptés à l’interopérabilité. Je ne parle même pas de la diffusion sur un autre support tel qu’une tablette pourtant chèrement taxée par la redevance copie privée…



Vous êtes dans l’incapacité de lire votre BluRay, vous êtes en droit de demander le remboursement, et sinon l’UFC pourra vous épauler sans compter un bon petit Buzz au bon moment peu faire changer les mentalités… et pas que des acheteurs.


Ca interesse encore les blue rays ?








pafLaXe a écrit :



Les membres de Videolan. Qu’en pratique ce soit difficile de changer la licence du code qui a trop de contributeurs, c’est une chose. Mais la position exacte de Videolan, c’est “VLC a vocation à être libre” ou “on a pas encore trouvé le moyen de changer pour plus être emmerdé” ?

C’est une vrai question qui peux changer pas mal de choses, à mon sens.







VideoLAN != VLC



Il y a pourtant une réponse très simple:



Comme:



Les mesures techniques ne doivent pas avoir pour effet d’empêcher la mise en œuvre effective de l’interopérabilité, dans le respect du droit d’auteur



et:



Sony interdit ce droit afin d’empêcher la copie de son support





J’en déduis que la licence d’utilisation des BlueRays est INcompatible avec la loi Française.



C’est un peu une réponse à la “Casse-toi pov’ con”, mais les réponses les plus simples sont généralement aussi les plus efficxaces.


Cela dit, il me semble que le contournement de ces mesures de protection est autorisé, mais uniquement dans le cadre d’INteropératibilité.



La question qui reste est donc dans la nuance entre “garantir l’INteropérabilité” et “contourner des mesures de protection anti-copie”.



Si la première peut difficilement se faire sans la seconde, je ne suis pas sûr qu’elle le justifie pour autant.



Je crois qu’on a là un vaste débat, sans réponse évidente.







Bref, je reste donc avec ma réponse: “les mesures de protection du BR sont illégalles en France”, donc fournissez du BR “ouvert” ou bien disparaissez du marché français.








LeTroll a écrit :



Bah, il fallait s’y attendre. La réponse, c’est pas pour demain. <img data-src=" />





+1



Ça, ça n’est pas un <img data-src=" /> du tout.





@VideoLan : Laissez tomber, vous voulez bien… <img data-src=" />



Ça, par contre…<img data-src=" />



Le 06/09/2012 à 18h 39







jb a écrit :



VideoLAN != VLC







VLC n’est pas développé par VideoLAN ? <img data-src=" />









pafLaXe a écrit :



VLC n’est pas développé par VideoLAN ? <img data-src=" />





Le développement est géré par VideoLAN, comme Linus gère Linux, si je ne me trompe pas.









RisingForce a écrit :



+1

Ça, ça n’est pas un <img data-src=" /> du tout.

Ça, par contre…<img data-src=" />







J’ai déjà répondu à ce sujet à JB, cf. #84… <img data-src=" />









Quiproquo a écrit :



Le développement est géré par VideoLAN, comme Linus gère Linux, si je ne me trompe pas.







Non.



C’est marrant, Platoona a posté un truc qui comme d’habitude, donne envie de lui arracher la tête, mais personne ne lui répond.



Vous l’avez tous bloqué ? <img data-src=" />








eax13 a écrit :



C’est marrant, Platoona a posté un truc qui comme d’habitude, donne envie de lui arracher la tête, mais personne ne lui répond.



Vous l’avez tous bloqué ? <img data-src=" />







Y a encore quelqu’un qui ne l’a pas bloqué ?









Platoona a écrit :



Ils empêchent pas ce droit. Les pirates comme les concepteurs de VLC veulent imposer à tout le monde l’open source… sauf qu’ils ont rien à imposer. S’ils veulent pas respecter le droit d’auteur, VLC ne lit pas les BD AACS, point.











jb a écrit :



Y a encore quelqu’un qui ne l’a pas bloqué ?







Oui, moi.



VideoLAN est une association loi 1901 et à ce titre elle n’est pas soumise à la même responsabilité sociale qu’une entreprise lucrative.



Dans le monde du logiciel, il n’y a pas plus libéral que ce genre d’association qui paye moins d’impôts, taxes et charges qu’une entreprise qui tenterait de fournir le même service.



A part ça, j’ai pas de BluRay. <img data-src=" />



Le moyen d’obtenir que Sony se mette à genoux es simple : on n’achète plus !

Si on agissait derechef à chaque fois que les Majors et les firmes nous mettent la pression pour plus se faire de fric, cela irait vie dans le sens du consommateur…


Le moyen d’obtenir que Sony se mette à genoux est simple : on n’achète plus !

Si on agissait derechef à chaque fois que les Majors et les firmes nous mettent la pression pour plus se faire de fric, cela irait vite dans le sens du consommateur…



PS : qui peut me dire où se situe la commande pour supprimer un message ?

Je me suis trompé dans mon dernier message et j’aurais préféré soit le corriger, soit l’effacer.



Merci d’avance…








panda09 a écrit :



PS : qui peut me dire où se situe la commande pour supprimer un message ?

Je me suis trompé dans mon dernier message et j’aurais préféré soit le corriger, soit l’effacer.



Merci d’avance…





Y’a pas.

Soit tu édites ton post dans les 5 minutes après avoir écrit et tu demandes au modo (dans le post) de supprimer (genre quand il y a un doublon), auquel cas en général il supprime quand il lit le post ; soit tu leur écris directement, par le petit lien avec un ! en bas à gauche de la news.

Vala vala





L’open-source a beaucoup facilité cet accès, rendant les failles analysables et exploitables par à peu près n’importe qui





Ce troll de compète quand même <img data-src=" />




L’open-source a beaucoup facilité cet accès, rendant les failles analysables et exploitables par à peu près n’importe qui.





Jvachez ? C’est toi ?


Oh le gros troll bien gras <img data-src=" />

J’aimerais pas être à la place de celui qui a pondu cette connerie, il va s’en prendre pleine la g….. <img data-src=" />




« Plutôt que d’organiser des workshop à la con, Hadopi devrait mettre en ligne le mémoire de l’AACS Licensing Administrator sur Blu-Ray/DRM »





<img data-src=" /> <img data-src=" />




open-source et sécurité : source du mal et/ou ouverture vers le bien ?



ça commence bien



Une logorrhée



Qu’il est moche ce mot



Une logorrhée qui ne convainc pas Frédéric Couchet (April) : « Plutôt que d’organiser des workshop à la con, Hadopi devrait mettre en ligne le mémoire de l’AACS Licensing Administrator sur Blu-Ray/DRM ». Ce fameux mémoire de l’AACS adressé à la Hadopi après la saisine de Videolan (VLC).



