Disponibles depuis plus de deux mois pour certains développeurs, les Google Glass viennent de se faire mettre en pièces. L'occasion d'en apprendre un peu plus sur leur conception interne, que ce soit du côté de la carte mère, du touchpad, de l'écran, etc.
Crédit photo : Catwig.com, Scott Torborg et Star Simpson
En avril 2012, Google dévoilait un projet un peu particulier : des lunettes high-tech portant le nom de Google Glass. Celles-ci sont équipées d'une caméra, d'un écran et d'une propagation du son via conduction osseuse. Pour rappel, leurs caractéristiques techniques sont connues depuis plusieurs semaines déjà.
Scott Torborg et Star Simpson viennent de se livrer à un exercice intéressant : un démontage dans les règles de l'art. Cela permet d'en apprendre davantage sur l'agencement des composants ainsi que sur la capacité de la batterie : 2,1 Wh. Notez qu'ils précisent que leur conception leur semble « étonnamment simple »
De nombreuses photos sont de la partie et vous pouvez les retrouver soit sur ce site web agrémenté de nombreuses explications, soit via ce dépôt GitHub.
Commentaires (15)
#1
On peut enlever le PRISMe ?
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#3
Notez qu’ils précisent que leur conception leur semble « étonnamment simple »
Pour un périphérique qui fera aussi peu de choses c’est peu étonnant.
#4
Dans ce cas j’en commande pour toute la famille.
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Ou pas
#5
Je vois déjà la pub prochainement:
“Toi aussi, offre la vision à la première personne à la NSA grâce aux Google Glass!”
#6
La batterie est ridicule enfin ça suit les prévisions…
De toute façon je ne crois pas une seule minute à la démocratisation dans l’état actuel de cette technologie. Le produit intrigue la plupart des gens mais peu seraient pret à en acheté au vu des différents forums.
#7
C’est un coup de pub, une idée comme une autre. Qui aura peut être une suite… et peut être pas. Comme beaucoup de projet Google. Ils ont plein de thune, ils s’amusent un peu, des fois qu’ils trouvent une idée révolutionnaire qui marche, pk pas.
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Vous voulez qu’on parle de la Apple TV?
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Wouaaa la batterie juste sous l’oreille, quand on sait ce que fait ce genre de batterie percé ou abimé… Là ça fout les jetons…
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Sincèrement, vu l’ambiance et les conditions générales à Paris et dans pas mal de grandes villes, j’hésiterais à me balader avec un machin pareil sur le nez. Juste bon à se prendre un bon gnon dans la figure et se faire piquer les lunettes. Et ça saute trop vite du nez quand on se fait bousculer, les lunettes, après y a plus qu’à ramasser derrière (je parle du complice qui suit le ‘bousculeur’).
Et puis, où est l’utilité réelle de ces machins?
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