Ha c’est sûr il est pas convaincu !

Je souhaite vivement que VideoLan puisse arriver à ses fins sans attendre d’interminables mois (années ?) de “réflexion” de la part de leurs interlocuteurs.




open-source et sécurité : source du mal et/ou ouverture vers le bien ?



puis



et l’open-source permet finalement de curer le mal qu’il a lui-même contribué à créer,



Quel intérêt de faire un atelier sur une question qui a déjà sa réponse (réponse avec laquelle du monde risque d’être en désaccord, dont moi-même) ???








jb a écrit :



Y a encore quelqu’un qui ne l’a pas bloqué ?





Pas besoin, je le lis, je me marre et c’est fini.





L’open-source a beaucoup facilité cet accès, rendant les failles analysables et exploitables par à peu près n’importe qui.





JVachez sort de ce corps ! <img data-src=" />

Y en a qui en sont encore là… çà fait peur <img data-src=" />





Une logorrhée qui ne convainc pas Frédéric Couchet (April) : « Plutôt que d’organiser des workshop à la con, Hadopi devrait mettre en ligne le mémoire de l’AACS Licensing Administrator sur Blu-Ray/DRM ».





<img data-src=" />



Un peu enervé aujourd’hui <img data-src=" />


Le titre du Lab en dit long sur l’image que la Hadopi se fait de l’open-source. Rien que çà, c’est mauvais signe pour VideoLan…. <img data-src=" />




L’open-source a beaucoup facilité cet accès, rendant les failles analysables et exploitables par à peu près n’importe qui.



J’ai zappé ça c’est énorme.

Donc le closed-source rend les failles non analysables et non exploitables par mon boulanger ?








Winderly a écrit :



J’ai zappé ça c’est énorme.

Donc le closed-source rend les failles non analysables et non exploitables par mon boulanger ?







Exactement, d’ailleurs il n’y a jamais de faille sous les logiciels proprio comme Windows ou Flash, ni dans les firmwares liés au matériel (cisco…) <img data-src=" />



Le workshop c’est de la qualité d’argumentation en barre (de faire).









CryoGen a écrit :



Exactement, d’ailleurs il n’y a jamais de faille sous les logiciels proprio comme Windows ou Flash, ni dans les firmwares liés au matériel (cisco…) <img data-src=" />





La célèbre sécurité par l’obscurantisme, il n’y a que ça de vrai !









Frédéric Couchet a écrit :



Plutôt que d’organiser des workshop à la con, Hadopi devrait mettre en ligne le mémoire de l’AACS Licensing Administrator sur Blu-Ray/DRM





<img data-src=" /> <img data-src=" /> <img data-src=" />



Dur quand même pour la pauvre nana qui organise ce workshop qui devait être certes intéressant, mais à l’époque de la TI81 <img data-src=" />



open-source a beaucoup facilité cet accès, rendant les failles analysables et exploitables par à peu près n’importe qui. Pour autant, il semble peu réaliste de revenir en arrière pour enfermer à nouveau le software dans du hardware dans le but de le protéger et l’open-source permet finalement de curer le mal qu’il a lui-même contribué à créer.





Je veux le nom du <img data-src=" /> qui a écrit ça !




Lorsque l’intelligence logicielle était captive du matériel, la sécurité informatique était une préoccupation très secondaire voire inexistante. La séparation du hardware et du software a donné naissance à la possibilité d’exploiter les failles logicielles. L’open-source a beaucoup facilité cet accès, rendant les failles analysables et exploitables par à peu près n’importe qui. Pour autant, il semble peu réaliste de revenir en arrière pour enfermer à nouveau le software dans du hardware dans le but de le protéger et l’open-source permet finalement de curer le mal qu’il a lui-même contribué à créer, pour peu que tous se donnent la peine d’entretenir, à leur niveau, leur univers logiciel. »





Je ne sais pas ce qu’elle consomme, mais c’est puissant !



C’est brouillon, plutôt mal exprimé et cela prouve qu’elle ne comprend rien à ce qu’elle écrit. Elle devrait en rester au droit que j’espère elle maîtrise mieux.



J’aimerai qu’elle nous explique comment se fait-il qu’il y a des failles dans Windows qui n’est pas open source.



Elle parle peut-être de l’aspect open source de certaines attaques, mais je suis loin d’en être sûr.



Il faudra aussi lui rappeler que le logiciel a dès le début été séparé du harware (cartes perforées, mémoires à tore, disquettes, bandes, disques, …) même si parfois, il a été inclus dans le harware (ROM). Et je ne vois de toute façon pas en quoi ça change pour l’aspect sécurité et exploitation des failles logicielles.



Bref, ça me fait vraiment mal qu’on dépense l’argent de mes impôts (et des vôtres) à payer des personnes incompétentes et sans expérience professionnelle appropriée. En effet, on peut voir sur son profil Linkedin qu’elle a été embauchée par Hadopi à la sortie de sa maîtrise en droit. Je trouve cela vraiment scandaleux. <img data-src=" />

Qu’on l’utilise uniquement pour le droit, pas pour parler de logiciel, d’open source et de sécurité !<img data-src=" /> Et encore, je pense que dans ce type de travail, il faut avoir une expérience professionnelle, un vécu à apporter.



Madame la Ministre : le budget Hadopi peut être diminué sans que cela ne prête à conséquence sur ses missions. Allez-y !


Ouha <img data-src=" />



Quel beau ramassis de conneries… je ne crois pas avoir déjà eu l’occasion de lire autant d’affirmations péremptoires et erronées en si peu de mots.



C’est incroyable ! Absolument TOUT est faux dans l’explication… du début avec “ l’intelligence logicielle était captive du matériel”, comme si ce n’était plus le cas aujourd’hui pour une vaste gammes de produits et comme si cela avait jamais empêché le piratage (demandez à canal plus…), à la fin…



Elle donne des séminaires la Mme ? Les commerciaux de ma boîte sont en pertes de vitesse <img data-src=" />








Tirr Mohma a écrit :



Je veux le nom du <img data-src=" /> qui a écrit ça !





Il suffit de suivre le lien en haut de la news Intitulé



Puis cliquer sur son prénom “Tris”. Après, on peut googleliser …



Totalement d’accord avec Frederic !!!


Hahahahahahahahaha ! Par contre je ne comprend pas pourquoi vous avez palcé cette info en MAJ de la demande de VLC



Edit : Par contre, ils sont lourds les mecs qui laissent une sale note WOT sur les labs hadopi. Bon encore un mauvais score en “Trustworthiness”, pourquoi pas, mais en “Child safety”, ou “Vendor reliability”, c’est juste du bashing gratuit.








fred42 a écrit :



Il suffit de suivre le lien en haut de la news Intitulé



Puis cliquer sur son prénom “Tris”. Après, on peut googleliser …





Le résultat est d’ailleurs surprenant !





Plutôt que d’organiser des workshop à la con, Hadopi devrait mettre en ligne le mémoire de l’AACS Licensing Administrator sur Blu-Ray/DRM



<img data-src=" /> <img data-src=" />








FrenchPig a écrit :



Le résultat est d’ailleurs surprenant !





Oui en effet :http://www.compagnon-parfait.fr/rencontre-avec-tris-acatrinei-fondatrice-de-hack…



Je crois que j’ai rarement lu de telle ineptie…. non là franchement ça méritait un article complet pas une maj ^^’



C’est marrant mais mon cerveau a automatiquement opposé le monde politique au monde de l’open source… L’obscurantisme contre la transparence. Ca ne m’étonnerai pas que la personne qui a écrit ces conneries vient de ce milieu ^^’








fred42 a écrit :



Il suffit de suivre le lien en haut de la news Intitulé



Puis cliquer sur son prénom “Tris”. Après, on peut googleliser …







Sauf que c’est Bruno Spiquel qui a écrit se truc apparemment…





L’open-source a beaucoup facilité cet accès, rendant les failles analysables et exploitables par à peu près n’importe qui.



<img data-src=" />





Une logorrhée qui ne convainc pas Frédéric Couchet (April) : « Plutôt que d’organiser des workshop à la con, Hadopi devrait mettre en ligne le mémoire de l’AACS Licensing Administrator sur Blu-Ray/DRM ».



<img data-src=" />



Quand je lis ça, finalement, je me dis que ce serait dommage que la HADOPI disparaisse <img data-src=" />


Je sais pas quelle drogue il prenne mais c’est pas celle là qui permets de trouver les réponses. On a plus l’impression qu’ils philosophent sur une question concrète, forcement la personne en face est convaincu que perdre son temps.



Bref, j’aurais pas dit mieux :





Plutôt que d’organiser des workshop à la con, Hadopi devrait mettre en ligne le mémoire de l’AACS Licensing Administrator sur Blu-Ray/DRM


+1 pour le monsieur de l’APRIL <img data-src=" />



Le groupe de travail qui rien qu’au libellé condamne d’office le libre.

genre y’a pas de faille dans iOS, Flash, Windows, Office, … dont les codes sont diffusés très largement sur le net… ou pas.



HADOPI, ou comment faire croire qu’on réfléchi à un truc alors que la conclusion est dans l’intitulé du groupe de travail <img data-src=" />








CryoGen a écrit :



Sauf que c’est Bruno Spiquel qui a écrit se truc apparemment…





Source de cette information ?



Il est celui qui animera le Workshop, mais je n’ai pas lu que c’est lui qui a écrit ces idioties élucubrations.









Tirr Mohma a écrit :



Oui en effet :http://www.compagnon-parfait.fr/rencontre-avec-tris-acatrinei-fondatrice-de-hack…







Haha très drôle, j’ai un pote qui est allé à la Nuit du Hack 2012 (mouais…) et qui m’a justement parlé de cette conférence sur les terminaux mobiles, qu’il attendait avec impatience, et qui étaient selon lui vraiment “pourrie”, se résumant à des leaks d’info genre “olala y’a l’IP et le nom de l’OS dans les headers d’un mail envoyé depuis un mobile”. Du gros WTF, je pensais pas entendre parler de cette personne dans une actu Hadopi.



C’est triste de tourner dans le milieu de la sécu, même en étant débutant, et de finir chez Hadopi en racontant des énormités :(









fred42 a écrit :



Source de cette information ?



Il est celui qui animera le Workshop, mais je n’ai pas lu que c’est lui qui a écrit ces idioties élucubrations.







C’est justement lui qui “préface”. Il suffit de lire les commentaires de la page du workshop et qu’il balance “Quand je parle de logiciel captif du materiel” on peut bien supposer que c’est lui qui a écrit ce préambule master troll.



La HADOPI veut prouver que l’open-source, c’est le mal quoi… ^^“”


Le 11/09/2012 à 14h 06



Lorsque l’intelligence logicielle était captive du matériel, la sécurité informatique était une préoccupation très secondaire voire inexistante.





C’est quoi ce baratin ? De quoi ils parlent ? <img data-src=" />








fred42 a écrit :



J’aimerai qu’elle nous explique comment se fait-il qu’il y a des failles dans Windows qui n’est pas open source.





Elle dit pas qu’il n’y a pas de faille dans les softs fermés, elle dit que dans l’open source on les voit mieux (c’est vrai), que pratiquement n’importe qui peut analyser le code (là ça commence à être fumeux) et que c’est mal (là c’est du grand n’importe quoi).



En gros elle plébiscite la politique de l’autruche : tu enfonces bien ta tête dans le sable du soft fermé, comme ça les failles tu les vois plus.



Elle sous-entend aussi que si tu n’as pas les sources c’est très dur d’attaquer un soft : c’est port’nawak ça. L’open source ne fait qu’ajouter une possibilité supplémentaire mais il y en a déjà plein par ailleurs.









LeTroll a écrit :



Bah, il fallait s’y attendre. La réponse, c’est pas pour demain. <img data-src=" />

@VideoLan : Laissez tomber, vous voulez bien… <img data-src=" />







VideoLan : Ne laissez surtout pas tomber, c’est une question de principe et c’est grâce à des gens comme vous que les pequenauds comme moi ont encore un peu de libertés.



JB, tu n’aurais pas eu envie de changer tes initiales <img data-src=" />. Je n’arrête pas à penser à la salle B4 (désolé)<img data-src=" /> (ça devient monotone de tergiversations, heureusement que j’ai de la patience <img data-src=" />)



<img data-src=" /><img data-src=" />


Le 11/09/2012 à 14h 13







baldodo a écrit :



Elle dit pas qu’il n’y a pas de faille dans les softs fermés, elle dit que dans l’open source on les voit mieux (c’est vrai), que pratiquement n’importe qui peut analyser le code (là ça commence à être fumeux) et que c’est mal (là c’est du grand n’importe quoi).







Si les failles sont facilement décelables dans le code, c’est qu’elles sont facilement réparables. Le meilleur moyen d’en trouver ça reste la doc et des tests, pas le code source <img data-src=" />









pafLaXe a écrit :



C’est quoi ce baratin ? De quoi ils parlent ? <img data-src=" />





Ils disent que les bouliers servant autrefois à compter les bovins n’avaient aucune faille. C’est ça l’intelligence captive du matériel.

J’ai bon ?









pafLaXe a écrit :



“Lorsque l’intelligence logicielle était captive du matériel, la sécurité informatique était une préoccupation très secondaire voire inexistante.”

C’est quoi ce baratin ? De quoi ils parlent ? <img data-src=" />







Elle dit que c’est plus dur d’analyser le soft de ton lecteur dvd de salon parce qu’il est enfoui dans une EPROM ou une flash inaccessible et que tu n’y a pas accès facilement … alors que ton VLC qui fait l’équivalent, déjà il est 100% soft (pas d’appel à une sombre resource crypto matérielle) et tu as accès à l’exécutable et en plus aux sources.



Du coup les fabricants de matos se cassaient pas la nénette à sécuriser : ils pensaient que ça servaient à rien …



et de nos jours ça continue : y a encore des mises à jour de firmware (carte réseau par ex.) qui se font avec un bon vieux crc32 ou une méthode de “signature” maison et donc aisément contournable









FrenchPig a écrit :



Ils disent que les bouliers servant autrefois à compter les bovins n’avaient aucune faille. C’est ça l’intelligence captive du matériel.

J’ai bon ?





T’es chaud, c’est pas loin. <img data-src=" />



Le 11/09/2012 à 14h 25







baldodo a écrit :



Elle dit que c’est plus dur d’analyser le soft de ton lecteur dvd de salon parce qu’il est enfoui dans une EPROM ou une flash inaccessible et que tu n’y a pas accès facilement … alors que ton VLC qui fait l’équivalent, déjà il est 100% soft (pas d’appel à une sombre resource crypto matérielle) et tu as accès à l’exécutable et en plus aux sources.



Du coup les fabricants de matos se cassaient pas la nénette à sécuriser : ils pensaient que ça servaient à rien …



et de nos jours ça continue : y a encore des mises à jour de firmware (carte réseau par ex.) qui se font avec un bon vieux crc32 ou une méthode de “signature” maison et donc aisément contournable







Je veux dire : il n’y a pas eu une époque où le soft était captif, et maintenant ça ne serais plus le cas. Les lecteurs DVD pour PC sont sortit en même temps que les platines de salon, et pour la musique, les PC disposaient de cartes son 16 bits bien, bien, bien avant l’arrivée des premiers balladeurs numériques fermés.



De plus, pour un exemple, je connais un ancien ingenieur de chez microST, qui s’occupait des chips de platines DVD de salon (pour Pioneer notament, d’autres aussi), et il me disait que ça fait relativement peu de temps que les fabricants ne demandent plus expressémement à ce que leur platines soient dézonables par un “cheat-code” <img data-src=" />

Donc bon, le avant / après dans ce sens là, je trouve ça un peu déplacé et carrément orienté “politiquement”.









CryoGen a écrit :



C’est justement lui qui “préface”. Il suffit de lire les commentaires de la page du workshop et qu’il balance “Quand je parle de logiciel captif du materiel” on peut bien supposer que c’est lui qui a écrit ce préambule master troll.





OK, j’ai vu maintenant, mais ce n’était pas là quand j’ai lu la page et posté mes premiers messages.



Par contre, j’ai du mal avec un animateur qui commence par troller (c’est lui même qui parle de troll).



Je maintiens que ce worshop est une dépense inutile.



Je sais bien que Hadopi est sensé avertir ceux qui n’ont pas sécursé leur accès, mais quel est le but de ce workshop ?



À moins qu’il soit plus pervers que je le ne pense et qu’il veuille démontrer que les box qui contiennent toutes du logiciel libre et open source ne peuvent être sécurisées et que l’on ne peut donc pas punir une non sécurisation impossible à obtenir puisque les méchants pirates ont accès au source et savent donc comment contourner la sécurité. Si c’est ça, c’est sur grand art. <img data-src=" /> Je rappelle qu’il s’était opposé à la loi Hadopi.









NeVeS a écrit :



Haha très drôle, j’ai un pote qui est allé à la Nuit du Hack 2012 (mouais…) et qui m’a justement parlé de cette conférence sur les terminaux mobiles, qu’il attendait avec impatience, et qui étaient selon lui vraiment “pourrie”, se résumant à des leaks d’info genre “olala y’a l’IP et le nom de l’OS dans les headers d’un mail envoyé depuis un mobile”. Du gros WTF, je pensais pas entendre parler de cette personne dans une actu Hadopi.



C’est triste de tourner dans le milieu de la sécu, même en étant débutant, et de finir chez Hadopi en racontant des énormités :(





Je confirme





“Lorsque l’intelligence logicielle était captive du matériel, la sécurité informatique était une préoccupation très secondaire voire inexistante ….. pour peu que tous se donnent la peine d’entretenir, à leur niveau, leur univers logiciel.”



Mais quel est le <img data-src=" /> pour pondre une telle logorrhée ???

C’est pas possible de confier de telle mission à un <img data-src=" /> ne sachant pas ce qu’est du hardware ou du software… Pauvre France… <img data-src=" />




« open-source et sécurité : source du mal et/ou ouverture vers le bien ? », il est décrit de la sorte : « Lorsque l’intelligence logicielle était captive du matériel, la sécurité informatique était une préoccupation très secondaire voire inexistante. La séparation du hardware et du software a donné naissance à la possibilité d’exploiter les failles logicielles. L’open-source a beaucoup facilité cet accès, rendant les failles analysables et exploitables par à peu près n’importe qui. Pour autant, il semble peu réaliste de revenir en arrière pour enfermer à nouveau le software dans du hardware dans le but de le protéger et l’open-source permet finalement de curer le mal qu’il a lui-même contribué à créer, pour peu que tous se donnent la peine d’entretenir, à leur niveau, leur univers logiciel. »





C’est tellement con comme verbiage que ça pourrait avoir été pondu par un ex de Jeunesses et Sports collé par RGPP avec le social dans la DDCS où je travaille…





Une logorrhée qui ne convainc pas Frédéric Couchet (April) : « Plutôt que d’organiser des workshop à la con, Hadopi devrait mettre en ligne le mémoire de l’AACS Licensing Administrator sur Blu-Ray/DRM ».





Là, c’est un bon résumé de la pensée du jour concernant ce qui précède…








cesame a écrit :



Mais quel est le <img data-src=" /> pour pondre une telle logorrhée ???

C’est pas possible de confier de telle mission à un <img data-src=" /> ne sachant pas ce qu’est du hardware ou du software… Pauvre France… <img data-src=" />







Des gens qui ne savent pas faire leur boulot et sont collés à des postes de responsabilité, c’est au moins la moitié de mes collègues de travail, surtout niveau encadrement et direction…



C’est notre exception culturelle administrative française en d’autres termes…









FrenchPig a écrit :



Ils disent que les bouliers servant autrefois à compter les bovins n’avaient aucune faille. C’est ça l’intelligence captive du matériel.

J’ai bon ?





<img data-src=" />









Commentaire_supprime a écrit :



Des gens qui ne savent pas faire leur boulot et sont collés à des postes de responsabilité, c’est au moins la moitié de mes collègues de travail, surtout niveau encadrement et direction…



C’est notre exception culturelle administrative française en d’autres termes…





Bien au contraire, ils savent très bien ce qu’ils font. Croire qu’ils sont incompétents seraient tomber dans le piège qu’ils tendent.

L’objectif n’est pas d’être juste sur les aspects techniques mais bel et bien d’imposer leur façon de considérer/voir les choses.

Ils suivent toujours la même stratégie. De la même manière, qu’ils nous avaient sorti le fameux expert Riguidel pour la HADOPI 1, ils nous refourguent de nouveaux “experts” pour mieux légitimer les futurs mesures.

Tout cela participe à l’écran de fumée pour faire passer la pilule.



Une conf vidéo qui explique mieux l’idée :http://lacantine.ubicast.eu/videos/les-politiques-et-les-geeks/



Il faut se rappeler aussi que les workshops HADOPI ne sont pas forcément menés par des gens de l’HADOPI mais aussi des gens extérieurs (et même parfois opposés à HADOPI), il me semble, non ?








Platoona a écrit :



Ils empêchent pas ce droit. Les pirates comme les concepteurs de VLC veulent imposer à tout le monde l’open source… sauf qu’ils ont rien à imposer. S’ils veulent pas respecter le droit d’auteur, VLC ne lit pas les BD AACS, point.





Plait-il ?



<img data-src=" />









Platoona a écrit :



… les concepteurs de VLC veulent imposer à tout le monde l’open source…









Vision erronée d’un souteneur de l’exception privilégiée <img data-src=" /> (la peur se lit dans ses doutes que cela soit vrai) <img data-src=" />









Commentaire_supprime a écrit :



C’est notre exception culturelle administrative française en d’autres termes…





Pas du tout, ça a été théorisé par un Canadien.



Mais sinon, je pense aussi que là ça tient plus du bourrage de mou et de l’écran de fumée.



<img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />

Excellent !








Malesendou a écrit :



La HADOPI veut prouver que l’open-source, c’est le mal quoi… ^^“”







Non. La HADOPI dit simplement ce que tout le monde sait déjà:





  1. la loi autorise de contourner un DRM s’il n’y a pas d’autre moyen de garantir l’interopérabilité.



  2. le DRM du BR/DVD n’est utile que si le code source du logiciel de décodage reste confidentiel.



  3. VLC ne veut/peut pas inclure de code source confidentiel à cause de sa licence.



    Solutions possibles:




  • on change la loi (1)

  • on change le DRM des DVD/BR (2)

  • on change la licence de VLC (3)





    Vision des zeyandroas: Pas besoin de contourner le DRM, car il suffit à VLC d’inclure du code confidentiel pour décoder. L’éventuelle violation de la GPL n’est pas le problème des zeyandroas mais celui de Videolan.



    Vision des libristes: Le respect de la GPL nécessite de contourner le DRM, car les zeyandroas ne fournissent pas de code GPL de décodage. L’éventuelle inutilité du DRM n’est pas le problème des libristes mais celui des zeyandroas.



T’as lu la mise à jour ou pas ?








Malesendou a écrit :



La HADOPI veut prouver que l’open-source, c’est le mal quoi… ^^“”





Pourtant, une certaine Christine A, comptant parmi les premières défenseuses de Hadolfi, incitait les INternautes à se protéger derrière un pare-feu open-source.



(Pare-feu qui existe, rappelons-le)



Je ne vois qu’une explication à ce “workshop à la con”, la Hadopi a décidé de se saborder elle-même dans sa connerie plutôt que d’attendre que Filipetti le fasse.








fred42 a écrit :



Je ne sais pas ce qu’elle consomme, mais c’est puissant !



C’est brouillon, plutôt mal exprimé et cela prouve qu’elle ne comprend rien à ce qu’elle écrit. Elle devrait en rester au droit que j’espère elle maîtrise mieux.



J’aimerai qu’elle nous explique comment se fait-il qu’il y a des failles dans Windows qui n’est pas open source.



Elle parle peut-être de l’aspect open source de certaines attaques, mais je suis loin d’en être sûr.



Il faudra aussi lui rappeler que le logiciel a dès le début été séparé du harware (cartes perforées, mémoires à tore, disquettes, bandes, disques, …) même si parfois, il a été inclus dans le harware (ROM). Et je ne vois de toute façon pas en quoi ça change pour l’aspect sécurité et exploitation des failles logicielles.



Bref, ça me fait vraiment mal qu’on dépense l’argent de mes impôts (et des vôtres) à payer des personnes incompétentes et sans expérience professionnelle appropriée. En effet, on peut voir sur son profil Linkedin qu’elle a été embauchée par Hadopi à la sortie de sa maîtrise en droit. Je trouve cela vraiment scandaleux. <img data-src=" />

Qu’on l’utilise uniquement pour le droit, pas pour parler de logiciel, d’open source et de sécurité !<img data-src=" /> Et encore, je pense que dans ce type de travail, il faut avoir une expérience professionnelle, un vécu à apporter.



Madame la Ministre : le budget Hadopi peut être diminué sans que cela ne prête à conséquence sur ses missions. Allez-y !







+1



La HADOPI démontre une fois de plus son incompétence via l’intitulé de son “atelier”.



Une chose semble claire: pouvoir lire un Blu-ray (le support physique, acheté, loué ou emprunté) avec un logiciel libre, est considéré par la HADOPI comme étant une faille. Pendant que cette administration PUR FAIL se focalise sur cette “faille”, les français continuent joyeusement de télécharger plein de fichiers qui contiennent “RIP” dans le nom, et de plus en plus souvent des contenus HD.



<img data-src=" />



Administration parfaitement incompétente, inutile, un gaspillage énorme d’argent public, et ils n’ont même pas été foutus de sortir l’album de Emma Leprince. Alors à quoi ça sert ?



RIP HADOPI…





Lorsque l’intelligence logicielle était captive du matériel, la sécurité informatique était une préoccupation très secondaire voire inexistante. …



Lorsque l’informatique était l’affaire des spécialistes, les délires des communicants étaient une préoccupation très secondaire voire inexistante



Tellement à l’ouest cette description d’atelier que j’arrive même pas à compter les erreurs. Tout est faux, biaisé, voire surréaliste. On dirait une tentative d’organiser un bêtisier de l’année d’un seul coup.



Bravo aux guignols qui viennent de découvrir qu’il y a des softs aussi sur les ordis…








127.0.0.1 a écrit :



Vision des zeyandroas: Pas besoin de contourner le DRM, car il suffit à VLC d’inclure du code confidentiel pour décoder. L’éventuelle violation de la GPL n’est pas le problème des zeyandroas mais celui de Videolan.







Donc les zeyandroas sont pour le non-respect des droits d’auteurs et des licences d’utilisations.



<img data-src=" />



On peut aussi acheter le Blu-ray et telecharger le rip apres non (rien d’illégal je crois) ? Enfin je sais pas si ça passe (jamais essaye)…

Mais c’est vrai qu’à parfois + de 25go le blu-ray, faut avoir de l’espace de stockage <img data-src=" /> .








127.0.0.1 a écrit :



Non. La HADOPI dit simplement ce que tout le monde sait déjà:





  1. la loi autorise de contourner un DRM s’il n’y a pas d’autre moyen de garantir l’interopérabilité.



  2. le DRM du BR/DVD n’est utile que si le code source du logiciel de décodage reste confidentiel.



  3. VLC ne veut/peut pas inclure de code source confidentiel à cause de sa licence.



    Solutions possibles:




  • on change la loi (1)

  • on change le DRM des DVD/BR (2)

  • on change la licence de VLC (3)





    Vision des zeyandroas: Pas besoin de contourner le DRM, car il suffit à VLC d’inclure du code confidentiel pour décoder. L’éventuelle violation de la GPL n’est pas le problème des zeyandroas mais celui de Videolan.



    Vision des libristes: Le respect de la GPL nécessite de contourner le DRM, car les zeyandroas ne fournissent pas de code GPL de décodage. L’éventuelle inutilité du DRM n’est pas le problème des libristes mais celui des zeyandroas.







    C’est une version simpliste qui ne répond pas à un nombre important de questions:



  • peut-on ouvrir le code de libbdplus?

  • peut-on distribuer le code de libaacs sans les clés?

  • peut-on distribuer le binaire de libaacs lié dans VLC sans les clés? Faut-il dans ce cas limiter les capacités de VLC?

  • la partie importante de la DRM AACS n’est pas dans le code, mais dans les clés. Peut-on ouvrir tout le reste?

  • Ce que veulent les ayant-droits n’a aucune prévalence, seule la loi compte. Que dit-elle?

  • Il est de facto impossible de faire de l’interopérabilité sans ouvrir la source. Comment faire?

  • Quand bien même la DRM propriétaire existe, toutes les plate-formes ne permettent pas un contrôle de l’affichage. Que faire?

  • Doit-on demander des informations dans une procédure de contradictoire, pour pouvoir faire du reverse-engineering? pour faire de la décompilation?







    Et j’en passe quelques-unes…

    Bref, faudrait un peu se calmer sur les solutions ‘simples’ “que tout le monde sait déjà”… Parce que si c’était simple, on se prendrait pas la tête… Un poil d’humilité ne fait pas de mal, hein?









romjpn a écrit :



On peut aussi acheter le Blu-ray et telecharger le rip apres non (rien d’illégal je crois) ? Enfin je sais pas si ça passe (jamais essaye)…

Mais c’est vrai qu’à parfois + de 25go le blu-ray, faut avoir de l’espace de stockage <img data-src=" /> .







Quel est l’intérêt de faire ça ?









Malesendou a écrit :



Quel est l’intérêt de faire ça ?







Pouvoir lire son blu-ray sous VLC <img data-src=" />. Et rester dans la légalité…

Mais justement, je sais pas si le rip de blu-ray passe dessus !









romjpn a écrit :



Pouvoir lire son blu-ray sous VLC <img data-src=" />. Et rester dans la légalité…

Mais justement, je sais pas si le rip de blu-ray passe dessus !







C’est pas plus pratique d’acheter une platine pour les lire ? Ou pire, d’acheter un lecteur et les ripper directement sur ton PC ?









jb a écrit :



C’est une version simpliste qui ne répond pas à un nombre important de questions: (…)







Certes.





peut-on ouvrir le code de libbdplus?

peut-on distribuer le code de libaacs sans les clés?

peut-on distribuer le binaire de libaacs lié dans VLC sans les clés? Faut-il dans ce cas limiter les capacités de VLC?

la partie importante de la DRM AACS n’est pas dans le code, mais dans les clés. Peut-on ouvrir tout le reste?





D’une manière générale, on peut publier du code si:




  1. la licence du code permet sa publication = droits d’auteur (du code)

  2. le code ne viole aucune loi (i.e brevet) = propriété industrielle (du procédé)



    Pour le (1), il faut voir avec le proprio de la lib.

    Pour le (2), il faut voir avec le consortium AACS-LA (je crois).





    Ce que veulent les ayant-droits n’a aucune prévalence, seule la loi compte. Que dit-elle?





    Effectivement, la loi ne dit pas quelles sont les raisons qui justifient un contournement de la MTP.



    Mais bon, c’est peu probable qu’on puisse justifier un contournement au pretexte que le respect de cette MTP entrainerait une incompatibilité avec les désidérata de l’éditeur du logiciel (la licence de distribution choisie, ou la gratuité du produit, etc.).



    Si le consortium AACS-LA refuse de te fournir une autorisation (donc une clé), là je pense que tu as une très bonne justification pour contourner la MTP.



    Mais s’ils te fournissent une clé en disant “attention, la clé doit rester secrete”, je ne pense pas que ca soit une raison suffisante pour contourner la MTP.



    Après tout, le respect de la GPL n’est pas une obligation légale en droit français. Les obligations contractuelles demandées par le AACS-LA n’ont donc pas à être compatible avec la GPL.



    C’est a peu près le même raisonnement qui a permis à Apple (Google ?) de bannir les applis GPL de leur appstore: aucune obligation pour Apple de se conformer a la GPL.



Solution: faire tourner un décodeur (distribué sous forme binaire) dans une machine virtuelle (VMWare & Co).



Celle ci étant par essence isolée le code n’a pas besoin d’être open source. Elle pourrait même produire un flux HDCP (je suppose!).



Du coup VLC serait à l’abri, et Sony aurait dans ses mains un atout de taille: votre PC étant capable de lire les BD, la loi ne vous autoriserait plus à chercher à casser sa protection.



Ceci étant dit, si les seules personnes concernées sont les français essayant de lire des BDs sous linux… <img data-src=" />








ManiSan a écrit :



Solution: faire tourner un décodeur (distribué sous forme binaire) dans une machine virtuelle (VMWare & Co).



Celle ci étant par essence isolée le code n’a pas besoin d’être open source. Elle pourrait même produire un flux HDCP (je suppose!).



Du coup VLC serait à l’abri, et Sony aurait dans ses mains un atout de taille: votre PC étant capable de lire les BD, la loi ne vous autoriserait plus à chercher à casser sa protection.



Ceci étant dit, si les seules personnes concernées sont les français essayant de lire des BDs sous linux… <img data-src=" />





En quoi le fait que le code tourne dans une MV, fait qu’il est isolé au niveau licence ? (la MV c’est juste au niveau processus)









romjpn a écrit :



Pouvoir lire son blu-ray sous VLC <img data-src=" />. Et rester dans la légalité…

Mais justement, je sais pas si le rip de blu-ray passe dessus !







Non, source illicite = copie illicite.



Faut riper ton BD toi-même pour rester dans les clous point de vue légal.









127.0.0.1 a écrit :



D’une manière générale, on peut publier du code si:




  1. la licence du code permet sa publication = droits d’auteur (du code)

  2. le code ne viole aucune loi (i.e brevet) = propriété industrielle (du procédé)



    Pour le (1), il faut voir avec le proprio de la lib.

    Pour le (2), il faut voir avec le consortium AACS-LA (je crois).





  3. le proprio de la lib, c’est nous.

  4. les brevets logiciels ne sont aucunement valides en Europe.







    127.0.0.1 a écrit :



    Effectivement, la loi ne dit pas quelles sont les raisons qui justifient un contournement de la MTP.





    Faux. Elle autorise dans le cas où il y a insuffisance d’informations pour l’interopérabilité.







    127.0.0.1 a écrit :



    Mais bon, c’est peu probable qu’on puisse justifier un contournement au pretexte que le respect de cette MTP entrainerait une incompatibilité avec les désidérata de l’éditeur du logiciel (la licence de distribution choisie, ou la gratuité du produit, etc.).





    Une fois de plus, le souci n’est pas juste là. Même si tu fais un plugin propriétaire, avec un soft propriétaire, si ton OS ne permet pas un principe du type HDCP, comment tu fais?







    127.0.0.1 a écrit :



    Si le consortium AACS-LA refuse de te fournir une autorisation (donc une clé), là je pense que tu as une très bonne justification pour contourner la MTP.



    Mais s’ils te fournissent une clé en disant “attention, la clé doit rester secrete”, je ne pense pas que ca soit une raison suffisante pour contourner la MTP.





    Mais ça ne répond aucunement aux 6 autres questions.

    De plus, si leurs restrictions sont incompatibles avec le système d’exploitation (ce qui est le cas ici), leurs restrictions bloquent de facto l’interopérabilité, ce qui est interdit par la loi. (CPI 331-5 et -6).







    127.0.0.1 a écrit :



    Après tout, le respect de la GPL n’est pas une obligation légale en droit français.





    Faux. C’est le respect du droit d’auteur du logiciel.







    127.0.0.1 a écrit :



    C’est a peu près le même raisonnement qui a permis à Apple (Google ?) de bannir les applis GPL de leur appstore: aucune obligation pour Apple de se conformer a la GPL.





    Apple travaille en loi Californienne. Rien à voir.









NEVdD a écrit :



VideoLan : Ne laissez surtout pas tomber, c’est une question de principe et c’est grâce à des gens comme vous que les pequenauds comme moi ont encore un peu de libertés.





Déjà répondu : ATTENTION <img data-src=" />









MdMax a écrit :



…et ils n’ont même pas été foutus de sortir l’album de Emma Leprince…





Faut dire qu’il est prévu pour 2022… J’ai hâte, 10 ans pour le sortir ça a intérêt à être au Top !









jb a écrit :





  1. le proprio de la lib, c’est nous.



    1. les brevets logiciels ne sont aucunement valides en Europe.





      LA DADVSI a modifié le code de la propriété intellectuelle (L331-5)



      “Les mesures techniques (…) sont protégées dans les conditions prévues au présent titre.”





      Faux. Elle autorise dans le cas où il y a insuffisance d’informations pour l’interopérabilité.



      D’après le texte de loi, l’insuffisance des “informations essentielles” est caractérisée par:





    • absence de documentation technique

    • absence d’interfaces de programmation



      Vu qu’il y a pléthore de lecteurs DVD/BR a Carrefour, je suppose que l’AACS-LA fournit ces informations aux fabricants.





      Une fois de plus, le souci n’est pas juste là. Même si tu fais un plugin propriétaire, avec un soft propriétaire, si ton OS ne permet pas un principe du type HDCP, comment tu fais?



      Bah, comme tout le monde dans ce cas là:





    1. Tu rales auprès du fournisseur de l’OS

    2. A défaut, tu changes d’OS



      Ma freebox ne sait pas lire le dernier format de MKV.

    3. Je rale auprès de Free pour un update du firmware

    4. A défaut, je prend un autre media-center





      Faux. C’est le respect du droit d’auteur du logiciel.





      Je me suis mal exprimé. La loi n’impose pas que toutes les licences proprio/publiques soient compatibles avec la GPL.

      Si la licence d’utilisation du décodeur BR (telle que fournie par AACS-LA) n’est pas compatible avec la GPL, ce n’est pas illégal.





      De plus, si leurs restrictions sont incompatibles avec le système d’exploitation (ce qui est le cas ici), leurs restrictions bloquent de facto l’interopérabilité, ce qui est interdit par la loi. (CPI 331-5 et -6).





      Hum… si les restrictions sont incompatibles avec la GPL, ca ne bloque pas “de facto” l’interopérabilité.



      Ca empêche seulement de mettre en oeuvre cette MTP sur cet OS en particulier.



      Une modification de la licence de l’OS peut permettre la mise en oeuvre de la MTP. Le fait que la GPL interdise la modification de licence de Linux/VLC n’est pas de la faute de l’AACS-LA.





      Pour rappel, l’idée derrière la viralité de la GPL c’est d’obliger ceux qui incluent du code tiers à Linux/VLC à rendre ce code public. Ce n’est pas de “forcer” la publication d’un code tiers quelconque afin de pouvoir l’inclure dans Linux/VLC.












127.0.0.1 a écrit :



LA DADVSI a modifié le code de la propriété intellectuelle (L331-5)



“Les mesures techniques (…) sont protégées dans les conditions prévues au présent titre.”





Et cela n’a rien à voir avec les brevets.







127.0.0.1 a écrit :



D’après le texte de loi, l’insuffisance des “informations essentielles” est caractérisée par:




  • absence de documentation technique

  • absence d’interfaces de programmation



    Vu qu’il y a pléthore de lecteurs DVD/BR a Carrefour, je suppose que l’AACS-LA fournit ces informations aux fabricants.





    Mais refuse de les fournir à des gens comme nous, d’où la requête de demande d’explications







    127.0.0.1 a écrit :



    Bah, comme tout le monde dans ce cas là:




  1. Tu rales auprès du fournisseur de l’OS

  2. A défaut, tu changes d’OS





    Sauf que la loi dit que les MTP ne doivent pas contrevenir à l’interopérabilité.







    127.0.0.1 a écrit :



    Ma freebox ne sait pas lire le dernier format de MKV.

  3. Je rale auprès de Free pour un update du firmware

  4. A défaut, je prend un autre media-center





    Rien à voir, on parle de formats, pas de MTP. De plus, l’intégralité des informations sur le format MKV sont en ligne.







    127.0.0.1 a écrit :



    Je me suis mal exprimé. La loi n’impose pas que toutes les licences proprio/publiques soient compatibles avec la GPL.

    Si la licence d’utilisation du décodeur BR (telle que fournie par AACS-LA) n’est pas compatible avec la GPL, ce n’est pas illégal.





    Mais personne n’a dit ça. C’est toi qui ramène toujours à la GPL.

    VideoLAN ne peut pas violer la license des auteurs de VLC.







    127.0.0.1 a écrit :



    Hum… si les restrictions sont incompatibles avec la GPL, ca ne bloque pas “de facto” l’interopérabilité.





    Idem, personne ne parle de GPL, sauf toi. On te parle de système d’exploitation, tu comprends “GPL”.

    Si les conditions de license de AACS ou BD ne sont pas compatibles avec l’OS, on fait quoi? C’est exactement la question posée.







    127.0.0.1 a écrit :



    Ca empêche seulement de mettre en oeuvre cette MTP sur cet OS en particulier.



    Une modification de la licence de l’OS peut permettre la mise en oeuvre de la MTP. Le fait que la GPL interdise la modification de licence de Linux/VLC n’est pas de la faute de l’AACS-LA.





    Mais le problème n’est pas la GPL, une fois de plus…







    127.0.0.1 a écrit :



    Pour rappel, l’idée derrière la viralité de la GPL c’est d’obliger ceux qui incluent du code tiers à Linux/VLC à rendre ce code public. Ce n’est pas de “forcer” la publication d’un code tiers quelconque afin de pouvoir l’inclure dans Linux/VLC.





    Alors bon, je pense vraiment que tu fais exprès et/ou que tu trolles. Tu devrais lire un peu plus ce qu’est la GPL et la viralité de la GPL.









jb a écrit :



Idem, personne ne parle de GPL, sauf toi. On te parle de système d’exploitation, tu comprends “GPL”.

Si les conditions de license de AACS ou BD ne sont pas compatibles avec l’OS, on fait quoi? C’est exactement la question posée.







Bah, pour moi le seul frein a l’implémentation d’un decodeur BD sous LInux/VLC est uniquement légale. La preuve, techniquement on sait faire, mais c’est illégal. (gogle “How to play Blu-ray in Linux”)



L’illégalité provient de l’absence d’autorisation de l’AACS-LA a publier les codes sources et les clés d’un décodeur. Et ceci est permis par la loi, si l’AACS-LA prouve que la publication des sources/clés a “pour effet de porter gravement atteinte à la sécurité et à l’efficacité de ladite mesure technique”.



Pour moi, la situation se résume a:




  • Il y a possibilité d’avoir des lecteurs BR proprios sur des OS proprios, car c’est closed-source.

  • ll n’y a pas possibilité d’avoir des lecteurs BR libres sur des OS libres, car c’est open-source.



    Ca a donc tout a voir avec les licences des OS/Logiciels et la necessité de garder les sources fermés.









127.0.0.1 a écrit :



Bah, pour moi le seul frein a l’implémentation d’un decodeur BD sous LInux/VLC est uniquement légale. La preuve, techniquement on sait faire, mais c’est illégal. (gogle “How to play Blu-ray in Linux”)





On n’est pas sûr que ce soit légal, mais bon, acceptons.







127.0.0.1 a écrit :



L’illégalité provient de l’absence d’autorisation de l’AACS-LA a publier les codes sources et les clés d’un décodeur.







Pas seulement, et c’est là que tu te trompes.









jb a écrit :



Pas seulement, et c’est là que tu te trompes.







Ah ? Tu as des infos sur le refus du “Licensing Administrator” a te fournir les documents essentiels ? Ou c’est confidentiel ?



La loi (article L331-5):

« Les mesures techniques ne doivent pas avoir pour effet d’empêcher la mise en œuvre effective de l’interopérabilité, dans le respect du droit d’auteur »



Signification dans le contexte: les données ne doivent pas être copiées/copiables (=“dans le respect du droit d’auteur”), c’est à dire que le flux doit être HDCP.



Vous avez assurément le droit de décompiler des programmes, mais par contre ne comptez pas diffuser vos travaux(source PCI):

“l’un des décrets DADVSI sanctionne en effet la simple détention de dispositifs « conçus ou spécialement adaptés » pour porter atteinte à une mesure technique de protection”



Ce qui répond certainement à vos questions.





La question que l’on se pose, nous autres observateurs, c’est: “pour quelle raison Linux ne peut être compatible HDCP?”.

Parce que le noyau ne contient aucun mécanisme qui permettrait par exemple d’empêcher de lier un debugger au processus de décryptage?

Pour de simples raisons financières?

Parce que cela demanderait un travail considérable et n’a pas été fait, bien que possible?

Pour des raisons idéologiques?



Pour finir, que pensez vous de ma proposition, à savoir une machine virtuelle sous hyperviseur (une boite noire, mais isolée et donc ne portant pas atteinte ni à la GPL ni au souhait des utilisateur d’avoir un système open-source)?